Le pasteur Roger Barilier

Le pasteur Roger Barilier est décédé le 14 février 2005 à l’âge de 90 ans. Il était né le 10 décembre 1914 à Aclens, sa commune d’origine. Il a fait ses études de théologie à l’Université de Lausanne. Après deux années passées en France comme aumônier de jeunesse à Montpellier et pasteur suffragant à Bordeaux, il rejoint la Suisse et reçoit la consécration au ministère pastoral en octobre 1939, à la Cathédrale de Lausanne. Il travaille ensuite dans les paroisses de Villarzel, Vufflens-la-Ville et Saint-Jean-de Cour à Lausanne. Roger Barilier a pris sa retraite en 1976, qui n’a pas signifié la fin de son ministère. Durant huit ans, il poursuit sa tâche dans la paroisse de la Cathédrale. il fut aussi écrivain. Il a écrit pour le théâtre: «Viret banni; la Reine Berthe ou Mille ans sont comme un jour», aux Cahiers de la Renaissance vaudoise. Il a publié des ouvrages de réflexion théologique, «Amour et Société érotique» aux Editions du Cerf et «Dieu en questions» aux Editions de la Nouvelle Revue de Lausanne. Observateur attentif de son temps, il fut éditorialiste pendant presque vingt ans à la Nouvelle Revue de Lausanne. Une sélection de ses chroniques a paru aux Editions Ouverture en 1995, sous le titre «Des vérités bonnes à dire». Ila également composé la musique et les paroles de cantiques qu’on retrouve dans le recueil de chant des Eglises réformées de Suisse romande. Homme de foi et de culture, le pasteur Barilier a marqué de sa présence les différents lieux où il s’est engagé. (protestinfo.ch)

Note de Vigi-Sectes:

Roger Barilier a su présenter dans la Revue Réformée N0147, 1986/3 de manière très convaincante, le livre de Paul Ranc, un des fondateurs de Vigi-Sectes: “La Rose-Croix. Mythe ou réalité ?”

Le terme secte

Il existe au moins une douzaine de définitions du mot secte, chacune d’elles ayant sa raison d’ être.

Sur notre plateforme internet, comme parmi diverses associations Chrétiennes, le terme « secte » est principalement utilisé  dans son sens théologique, désignant

« un groupe religieux ayant une origine hérétique et maintenant un engagement envers l’hérésie » (cf. Robert M. Bowman, Jr. dans Orthodoxy and Heresy: A Biblical Guide to Doctrinal Discernment).

Le terme « groupe religieux » peut aussi s’appliquer à tout groupe soudé par un idéal commun, et étant cimenté par une initiation, un travail en commun ou une élévation incrémentale vers cet idéal.

L’expérience montre que les enseignements d’une secte dans le sens hérétique du terme conduisent à court ou à long terme à diverses actions condamnables par la loi, nuisibles pour l’individu, la famille, ou la société.

Dans un des articles les plus fréquentés de notre site, la secte est définie avec plus de détails ainsi:


Une secte est un parti formé au sein d’une religion et groupant des adeptes qui suivent la même doctrine. Secte vient en effet du latin « sequi » qui signifie suivre. Certains le font dériver, à tort, de « secare » qui signifie couper, séparer. Quoi qu’il en soit, le mot secte rejoint le sens d’hérésie (du grec « hairein » qui signifie choisir). « Selon le Nouveau Testament, la caractéristique de la secte est l’hérésie » (Fritz BLANKE).

D’ailleurs, la Vulgate – traduction catholique latine de la Bible – utilise indifféremment les mots latins « secta » et « haeresis » pour traduire le même mot grec « hairesis », le seul utilisé dans le Nouveau Testament pour désigner des groupes dissidents. Les traductions françaises le traduisent par les mots: secte, hérésie et parti.

Du temps de Jésus-Christ, on distinguait chez les Juifs diverses sectes: celle des pharisiens (Actes 26:5), des sadducéens (Actes 5:17), des esséniens… Et les premiers chrétiens furent eux-mêmes considérés comme une secte judaïque (Actes 24:5; 24:14; 28:22).

Dans le Nouveau Testament, le mot secte sert donc à désigner d’abord une simple scission. un schisme, n’entraînant pas de dissidence doctrinale importante; mais ce terme a aussi une signification plus restreinte, s’appliquant aux mouvements religieux ayant quitté la «saine doctrine » (2 Tim. 4:3; Tite 1:9; 2:1). En effet, dans les épîtres, ce terme a déjà le sens péjoratif actuel et désigne les mouvements religieux séparés des vrais chrétiens, de ceux qui «persévéraient dans l’enseignement des apôtres» (Actes 2:42). Ces sectes entravaient la propagation de l’Évangile et l’apôtre Paul affirme avoir été «en péril parmi les faux frères » (2 Cor. 11:26).

Aujourd’hui encore, les sectes contrarient la proclamation de l’authentique Évangile, et leur nombre, à l’heure présente, est vraiment inquiétant. Or, l’apparition et le foisonnement de faux prophètes font partie des signes qui précèdent le retour du Seigneur (Matt. 24:3, 24) qui nous dit:

«Prenez garde que personne ne vous séduise » (Matt. 24:4).

(Définition de Robert Schroeder, un des 4 fondateurs de l’association Vigi-Sectes, dans le  traité: « Comment reconnaître les sectes et leurs faux prophètes »

 

arrêt de traitements après le baptême… funeste.

Message reçu et anonymisé
Lien : https://bloghvm.wordpress.com

— Observations —
Nous  recherchons des informations sur un dénommé Henri Viaud Murat. Une dame qui suivait un traitement  (neuroleptique et méthadone ) est décédée  après avoir été baptisé chez ce monsieur…. Depuis ce baptème, elle a arrêté tous ces traitements ce qui l’a amené vers la mort. Est-ce que les mouvements auxquels sont affiliés Henri Viaud Murat sont sectaires?


Note de Vigi-Sectes:

Nous n’avons pas vérifié en détail ce récit. La personne a-t-elle arrêter le traitement par elle-même? A-t-elle été encouragée à le faire? Normalement un baptême est accompagné d’un enseignement. Quel enseignement a-telle reçu ou quel avertissement n’a-t-Elle pas reçu?

La bible n’enseigne pas que le Chrétien est automatiquement libre de toute maladie et doit arrêter tout traitement. Voir notre article plus complet sur la doctrine sectaire de  la “parole de foi.”

Ce pasteur insiste sur la nécessité du parler en langue comme preuve du baptême de l’esprit. Ce n’est pas correct.

De plus, il est relativement connu qu’un sevrage abrupte de certaines drogue est parfois possible (comme de l’héroïne) mais qu’un sevrage de la méthadone n’est pas envisageable. Selon mes informations (qui datent), les établissements pénitenciers font toujours un suivi du traitement de la méthadone. (E.P.)

Anselm Grün: “Selbstwert entwickeln – Ohnmacht meistern” ?

Eine kritische Analyse Anselm Grüns Lehre
und Buch  “Selbstwert entwickeln – Ohnmacht meistern” 
[0]

E.P.


Ich war überrascht von dem Einfluss des katholischen Mönchs sowohl in Frankreich wie auch in Deutschland. Anselm Grün ist weltweit anerkannt, in der katholischen Welt, aus irgendeinem Grund auch bei die Evangelikalen.

Da das Magazin: AufAtmen – Gott begegnen – Authentisch leben Nr. 2/2000 mit Ihrem Artikel: “Das Leben ist ein Gottesdienst – Ein Tag mit Anselm Grün” (Autor : Arne Völkel) ein paar Wochen auf dem Büchertisch meiner Gemeinde (F.E.G) lag, und dann auf unserem Broschürenstand, habe ich mich entschieden, meine Gemeinde darüber zu informieren.

Das Buch “Selbstwert entwickeln – Ohnmacht meistern” wurde auch von Herrn Arne Völkel im AufAtmen zitiert.

Die Lehre von Anselm Grün fand ich erschreckend.
Dieser Text* wurde im Juli 2002 mit einem persönlichen Brief unter anderem an die F.E.G.-Leitung / AufAtmen / Herrn Arne Völkel geschickt – und blieb ungeantwortet.

Anselm Grün – AufAtmen 2/2000 S.36


  top Die Lehre des Anselm Grün

Man kann sie mit die folgenden Grundbegriffen zusammenfassen:

  • Katholizismus
  • Tiefenpsychologie statt Theologie
  • Mystik
  • Optimistischer Humanismus

 top Systematische Verleugnung der Macht Jesu

Anselm Grün verleugnet die Macht Jesu an verschiedenen Stellen. Er interpretiert die Wunder Jesu, als ob sie keine Wunder wären. Jesus wird nur ein guter Ratgeber, der “ein gutes Beispiel wird” für Psychologen, er schafft nur “innere” Heilungen / Selbstwertgefühle.

Hier sind ein paar Beispiele aus seinem Buch “Selbstwert entwickeln – Ohnmacht meistern”

Heilung im Tempel: Der Bucklige?

Und siehe, da war eine Frau, die achtzehn Jahre einen Geist der Schwäche hatte; und sie war zusammengekrümmt und gänzlich unfähig, sich aufzurichten. Als aber Jesus sie sah, rief er ihr zu und sprach zu ihr: Frau, du bist gelöst von deiner Schwäche! Und er legte ihr die Hände auf, und sofort wurde sie gerade und verherrlichte Gott. … Diese aber, die eine Tochter Abrahams ist, die der Satan gebunden hat, siehe, achtzehn Jahre lang, sollte sie nicht von dieser Fessel gelöst werden am Tag des Sabbats? Lukas 10:13-16

Herr Grün meint :

Jesus richtet die Frau auf, indem er sie anschaut, sie zu sich ruft und ihr all das Positive zusagt, das er in Ihr sieht. Und er berührt sie zärtlich. … er berührt die Frau, damit sie selber in Berührung kommt mit der Kraft und der Würde, die in ihr ist.   [1]

Die Bibel sagt aber daß diese Frau geistlich gebunden war.

Die “Kraft in sich selbst” ist, die Basis Esoterik – des Paganismus – des Satanismus fördert.

Die Existenz, Persönlichkeit und Macht des Teufels ist ersetzt durch fehlendes Selbstwertgefühl.

Der Gelähmte

Zuerst muß der Gelähmte seine innere Haltung ändern, bevor er auch körperlich aufstehen kann… Er hindert mit diesem Befehl den Gelähmten daran , um sich selbst zu kreisen, sich Gedanken zu machen, ob er wohl richtig gehen und zu sich stehen könne. [2]

Wenn man das liest, fragt man sich, ob er ein echt Gelähmter war! Warum haben die vier Trägern einen bis auf das Dach getragen, und ein Loch geöffnet, für einen, der nur psychisch schwach war? Nein ! Gewiss war der Gelähmte kein Schauspieler, und der Herr hat ihn wirklich körperlich geheilt und zeigt sogar, daß Er die Sünden vergeben kann.

Heilung in Bethesda: Der Vergleicher?

Jesus sagt: “Steh auf, nimm deine Bahre und geh!” (Joh. 5,8 )

Anselm Grün meint:

Du kannst aufstehen, du kannst gehen. Laß das Vergleichen, laß das Jammern, laß das Weinen! Steh auf, stell dich, richte dich auf, sei aufrecht! Du kannst gehen. Es geht schon. [3]

Es sieht immer aus als wären die Kranken nicht körperlich krank gewesen, sondern nur psychisch man kann sich aber fragen: Warum lag dieser Mann dann seit 38 Jahren? Andere hätten ihm schon früher sagen können: “Laß das Vergleichen, laß das Jammern!” .

Die Tatsache, dass Jesus körperlich heilte, ist vollkommen verschwunden, im Kontext wird kein Bezug mehr darauf genommen (z.B. Kommentar und Überraschung der Pharisäer, seine wieder Begegnung mit Jesus). Jesus hilft nur den Mensch sich selbst zu heilen.

Eine verdorrte Hand:Der Angepaßte?

Jesus heilt den Angepaßten, indem er ihn herausfordert: “Steh auf und stell dich in die Mitte!” ( Mk. 3.3) Jetzt kann er sich nicht mehr anpassen, jetzt muß er sich vor allem seiner eigenen Wahrheit stellen. Jetzt muß er zu sich stehen.

Die Pharisäer hatten die Wirklichkeit dieser Krankheit besser erkannt:

Und sie lauerten auf ihn, ob er ihn am Sabbat heilen würde, damit sie ihn anklagen könnten. Mk. 3:2

Als der Kranke in der Mitte war, war Jesu Werk “in der Mitte”, nicht der Man mit sich selbst. Noch einmal richten sich die Augen Anselm Grüns auf den inneren Menschen und nicht auf Jesus.

u.s.w …

Z.B. bei

Zachäus: Es war Heilung durch Gemeinschaftsgefühl !

Der Blindgeborene war ein Arrogant. [4]

Die Bibel sagt aber:

  • Der Gelähmte konnte nicht gehen.
  • Jesus kann sogar die Sünden vergeben.
  • Jesus hat die Macht zu heilen (unheilbare natürlichen Krankheiten sogar Blindgeborenen – sowie Krankheiten mit dämonischem Ursprung)

top Der andere Weg: Ich selbst

Und er wird im Glauben einen Weg finden, trotz seiner Verletzungen und Kränkungen seine göttliche Würde zu entdecken und so ein gesundes Selbstwertgefühl zu entfalten. [5]

Die folgenden Begriffe “Ich, Selbstwert, innere Einheit, unser Selbst, sich selbst akzeptieren” sind zwar verlockend in der esoterischen Welt oder in der modernen Gesellschaft, aber sollten Christen nicht täuschen.

Denn, wenn wir unseren Zustand nicht kennen, dann können wir nicht unsere Sünden bekennen und uns bekehren.
Der Heilige Geist überführt uns von Sünde, die psychologische Lehre von Anselm Grün verhindert es.

So, sage ich euch, ist Freude vor den Engeln Gottes über einen Sünder, der Buße tut. Lk. 15:10

Die Tiefenpsychologie vertritt die folgenden unbiblischen Lehren :

  • Sieh in dich hinein, um die Antwort zu bekommen.
  • Du hast keine Schuld und keine Sünde!
  • Vertraue dir selbst!
  • Gottes Wort ist nicht erwähnt.

Anselm Grün meint:

Mt. 13,44 Der kostbare Schatz steht für uns selbst!

Die Wirklichkeit des Reiches Gottes ist verleugnet.

Der Weg des Heils ist nicht mehr “Immanuel” (Gott persönlich zu uns gekommen), sondern eine Suche in uns selbst. Es gibt aber nur einen Weg. [6]

top Leugnen der Autorität der Bibel

Hier sind verschiedenen Aussagen die zeigen, daß Anselm Grün sich nicht an die Heilige Schrift hält.

  • Die Lehre der Bibel ist verleugnet:
    Wir sind nicht wirklich verloren, nur in gewisse Weise Sünder, …
  • Die Bibel ist teilweise ein Mythos.
    Biblische Ereignisse sind als Mythen [7] betrachtet
  • Die Bibel ist nicht ernst genommen:
    Jesus hat “nur” innere Heilungen gemacht …

top Eine andere Quelle der Lehre

Er glaubt nicht an die volle Objektivität und Autorität der Bibel, sondern sucht in einer anderen subjektiven Quelle geistliche Nahrung.

  • Ikonen Betrachtung
  • Andere Schriften sind gleichgesetzt mit der Bibel
  • Körperliche Übungen [8]
  • Rituale [9]
  • Psychologische Lehren

Die Bibel hat nicht die einzige Autorität. Neben der Bibel sind auch mythologische Geschichten genauso gut ausgelegt.

top Wer Ist Anselm Grün?

top Ein Christ?

Er sagte aber auch ein Gleichnis zu ihnen: Kann etwa ein Blinder einen Blinden leiten? Werden nicht beide in eine Grube fallen?  Lk. 6:39

Schon daß er ein katholischer Mönch ist, sollte genügend die Frage beantworten, da man nicht dem Evangelium von Rom [10] und dem Evangelium Jesus Christi gleichzeitig dienen kann. Ein Katholik der sich bekehrt, soll früher oder später diese anti-christliche Lehre verlassen.[11]

Dieses Evangelium leugnet den einzigen Weg des Heils in Jesus, bietet Selbsterlösung durch Werke, taucht die Masse durch mögliche Hintertüren des Himmel (Fegefeuer, Marias Hilfe) , leugnet das vollkommene Opfer Jesu am Kreuz, verleugnet die Autorität der Schriften und führt die Menschen in den Götzendienst. Warum sollen Evangelikale dennoch eine geistliche Quelle bei einem katholischen Mönch suchen?

Das Evangelium der Römisch-Katholischen Kirche ist ein “anderes Evangelium”. [12]

Dieser Mönch kennt nicht die Bedeutung von “Sünde”, wie kann er das “Heil” verstehen? Er ist nur ein  Weiser dieses Zeitalters.

Wir reden aber Weisheit unter den Vollkommenen, jedoch nicht Weisheit dieses Zeitalters, auch nicht der Fürsten dieses Zeitalters, die zunichte werden, sondern wir reden Gottes Weisheit in einem Geheimnis, die verborgene, die Gott vorherbestimmt hat, vor den Zeitaltern, zu unserer Herrlichkeit. 1.Kor. 2,6-7

Christ sein bedeutet Nachfolger Jesu sein. A.G. sieht aber Jesus wie einen modernen Psychologen seiner Zeit. Die Bibel zeigt uns doch deutlich die Macht Gottes, wie er wirkt und Wunder tut. Gibt es denn keinen mächtigen Gott zu erkennen? A.G. lebt einfach ohne diesen Gott gekannt zu haben.

Jeder, der den Sohn leugnet, hat auch den Vater nicht; wer den Sohn bekennt, hat auch den Vater . 1.Joh. 2:23

Wenn einer den Sohn nicht kennt, kennt er auch den Vater nicht. Wenn A.G. unseren persönlichen Gott kennen würde, würde er unsere Augen auf ihn richten.

 

top Botschafter? [13]

Natürlich sind wir in gewisser Weise vor Gott alle Sünder, aber die frohe Botschaft von Jesus ist, dass wir von Gott angenommen sind, dass wir sein dürfen wie wir sind, dass wir bedingungslos angenommen sind. [14]

Dies widerspricht der Schrift und dem Dienst des Heiligen Geistes: Uns von Sünde zu überführen.

Unbekehrte Homosexuelle oder Götzendiener sind dann auch von Gott angenommen? Laßt uns nicht getäuscht werden:

Aber den Feigen und Ungläubigen und mit Greueln Befleckten und Mördern und Unzüchtigen und Zauberern und Götzendienern und allen Lügnern ist ihr Teil in dem See, der mit Feuer und Schwefel brennt, das ist der zweite Tod.  Off. 21:8

Die Botschaft der Bibel ist eine ganz andere:

  • Wir sind alle verloren, wie der verlorene Sohn. Von uns selbst kommt kein Heil.
  • Jesus starb am Kreuz für uns !
  • Aus Gnade sind wir gerrettet durch Glauben.
  • Er ist wieder auferstanden.
  • Wir sollen uns bekehren und Jesus annehmen.
  • Wir sollen zu Gott schreien, seinen Name anrufen, um gerettet zu werden. (Römer 10:13)

Jesu Tod für unsere Schuld ist quasi nicht erwähnt in A. Grüns Schriften! Wie kann man von “Leiden, Schmerzen, Krankheit” reden ohne Jesu Opfer anzusprechen !

Jedoch unsere Leiden – er hat sie getragen, und unsere Schmerzen – er hat sie auf sich geladen. Wir aber, wir hielten ihn für bestraft, von Gott geschlagen und niedergebeugt. Jes. 53:4

top Andere Büchern / Cassetten / CDs / Broschüren von Anselm Grün

Die folgenden Titel seiner Werke zeigen deutlich seine ego-humanistische und spiritische Lehre.

[aus www.Amazon.de]

  • 50 Helfer in der Not. Die Heiligen fürs Leben entdecken.   
  • 50 Engel für die Seele.
  • Der Himmel beginnt in dir.
  • Das Wissen der Wüstenväter für heute.
  • Dem Himmel zur Ehre. Der Erde zum Zeichen. Menschliches Reifen im Ordensleben.
  • Der Weg durch die Wüste. 40 Weisheitssprüche der Wüstenväter.
  • Die eigene Freude wiederfinden.
  • Einswerden. Der Weg des heiligen Benedikt.
  • Engel für das Leben.
  • Finde deine Lebensspur. Die Wunden der Kindheit heilen – Spirituelle Impulse.
  • Geborgenheit finden, Rituale feiern. Wege zu mehr Lebensfreude.
  • Gut mit sich selbst umgehen.
  • Im Schweigen bei mir sein.
  • Intimität und zölibatäres Leben. Erfahrungsberichte von Priestern und Ordensleuten.
  • Jeder Mensch hat einen Engel.  Bis wir uns im Himmel wiedersehen.
  • Meditative Zugänge zu Gottesdienst und Predigt, 16 Bde. u. 1 Einführungs-Bd., Bd.1, Advent bis Kantate
  • Menschen führen, Leben wecken. Anregungen aus der Regel Benedikts.
  • Mystik und Eros. Cassette.
  • Tu dir doch nicht selber weh.
  • Vergib dir selbst, 1 Audio-CD Herzensruhe. Im Einklang mit sich selbst sein.
  • Wege ins Schweigen. Cassette.  Quellen der Weisheit. Faszination alter Klöster.
  • . . .

top Unsere christliche Haltung

Wenn aber auch wir oder ein Engel aus dem Himmel euch etwas als Evangelium entgegen dem verkündigten, was wir euch als Evangelium verkündigt haben: er sei verflucht! Wie wir früher gesagt haben, so sage ich auch jetzt wieder: Wenn jemand euch etwas als Evangelium verkündigt entgegen dem, was ihr empfangen habt: er sei verflucht!
Gal. 1:8-9

Wir sollen Abstand von dieser Lehre nehmen, und Anselm Grüns Schriften sofort aus der Christlichen Gemeinden wegnehmen, und mit Liebe die aufklären, die sie befürworten.

Zahlreiche aber von denen, die Zauberei getrieben hatten, trugen die Bücher zusammen und verbrannten sie vor allen; und sie berechneten ihren Wert und kamen auf fünfzigtausend Silberdrachmen. Apg. 19:19

Die ICH-zentrierte Lehre von Anselm Grün erinnert eher an die Lehre von diesem  Jahrhundert, als an die Lehre Jesu. Wir sollen prüfen, wie weit wir von Begriffen wie:Selbstwertgefühl, Innere Heilung, oder anderen psychologischen Lehren beeinflusst worden sind. [15]

Laßt euch nicht fortreißen durch verschiedenartige und fremde Lehren! Denn es ist gut, dass das Herz durch Gnade gefestigt wird, nicht durch Speisen, von denen die keinen Nutzen hatten, die danach wandelten. Hebr. 13:9

Unser Schweigen vor dieser esoterischen Flut läßt den Teufel nicht nur in der Welt aber auch in unseren Gemeinde Fuß fassen. Es ist unser Aufgabe als Jünger Jesus dies aufzudecken.

Was sage ich nun? Daß das einem Götzen Geopferte etwas sei? Oder daß ein Götzenbild etwas sei? Nein, sondern daß das, was sie opfern, sie den Dämonen opfern und nicht Gott. Ich will aber nicht, daß ihr Gemeinschaft habt mit den Dämonen.  1.Kor 10:19-20

Wir sollen die Autorität der heiligen Schrift wieder in den Mittelpunkt setzen.

top Gegenüberstellung: Anselm Grün & die Bibel.

Diese Zitat-, Verseliste mag lang aussehen, aber man kann dadurch deutlich zwei verschiedene Botschaften erkennen. Ich empfehle natürlich die Zitate aus beiden Spalten in ihrem Kontext zu lesen.

Diese Aussagen von A.G. wären eigentlich lustig, wenn man nicht wüßte, dass sie zum Teil in unserer Freien Evangelischen Gemeinde verteilt geworden sind !

Ich empfehle auch eine weitere Kritik: Esoteriklehrer für Evangelikale? (Alexander Seibel) auch in http://www.bibelbund.christen.net

top Aus seinem Buch: Selbstwert entwickeln – Ohnmacht meistern

Anselm Grün

Bibel (Elbefelder )  

Psychologie statt Evangelium!

Seite 52/ In der Begegnung mit Jesus bekommen diese Menschen den Mut, zu sich zu stehen, sich selbst anzunehmen, sich aufzurichten und ihren wahren Wert zu entdecken.

Denn ich weiß, daß in mir, das ist in meinem Fleisch, nichts Gutes wohnt; denn das Wollen ist bei mir vorhanden, aber das Vollbringen des Guten nicht.
Römer 7:18

32/ Wie man an sich arbeiten kann, um sicherer zu werden.

Wer sein Leben liebt, verliert es; und wer sein Leben in dieser Welt haßt, wird es zum ewigen Leben bewahren.
Joh. 12:25

34/ Jesus heilt das mangelnde Selbstwertgefühl des Zachäus, indem er ihn einfach anschaut und sich selber bei ihm zum Essen einlädt.

Heute ist diesem Haus Heil widerfahren, weil auch er ein Sohn Abrahams ist; denn der Sohn des Menschen ist gekommen, zu suchen und zu retten, was verloren ist.
Lk. 19:10

37/ Jesus heilt den Gelähmten, indem er ihn einfach auffordert:..   Er hindert mit diesem Befehl den Gelähmten daran, um sich selbst zu kreisen, sich Gedanken zu machen, ob er wohlrichtig gehen und zu sich stehen konnte.

Damit ihr aber wisst, dass der Sohn des Menschen Vollmachthat, auf der Erde Sünden zu vergeben – spricht er zu dem Gelähmten: Ich sage dir, steh auf, nimm dein Bett auf und geh in dein Haus!
Mark 2:11

Biblische Grundlehre

Jesus will uns nicht in erster Linie sagen, daß wir Sünder sind, sondern daß wir Söhne und Tochter Gottes sind.

So tut nun Buße und bekehrt euch, daß eure Sünden ausgetilgt werden,…
Apg. 3:19

142 / er wird im Glauben einen Weg finden, … und so ein gesundes Selbstwertgefühl zu entfalten

Jesus spricht zu ihm: Ich bin der Weg und die Wahrheit und das Leben. Niemand kommt zum Vater als nur durch mich.
Joh. 14:6

In Maria feiern wir unser eigene Erlösung

So spricht der HERR, dein Erlöser und der dich vom Mutterleib an gebildet hat: …, ich allein, der die Erde ausbreitete – wer war da bei mir?
Isa. 44:24

72/ Gott will in uns geboren werden.

Jeder, der glaubt, daß Jesus der Christus ist, ist aus Gott geboren;
1.Joh. 5:1

Ego

31/ Unser Selbst ist ein Geheimnis.

Dies aber ist das ewige Leben, daß sie dich, den allein wahren Gott, und den du gesandt hast, Jesus Christus, erkennen.
Joh.17:3

Die Autorität der Schrift in Frage

 88/ In den Mythen vom Himmelssturz der Engel

Denn wir haben euch die Macht und Ankunft unseres Herrn Jesus Christus kundgetan, nicht indem wir ausgeklügelten Fabelnfolgten …
2.Pe. 1:16

Als Glaubender muß ich auch all die Hilfen in Anspruch nehmen, die mir die Psychologie anbietet.

Denn alles, was früher geschrieben ist, ist zu unserer Belehrung geschrieben, damit wir durch das Ausharren und durch die Ermunterung der Schriften die Hoffnung haben.
Röm. 15:4

46/ Natürlich sind wir in gewisse Weise vor Gott alle Sünder, aber die frohe Botschaft von Jesus ist, daß wir von Gott angenommen sind, daß wir sein dürfen wie wir sind, daß wir bedingungslos angenommen sind.

und sie sprach zu der Frau: Hat Gott wirklich gesagt: Von allen Bäumen des Gartens dürft ihr nicht essen?
1Mose 3:1
Buße zu tun und sich zu Gott zu bekehren, indem sie der Buße würdige Werke vollbrächten.
Apg. 26:20…

Von Magazin Aufatmen Nr. 2/2000

Anselm Grün

     Bibel (Elbefelder )     

Selbstverwirklichung [16]

“Selbstwert entwickeln” ,
Seite 44 / “gut mit sich selbst umgehen”

Dann sprach Jesus zu seinen Jüngern: Wenn jemand mir nachkommen will, der verleugne sich selbstund nehme sein Kreuz auf und folge mir nach!
Mt. 16:24

 40/ Grün gibt dir das Gefühl, daß es um dich geht

Und auf dem Weg fragte er seine Jünger und sprach zu ihnen: Was sagen die Menschen, wer ich bin?
Mk. 8:27

41/ Nach einem Buch von Anselm Grün ist man ein Stück reicher…

Denn von diesen sind die, die sich in die Häuser schleichen und lose Frauen verführen – die mit Sünden beladen sind, von mancherlei Begierden getrieben werden, immer lernen und niemals zur Erkenntnis der Wahrheit kommen können -.
2.Tim. 3:6-7

42/ Nicht Regeln, … Normen lassen uns Gott finden, sondern die Begegnung mit den eigenen Träumen, Ängsten und Enttäuschungen.

Ohne Glauben aber ist es unmöglich, ihm wohlzugefallen; denn wer Gott naht, muß glauben, daß er ist und denen, die ihn suchen, ein Belohner sein wird.
Hebr.11:6

42/ Gott im Innersten seines Herzens, das ist der Weg auch zum Wahren Selbst, zum eigenen unverfälschten Wesen.   Im christlichen Glauben auf dem Weg der Selbsterforschung

 … und seid wie neugeborene Kinder begierig nach der vernünftigen, unverfälschten Milch.
1.Petr. 2:2  oder Joh.14:6

Sich selbst begegnen, Gott begegnen

Wer aus sich selbst redet, sucht seine eigene Ehre; wer aber die Ehre dessen sucht, der ihn gesandt hat, der ist wahrhaftig, und Ungerechtigkeit ist nicht in ihm.
Joh. 7:18

43/ Seine positiven Kräfte entfalten

Jesus aber sprach zu ihm: Was nennst du mich gut? Niemand ist gut als nur einer, Gott.
Mk. 10:18

Sich selbst verstehen und begreifen lernen, sich annehmen und bejahen, sich selbst vergeben können und sich …

Hilf uns, Gott unseres Heils, um der Ehre deines Namens willen. Rette uns und vergib unsere Sündenum deines Namens willen!
Psalm 79:9

In der Begegnung mit uns selbst wird unsere Schuld offenbart.

Da sprach ich: Wehe mir, denn ich bin verloren. Denn ein Mann mit unreinen Lippen bin ich, und mitten in einem Volk mit unreinen Lippen wohne ich. Denn meine Augen haben den König, den HERRN der Heerscharen, gesehen.
Jesaja 6:5

Barmherzig mit sich umgehen

… wenn ihr aber durch den Geist die Handlungen des Leibes tötet, so werdet ihr leben.
Röm. 8:13

Verkündigung / Autorität der Schrift

41/ “Auf eine feurige Predigt wartet man vergebens.” … Wollen wir die Wirkmacht des Wortes durch unser Verstehen in Kraft setzen, weil der Glaube doch aus der Predigt kommt? Weit gefehlt.

Wie sollen sie nun den anrufen, an den sie nicht geglaubt haben? Wie aber sollen sie an den glauben, von dem sie nicht gehört haben? Wie aber sollen sie hören ohne einen Prediger?
Röm. 10:14

43/ Evangelische Christen betrachten den Menschen in der Regel als grundsätzlich durch die Sünde verdorben…..denen nur eine völlige Neuerung Rettung bringen kann  …

Daher, wenn jemand in Christus ist, so ist er eine neue Schöpfung; das Alte ist vergangen, siehe, Neues ist geworden
2.Kor. 5:17

Insofern ist die Psychologie für den Pater Dienerin der Theologie…. Die Psychologie ist “Hilfsmittel”.

Denn die Weisheit dieser Welt ist Torheit bei Gott; denn es steht geschrieben: Der die Weisen fängt in ihrer List.
1.Kor. 3:19

41/ Die Regel des Benediktiner haben sich auch andere Orden zu eigen gemacht, weil sie das “rechte Maß” kennt und durch ihre psychologische Weisheit überzeugt.

… und meine Rede und meine Predigt bestand nicht in überredenden Worten der Weisheit, sondern in Erweisung des Geistes und der Kraft, …
1.Kor. 2:4

Rituale/ Esoterikspüren?

Christliche Mystiker

41 /Was den heutige Christen vorrangig fehlt ? … “Ordnung, Symbole und Rituale”.

Glaube? Bekehriung? Heiligung? Wahrheit? Gehorsam? Lehre?

43/ Dabei hilft ihm die Ikonenbetrachtung …

Du sollst dir kein Götterbild machen, auch keinerlei Abbild dessen, was oben im Himmel oder was unten auf der Erde oder was in den Wassern unter der Erde ist. Exodus 20:4

Es folgt … Bibelstudium oder Studium anderer Schriften. Wenn auch Grün faszinierende griechische Mythen auslegt …

… und sie werden die Ohren von der Wahrheit abkehren und sich zu den Fabeln hinwenden.
2Tim. 4:4

Katholische Lehre / Orden

Warum finde ich bei einem Katholiken geistliches Leben in einer Art beschrieben, wie ich es bei evangelikalen Autoren oft vermisse.
(Arne Völkel)

Mein Kommentar dazu:

Solche ungeistliches Leben vermisse ich nicht! Was ich vermisse sind Autoren, die wie Paulus oder Stephanus sprechen, voll vom Heiligen Geist. Solche kennen auch das Wort Gottes, und können falsche Lehre zurückweisen. [17]… Zurück zum Anfang! –
Gal. 5

      E. P.


(*) Nur unwichtigen Änderungen wurden seitdem an diesem Text gemacht – (Schreibfehler Korreturen +Abschnitt “Andere Bücher”)

[0] Selbstwert entwickeln – Ohnmacht meistern
Spirituelle Wege zum inneren Raum
142 S.  Kreuz  1995

[1] “Selbstwert entwickeln – Ohnmacht meistern” Seite 44

[2] “Selbstwert entwickeln – Ohnmacht meistern” Seite 35-37 Markus 2:1-12.

[3] “Selbstwert entwickeln – Ohnmacht meistern” Seite 40

[4] “Selbstwert entwickeln – Ohnmacht meistern” Seite 50

[5] “Selbstwert entwickeln – Ohnmacht meistern” Seite 142: Ist es nicht ein Geruch der erste Lüge dieser Welt? Ihr werdet Götter sein.

[6] Joh14:6 Jesus spricht zu ihm: Ich bin der Weg und die Wahrheit und das Leben. Niemand kommt zum Vater als nur durch mich.

[7] “Selbstwert entwickeln – Ohnmacht meistern” Seite 88/ In den Mythen vom Himmelssturz der Engel

[8] “Selbstwert entwickeln – Ohnmacht meistern” Seite 60 … sprach davon daß wir im Hara sind, Hara ist der Unterbauch…

[9] “Selbstwert entwickeln – Ohnmacht meistern” Seite 114, auch erklärt von Alexander Seibel siehe  http://www.bibelbund.christen.net/htm/2000-4-304.htm

[10] James G. McCarthy, Das Evangelium nach Rom, CLV 1996, ISBN 3-89397-366-4

[11] 2.Kor.6:14-17

[12] Ich empfehle die folgenden Bücher:

DALLIARD Gregor, Ich konnte nicht mehr Priester sein, CLV, 1998.
DALLIARD Gergor, Das römisch-katholische Messopfer, CLV, 2001.
KAUFMAN Thimoty F. / DEPPE Hans-Werner, Marias Botschaft an die Welt, Marienerscheinungen und die Bibel,
Christliche Literatur-Verbreitung, 1999. – 158 S.. Bielefeld , Originaltitel, Quite Contrary – A Biblical Reconsideration of the Apparations of Mary, 3-89397-411-3

[13] Gal.1:8 Wenn aber auch wir oder ein Engel aus dem Himmel euch etwas als Evangelium entgegen dem verkündigten, was wir euch als Evangelium verkündigt haben: er sei verflucht!

[14] Anselm Grün “Selbstwert entwickeln – Ohnmacht meistern” Seite 46

[15] Ich empfehle:  Dr. Lothar Gassmann, Selbstverwirklichung:Das Zaubertwort in Psychologie und Seelsorge, LOGOS Aufklärung

[16] Selbstverwirklichung: Das Zauberwort in Psychologie und Seelsorge, LOGOS Aufklärung, von Dr. Lothar Gassmann

[17] Ich empfehle : Die Große Anpassung – Der Zeitgeist und die Evangelikalen, Francis A. Schaffer, Schulte+Gerth,  ISBN 3-87739-086-2

… Und seid nicht gleichförmig dieser Welt, sondern werdet verwandelt durch die Erneuerung des Sinnes, daß ihr prüfen mögt, was der Wille Gottes ist: das Gute und Wohlgefällige und Vollkommene. Röm. 12:2

 

Presse: Secte et négationnisme

Dans les années 200x, nous mettions déjà en garde des enseignements d’un gourou pseudo-chrétien: Ivo Sasek. A l’époque, il n’enseignait pas la réincarnation ni le négationnisme, et beaucoup de chrétiens se faisaient leurrer en pensant qu’il ne faisait que “remettre l’Eglise au centre du village”.  Mais nous avions déjà fait des comparaisons entre ce gourou et un autre gourou funestement connu : Jime Jones (leader d’une secte suicidaire, environ 910 victimes).

Lorsqu’ Ivo a introduit la réincarnation, le voile s’est franchement levé dans les milieux chrétiens indécis.

Une chose est sure, avec Ivo Sasek et son mouvement, le vert est dans la pomme depuis le début.  Nous l’avions perdu de vue pour un temps, aujourd’hui, nous apprenons qu’il a introduit le négationnisme. La pomme pourrit de parts en parts.

Comme d’habitude, les instances laïques ne veulent et ne peuvent reconnaître aucune vérité ni religion, elles sont incapables de reconnaître une secte, serait-elle la plus absurde ou dangereuse. Elles ne peuvent agir que quand le mal est fait, et ne peuvent ensuite clairement établir l’origine du désastre. Quand est-ce qu’en sortira le vers? … et comment se terminera ce mouvement? Nous ne savons, mais pensons régulièrement que l’on peut s’attendre au pire!

Nous reproduisons ici un article en allemand du Tagesanzeiger. (16.01.2013 – Traduction par Vigi-Setces)


Tagesanzeiger : La grande entrée du négationniste

Le gourou d’une secte, Ivo Sasek, a donné la parole à une  allemande sympathisante nazie, lors d’un événement à Coire. Pour le professeur de droit pénal Marcel Alexander Niggli, la loi antiraciste a été violée.
Sylvia Stolz, avocate allemande et négationniste de l’Holocauste, a été suspendue pour une période limitée. (20 mars 2007)
Photo : Textes juridiques signés avec “Heil Hitler”. Image: Keystone

Ivo Sasek de Walzenhausen (CH), est le fondateur de la secte [pseudo-]chrétienne Organic Christ Generation. Il s’associe aux  exclus et déçus, ayant des envies missionnaires. Pour leur offrir un podium, il a fondé l’organisation controversée Anti-Censorship Coalition (AZK) il y a près de dix ans. Depuis lors, il invite chaque année des antisémites, des chefs de sectes, des théoriciens du complot et des opposants de la vaccination à proclamer les “vérités” que les médias ont réprimées.

Sasek, 56 ans, en a remis une couche, lors de cette récente réunion à l’hôtel de ville de Coire (Chur), où il a invité l’avocate allemande et négationniste, Sylvia Stolz, interdite d’exercice pour une certaine durée, et a appelé le public à  apprendre à  connaître les nazis, et à se faire sa propre propre de ces personnes, apparemment de valeur.

L’Holocauste ne peut pas être prouvé par les tribunaux, y compris par les cadavres, les traces des auteurs et les armes

a déclaré Stolz. Sasek a remercié l’oratrice d’une voix tachée de larmes et l’a décrite comme une femme ayant le courage d’un lion.

Événement tenu secret

Spécial était également la mobilisation pour l’événement. Sasek ayant été pris pour cible par les médias lors de réunions précédentes, il a gardé cette fois le lieu secret et a invité les visiteurs à la main. Ces jours-ci, les présentations ont été publiées sur Internet, comme l’a rapporté le “Sud-est de la Suisse”.

Dans son discours de bienvenue, Sasek, qui est vénéré par environ 1 500 fidèles en Suisse et en Allemagne en tant que prophète de Dieu, a souligné que l’AZK jouissait d’une grande réputation à Coire et a dénoncé une “manipulation de l’opinion” par les médias. Il décrit son organisation comme la plus grande plate-forme européenne d’informations non censurées. Le but est d’éveiller les gens pour qu’ils deviennent les “porteurs de lumière et la troupe de combat de la vérité“. (Lichtträger und Kampftrupp der Wahrheit)

“Je suis fort dans la vérité”

a-t-il crié, incitant le public à répéter cette devise.

Les extrémistes de droite… défendus

Le clou de l’événement était l’apparition de la national-socialiste Sylvia Stolz. L’Allemande, âgée de 49 ans, est la compagne de Horst Mahler, ancien avocat de la RAF et négateur de l’Holocauste. Elle défend les extrémistes de droite, y compris Mahler, accusé d’avoir fait le salut Hitlérien. Parfois, elle signait des écrits juridiques avec «Heil Hitler», comme le disent diverses sources.

Dans le cadre de la défense du négationniste  Ernst Zündel, elle a menacé les deux juges de peine de mort pour diffamation et privilèges ennemis. Bien entendu, cela ne serait possible que si la RFA redevenait un “Reichmacht” (puissance impériale), comme elle l’espérait. À Coire, elle a également déclaré:

“Les temps sont révolus, où le peuple allemand se laisse réprimer.”

À l’époque, Stolz avait défié l’ordre de la cour, et la police l’a fait sortir du tribunal. Plus tard, elle a été reconnue coupable d’incitation, et a perdu le barreau.

Sylvia Stolz a visiblement apprécié le spectacle à Coire, car en Allemagne, elle fait face a des difficultées. Afin de contourner la loi suisse sur le racisme, elle a résumé ses opinions politiques dans une construction juridique. Le public de la salle communale l’a finalement remercié avec des applaudissements retentissants.

Marcel Alexander Niggli, professeur de droit pénal à l’Université de Fribourg et spécialiste de l’extréme droite, n’accepte pas le point de vue de Stolz. Il existe plusieurs procédures judiciaires à grande échelle dans lesquelles il a été prouvé scientifiquement que l’holocauste avait eu lieu. L’extermination des Juifs à Auschwitz, par exemple, a été déterminée par la justice. Ceux qui le contestent ont tort et plaident contre une meilleure connaissance. Ainsi, selon Niggli, Stolz nie au moins indirectement l’Holocauste et on soupçonne qu’elle a violé la borne du racisme. À son avis, le procureur doit ouvrir une procédure pénale à l’encontre de Stolz et, le cas échéant, de l’organisateur.

Orateur douteux

Ce n’est pas la première fois que Sasek invite des conférenciers d’ectrème droite. Il y a deux ans, le journaliste allemand Michael Vogt est venu donner une conférence sur le thème “Geheimakte Hess”. Il essaya de passer sous silence le rôle d’Hitler et de son adjoint Rudolf Hess.

Hess s’était rendu en Angleterre en 1941 pour mener des pourparlers de paix

a déclaré Vogt à l’époque.

Il était évident qu’Hitler avait initié cette campagne de paix

Un an plus tôt, Ivo Sasek avait invité le négateur suisse Bernhard Schaub à Saint-Gall, dans la salle d’Olma, et l’avait félicité pour son discours courageux contenant des idées d’extrême droite. Schaub a été condamné en 2007 par le tribunal d’instance de Dornach pour  racisme. Et en 2009, Jürg Stettler a participé à la conférence AZK.

Le président de la Scientologie Suisse et l’attaché de presse de la secte en Allemagne attaquaient les médias à cette époque, et il n’était pas facile pour Ivo Sasek de trouver une salle pour ses événements. Les propriétaires précédents ne voulaient pas faire de commentaire parce qu’ils craignaient d’être harcelés ou poursuivis légalement par des militants d’AZK. Mardi, personne n’était disponible à l’hôtel de ville de Coire et les onze enfants de Sasek jouent également de la musique lors de ces événements. Le fondateur de la secte a maintes fois fait les grandes lignes, car il avait écrit dans une brochure qui aime ses enfants et les châtie avec le bâton. (Tages-Anzeiger) .

Education et nouvel-âge: Comment les âmes de nos enfants sont détruites

De plus en plus, des techniques discutables (yoga, hypnose, nouvel-âge) sont utilisées en milieu scolaire et médicale, y compris dans les écoles catholiques privées. Nous reproduisons ici une prise de position du Prof. Dr. Reinhard Franzke, de Hanovre, concernant la situation à l’école (en Allemagne) vue d’un point de vue chrétien.


Remarque préliminaire

Nous vivons à « l’époque de la tolérance », dit-on. Personne ne doit être discriminé dans ce pays, ni les étrangers, ni les personnes de couleur, ni les homosexuels ou lesbiennes, ni les musulmans. Une loi anti-discriminatoire devrait interdire et punir la discrimination de tel groupe de personnes et de tel autre. Cette seule discussion pour une loi anti-discriminatoire a valu que les groupes cités ci-dessus font à peine encore l’objet de discrimination dans notre pays.

Cela vaut dans le principe, mais à une exception près : les vrais chrétiens. Tous doivent pouvoir vivre leur foi dans notre pays, sauf les chrétiens fidèles à la Bible. Ils sont embarrassés à l’école, ils critiquent la nouvelle pédagogie, surtout celle qui entre dans l’école primaire. Ils écartent les enfants de certaines manifestations (Halloween, carnaval), de certains programmes (Harry Potter) et de certaines méthodes d’enseignement (voyages de fantaisie, etc) qui sont incompatibles avec leur foi.

Toujours davantage de familles chrétiennes enseignent leurs enfants à la maison, toujours davantage de chrétiens émigrent, en raison de cas de conscience rencontrés à l’école. Beaucoup d’allemands d’origine russe se plaignent d’être harcelés dans ce pays d’une toute nouvelle façon à cause de leur foi, comparé à ce qu’ils avaient connu dans l’ancienne Union Soviétique. La pression exercée par les maîtresses et directrices d’écoles primaires, les autorités religieuses et scolaires sur les vrais chrétiens dépasse dans beaucoup de cas les limites de ce qu’on peut juridiquement accepter et de ce qui est raisonnable. Mais beaucoup d’autres familles ou mères d’origine étrangère (par
exemple africaine), renvoient leurs enfants dans leur pays natal, parce qu’elles remarquent que leurs enfants apprennent bien moins dans les écoles allemandes que dans les écoles africaines (comme le Kenya par exemple) et qu’ils se pervertissent moralement.

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pedagogie-nouvel-age

Jésus en tant qu’enfant: socialement ouvert – ou ermite?

Le magazine “Le Monde des Religions” du 09-10/2018 publie comme thème  principal : “s’effacer pour mieux se retrouver, silence, méditation, solitude, retraite”. Jésus aimait-il être solitaire? La question suivante m’est venu à l’esprit il y a quelques semaines:

Comment était la vie sociale Jésus, avant son ministère publique?

Certains chrétiens disent qu’il riait avec tous, en mettant la main sur l’épaule de chacun(e)… et imaginent des tas de choses, pas forcément bibliquement fondées. D’autres le voit comme un ermite. Peut-on répondre à cette question, sans se faire une “visualisation” propre de Jésus que l’on calque sur notre manière de vivre contemporaine, libérée ou religieuse, bref, … sans “aller au delà des Écritures”?

Un des rares textes évoquant son enfance donne indirectement un élément de réponse:

Luc 2:42-46  Et quand il eut douze ans, comme ils étaient montés à Jérusalem, selon la coutume de la fête, et qu’ils avaient accompli les jours de la fête, comme ils s’en retournaient, l’enfant Jésus demeura dans Jérusalem; et ses parents ne le savaient pas. 

Mais croyant qu’il était dans la troupe des voyageurs, ils marchèrent le chemin d’un jour et le cherchèrent parmi leurs parents et leurs connaissances; et ne le trouvant pas, ils s’en retournèrent à Jérusalem à sa recherche. Et il arriva qu’après trois jours ils le trouvèrent dans le temple, assis au milieu des docteurs, les écoutant et les interrogeant. 

Cette phrase “… ils marchèrent le chemin d’un jour et le cherchèrent parmi leurs parents et leurs connaissances” nous montre que, pour ses parents, il était tout à fait normale que Jésus passe du temps en compagnie de sa famille et des connaissances; Si ce ne fût pas le cas, Joseph et Marie n’aurait pas fait une journée de marche sans lui.

Jésus en tant qu’enfant n’était donc pas isolé, austère au contact social, mais bien en contact régulier avec ses proches. On en restera là. Apprenons à faire de même.

Réponse aimable à une visite de témoins de Jehovah

Merci d’avoir laissé votre gentil petit mot dans notre boîte aux lettres pour nous encourager à consulter le site des Témoins de Jéhovah. C’est très aimable à vous de nous proposer des conseils pour la vie de famille, l’avenir et bien d’autres sujets basés sur la Bible. Depuis de nombreuses années mon épouse et moi préférons prendre nos conseils sur tous les sujets de la vie directement dans la Bible, Parole de Dieu, car la source est inspirée de Dieu et garantie sans erreurs.

Nous suivons le principe de Psaume 118.8

« Mieux vaut chercher un refuge en l’Eternel que de se confier à l’homme ».

Nous admirons beaucoup votre entrain pour parler de la Bible autour de vous. En tant que chrétiens (Christianisme biblique), notre principal préoccupation est le salut de toute personne qui aime et cherche la Vérité. Nous aurions beaucoup aimé en parler de vive voix avec vous et vous encourager à vérifier vos croyances justement à la lumière exclusive de la Bible, l’unique et la toute-suffisante autorité que Dieu ait donné à l’humanité.

Cela vous permet de vérifier par vous-mêmes si vos croyances sont véritablement basées sur la Bible ou sur les interprétations d’une organisation.

En ce qui nous concerne, nous préférons suivre la Bible, Parole de Dieu que de suivre une organisation humaine.

C’est pourquoi vous trouverez ci-joint une petite brochure spécialement rédigée pour vous par un ami qui vous donnera plus de détails sur la façon de vérifier certaines choses, de trouver et de suivre la Vérité. C’est avec plaisir que nous en reparlerions avec vous si vous repassez par ici.

En attendant, nous vous encourageons vivement à vous procurer le livre « Les Témoins de Jéhovah à la Lumière de la Bible et de l’Histoire » de Sarkis Pachaian (l’auteur n’est pas un ex-TdJ) pour mieux comprendre le rôle de la Vérité qui nous amène à Dieu.

Au plaisir d’un prochain contact, nous vous transmettons toute notre amitié et vous remercions cordialement de votre passage.

 

Transhumanisme

Nous vivons une époque où l’on prône à nouveau, parmi les valeurs importantes, celles de l’humanisme. Curieusement, dans nos milieux évangéliques des années soixante, certains de nos maîtres nous apprenaient à nous en méfier. Que diraient-ils aujourd’hui des développements du transhumanisme ? Posons quelques repères sur ces notions.

Humanisme

L’humanisme désigne deux réalités principales. D’un côté, une ligne de pensée qui prend pour fin la personne humaine en mettant ses valeurs au-dessus des autres. De l’autre, une donnée historique, un mouvement intellectuel de la Renaissance en Europe caractérisé par la mise en valeur de l’être humain et en particulier de la dignité de son esprit. Cette valorisation puise son inspiration aux sources gréco-latines et sa matière dans la culture classique, littéraire ou scientifique.
La mise en cause de l’humanisme, qui s’exprimait chez nous il y a une cinquantaine d’années, visait surtout sa première définition puisque cette doctrine aboutissait naturellement à un culte de l’homme et à une mise à l’écart de Dieu.
Par contre, pour ce qui est de l’humanisme historique, il nous paraîtrait difficile de ne pas y voir un progrès par rapport à la barbarie, et à l’oubli des productions de l’esprit humain tout au long de l’histoire.

Transhumanisme

Pour présenter le transhumanisme, un exemple nous semble utile. Dans un véhicule spatial, non seulement l’ensemble des instruments de navigation hypersophistiqués sont nécessaires pour la réussite du vol mais surtout la connexion permanente entre l’astronaute et la machine est indispensable au bon déroulement de la mission et au retour de l’équipage sur terre. En somme, dans cette aventure, c’est comme si l’homme et la machine, intimement reliés et unis, ne faisaient plus qu’un. Ce lien de plus en plus fort entre l’homme et la machine, cette imbrication même qui voit des implants techniques introduits jusque dans le corps humain, tout cela débouche sur la notion de « cyborg » (contraction de cybernetic organism), néologisme désignant un être hybride mi-homme mi-machine.
De la science fiction à une ?daine réalité, nous voyons apparaître en effet ne sorte d’homme nouveau dont les capacités )nt multipliées par les ajouts que lui apportent science et la technique. Le transhumanisme trouve là sa racine.

La science « augmente » l’homme

Les avancées scientifiques et technologiques nt connu un développement vertigineux au cours de ce dernier quart de siècle. Il concerne principalement quatre domaines : les NanotechDlogies (techniques de l’infiniment petit), les Nanotechnologies, l’Informatique et les sciences
la Connaissance. En 2002, aux États-Unis, ne cinquantaine de chercheurs ont établi un rapport (dénommé NBIC selon les initiales des quatre domaines) qui faisait le point des avances sur ces technologies considérées comme les us prometteuses. L’objectif de ce rapport était explicite : améliorer les performances humaines. ?marquons ici que depuis l’invention du levier, à aube de l’histoire humaine, toutes les machines que l’homme a fabriquées ont été faites pour augmenter ses possibilités naturelles. Mais dans l’optique du NBIC, projeté dans un futur sans limite, cet ambitieux programme est gouverné par eux idées : la convergence technologique et la singularité.

La convergence technologique

La première apparaît comme un processus inéluctable. La convergence entre les diverses technologies est déjà bien visible.
Ce sont les progrès dans la miniaturisation des instruments et de leurs performances, les avancées dans l’informatique, entre autres, qui ont conduit aux spectaculaires développements de la médecine.
L’augmentation prodigieuse des capacités de mémoire des ordinateurs a permis, en multipliant leur puissance de calcul, de résoudre des problèmes de plus en plus difficiles dans des temps de plus en plus courts. La robotisation des taches scientifiques, industrielles, économiques, et même quotidiennes n’a cessé de se développer et de gagner de nouveaux domaines. L’accélération de la vitesse à laquelle sont transmises, traitées et diffusées les informations et la possibilité pour chacun de les recevoir sur son « mobile », les communications diversifiées et accessibles à l’infini via Internet, tout cela nous dessine un monde de données innombrables en mouvement accéléré, à la fois passionnant de possibilités nouvelles et inquiétant d’aventures folles.
En effet, dans le développement que nous venons à peine d’esquisser, bien des éléments nous émerveillent. Mais d’autres nous semblent soulever des questions sérieuses. Nous les abordons avec le deuxième principe mis en avant par le transhumanisme : celui de la singularité.

La singularité

Dans le vocabulaire de ce mouvement, la singularité désigne le basculement de l’humanité dans une autre ère. La fortune de ce mot, nous la devons principalement à un personnage qui a joué un rôle important dans les développements de l’intelligence artificielle. Il s’agit de Ray Kurzweil, né en 1948 à New York, qui a inventé, dans les années 1970, un logiciel capable de lire les livres. Il dirige aujourd’hui le Singularity Institute for Artificial Intelligence et enseigne dans la toute nouvelle Singularity University, créée en 2009 en Californie avec l’appui de Google et de la NASA.
« Que faut-il entendre par singularité ? Pour Kurzweil, nous sommes à la veille d’un « saut » technologique tellement décisif — et définitif — que nul ne peut encore le décrire. Tel est le vrai sens du mot. Il nous invite à imaginer un horizon au-delà duquel le futur s’apparente à un trou noir inobservable. Son avènement résultera de la convergence et de l’accélération des nouvelles technologies, mais aussi et surtout des progrès de l’intelligence… L es transformations de l’humanité qui s’en suivront sont imprévisibles… On peut seulement dégager quelques uns des bouleversements attendus… Multiplication des machines intelligentes capables de se reproduire elles-mêmes… enchevêtrement généralisé de l’organique et du machinique, etc. La dernière étape du processus devrait être, selon Kurzweil, celle d’un « éveil » de l’univers entier à la conscience. Dans tous les cas, l’espèce humaine telle que nous la connaissons disparaîtra » (J.C. Guillebaud, La vie vivante Ed. Arènes, p. 126). Là, nous entrons dans un espace à explorer au sein duquel les règles ordinaires de la prospective ne s’appliquent plus. Il faut ici parler de prophétisme et de ceux qui, comme Kurzweil, en sont les hérauts, de technoprophètes.

Les techno-prophètes

Dans ses écrits, Kurzweil revendique pour l’homme la liberté de remodeler sa propre espèce. Il rejette toute sorte de freins, limites et interdictions qui, au nom de la prudence ou de l’éthique, empêcheraient l’homme d’aller plus loin. « Son dernier livre contient une profession de foi enflammée, qui coïncide avec celle du mouvement transhumaniste : « Nous voulons, proclame-t-il, devenir l’origine du futur, changer la vie au sens propre et non plus au sens figuré, créer des espèces nouvelles, adopter des clones humains, sélectionner nos gamètes, sculpter notre corps et nos esprits, apprivoiser nos gênes, dévorer des festins transgéniques, faire don de nos cellules souches, voir les infrarouges, écouter les ultrasons, sentir les phéromones, cultiver nos gênes, remplacer nos neurones, faire l’amour dans l’espace, débattre avec des robots, pratiquer des clonages divers à l’infini, ajouter de nouveaux sens, vivre vingt ans ou deux siècles, habiter la lune, tutoyer les galaxies. » (op. cit. p. 127).
Nous sommes loin de l’humanisme traditionnel, qui est considéré dans ce courant comme une vision fermée et dépassée de notre condition et de notre destinée. Cette vision, nous dit-on, est inspirée par une transcendance fondatrice d’ordre religieux (foi en un Dieu créateur) ou métaphysique qu’il faut rejeter au nom de la science. « Le transhumanisme, observe le philosophe et polytechnicien Jean-Pierre Dupuy (p.121), est typiquement l’idéologie d’un monde sans Dieu. »

Le retour du « meilleur des mondes » ?

Le transhumanisme nous apparaît donc comme une sorte de nouvelle utopie qui « vient combler le décalage existant entre les réalisations techniques dont l’homme s’est montré capable au cours de l’Histoire et l’infirmité meurtrière de son cheminement éthique, moral et politique. » (p. 129). Il professe une totale incrédulité envers la politique et le social, survivances inefficaces de la pensée humaniste, pour s’en remettre à la technique, seule capable de remédier aux mal-
heurs des hommes. Affranchies de toute préoccupation éthique, ses promesses veulent permettre de croire à de nouveaux lendemains qui chantent : « les OGM régleront le problème de la faim dans le monde ; un remodelage neurologique permettra de guérir les hommes de la violence qui les habite ; la vidéosurveillance fera disparaître la délinquance urbaine ; la banalisation de l’utérus artificiel parachèvera la libération des femmes ; le clonage rendra superflues les astreintes de la procréation sexuée, etc. » (pp. 135-136).
Cette soi-disant « amélioration » de l’espèce humaine fera immanquablement naître deux types d’humains : ceux qui auront été « améliorés », les « surhommes » (une minorité), et les autres composés de millions de « sous-hommes ». Il est difficile ici de ne pas évoquer le fameux livre d’AIdous Huxley, Le meilleur des mondes, avec son humanité constituée en cinq castes, depuis les Alpha (élite dirigeante) jusqu’aux Delta et Epsilon (classes inférieures). À quoi il faut ajouter la « Réserve des Sauvages ». Rappelons que ce texte date du début des années trente !

Qu’est-ce que l’homme ?

« L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant. » (Pascal, Pensées).
Borné dans sa nature, infini dans ses vœux – L’homme est un dieu tombé qui se souvient des cieux. (Lamartine, Méditations poétiques) Beaucoup moins poétique, la définition de l’homme par les trans-humanistes s’énonce ainsi: une concrétion éphémère — et manipulable à loisir — de gènes et de cellules partout présentes dans la réalité organique… Les sentiments et les pensées qui nous habitent — peur, dépression, affection — résultent d’une combinaison changeante de substances comme la sérotonine ou l’ovocytine… Ce que nous appelions jusque-là la conscience, l’esprit ou l’âme ne sont rien de plus qu’une émergence aléatoire et mouvante produite par un réseau de connexions neuronales (p. 120-121)…
C’est bien trop peu pour nous.

Qu’est-ce que l’homme ?

C’est cette créature unique que Dieu a faite à son image. Cette admirable sculpture de glaise, soudain animée par un souffle de vie. Ce duo homme et femme, êtres de parole en dialogue d’admiration, d’amour et de sagesse. Ce couple regardant le monde, nommant les êtres et les choses, et cultivant leur jardin. Ce mammifère bipède capable de se reproduire, de penser le monde et de se penser lui-même. Cet être génial capable d’inventer et de construire des machines, de peindre des tableaux, de raconter son histoire, de chanter ses joies, ses rêves et ses souffrances, de s’organiser socialement, d’apprendre, de grandir, de se dépasser. Cet être enfin, misérable aimé de Dieu, capable de choisir le mal et de le faire, de penser des folies et de les réaliser, de devenir plus inhumain que les animaux, de le reconnaître, de s’en repentir et, saisissant la grâce, de renaître. Voici l’homme.
Albert SOLANAS
Membre du comité de rédaction, pasteur à la retraite, Église baptiste de Nîmes
Le lien fraternel de. 2012

Carl Gustav JUNG

Extrait du livre “la tour de Babel du Nouvel-Âge”,

disponible en anglais chez “Way of Life Literature”. (traduction d’un article de truedsicernment.com)

Carl Gustav Jung (1875-1961),

fondateur de la psychologie analytique, a été influent, non seulement dans la société en général, mais aussi dans le mouvement du Nouvel-Âge et dans presque tous les aspects du “christianisme”. Jung a influencé à la fois les modernistes et les évangéliques.

Ses écrits sont influents dans le mouvement contemplatif. Il a été promu par Paul Tillich, Morton Kelsey, John Sanford, Thomas Moore, Joseph Campbell, John Spong, Richard Foster, Agnes Sanford et Gary Thomas, pour n’en nommer que quelques-uns. La classification de Jung par type psychologique fournit les bases de la partie “Profils de personnalité” du programme SHAPE de Rick Warren, qui a été utilisé par d’innombrables églises et institutions.

C G Jung

Jung (prononcé Young) a été appelé “le psychologue du 21ème siècle” (Merill Berger, The Wisdom of the Dreams, couverture).

Ed Hird a affirmé:

“On pourrait dire sans exagérer que Carl Jung est le Père du néo-gnosticisme et du mouvement du Nouvel-Âge ” (Hird, “Carl Jung, Neo-Gnosticism and the Meyers-Briggs Temperament Indicator” (MBTI), “March 18, 1998; réimprimé dans Who’s Driving the Purpose Driven Church fr: qui conduit le mouvement guidé pour l’essentiel de James Sundquist, Annexe C).

Jeffrey Satinover affirme:

“L’impact direct et indirect de Jung sur le christianisme dominant – et donc sur la culture occidentale – a été incalculable. Il n’est pas exagéré de dire que les positions théologiques de la plupart des dénominations traditionnelles dans leur approche pastorale, ainsi que dans leurs doctrines et liturgies, sont devenues plus ou moins identiques à la théologie psychologique / symbolique de Jung “(Homosexualité et Politique de la Vérité , P. 240, cité par Ed Hird).

Jung a collaboré avec Sigmund Freud de 1907 à 1912, mais après une chute, ils se sont séparés.

Avec cette mode du Nouvel-Âge, Jung a exploré

  • l’hindouisme,
  • le bouddhisme,
  • le taoïsme,
  • le Ching,
  • l’astrologie,
  • le spiritisme,
  • le gnosticisme,
  • l’alchimie,
  • l’interprétation des rêves,
  • le symbolisme du mandala,
  • la théosophie,
  • la mythologie grecque
  • … et plus encore.

Il passa du temps en Inde à étudier les religions orientale et les pratiques populaire. Il écrivit la première introduction au bouddhisme zen. Il a rassemblé l’une des plus grandes collections d’écrits spiritualistes trouvés sur le continent européen (Jeffrey Satinover, The Empty Self, p.28).

Jung a utilisé les méthodes de divination de I-Ching dans les années 1920 1930 et le programme de formation de l’Institut Jung de Zurich comprenait à l’origine cette pratique (Richard Noll, The Jung Cult: Origines d’un mouvement charismatique, 1994, p. 333, cité par Ed Hird).

Dans une lettre à Freud, Jung déclarait:

«J’ai fait des calculs horoscopiques afin de trouver un indice du noyau de la vérité psychologique. … J’ose dire que nous devrions un jour découvrir en astrologie une bonne connaissance projetée intuitivement dans les cieux »(Richard Webster, Why Freud Was Wrong, 1995, page 385).

Dès 1911, Jung cita un théosophe pratiquant, G.R.S. Mead, “de manière régulière dans ses œuvres et tout au long de sa vie” (Richard Noll, The Jung Cult, p. 69).

Jung a été en communication avec des esprits toute sa vie.

Il a «pratiqué

  • la précognition,
  • la clairvoyance,
  • la psychokinésie
  • et le phénomène d’hanter»

(l’Encyclopédie Harper de l’Expérience mystique et paranormale).

Sa mère et sa grand-mère maternelle étaient des “médiums de fantômes”. Sa mère passait une grande partie de son temps dans sa chambre séparée,

“enthousiasmée des esprits qui, selon elle, lui rendaient visite la nuit” (“Carl Jung”, Wikipedia).

Sa famille était fortement impliquée dans des séances de spiritisme. Pendant de nombreuses années, Jung a assisté à des séances avec sa mère et ses deux cousines (John Kerr, A Most Dangerous Method: The Story of Jung, Freud et Sabina Spielrein, 1993, p. 50, 54, cité par Ed Hird). Sa grand-mère, Augusta Preiswerk, “tomba dans une transe de trois jours à l’âge de vingt ans, au cours de laquelle elle communiquait avec les esprits de morts et faisait des prophéties”

(Harper’s).
Dans son jeune âge, Jung estimait avoir deux personnalités, l’une était lui-même, l’écolier, et l’autre était un homme du 18ème siècle. Cette autre personnalité, nommée Philémon, avait sa propre vie et parlait avec Jung. Évidemment, c’était un esprit familier.

Jung eut un coup dur suite à sa séparation d’avec Sigmund Freud, et fût presque suicidaire, il renouvela le contact avec cet esprit et Philémon qui devint son guide. Jung déclara:

«Philémon représentait une force qui n’était pas moi-même… Ce fut lui qui m’enseigna l’objectivité psychique “(James Sundquist, A Review of the Purpose Driven Life).

Philémon apparaissait à Jung comme «un vieillard avec des cornes de taureau … et des ailes d’un pêcheur» et comme Elijah et Salome. Celui-ci s’adressait à Jung en lui donnant le titre de Christ (C.G. Jung: psychologie analytique: notes du séminaire donné en 1925, Princeton University Press, 1989, p. 86, 98).

Après sa séparation d’avec Freud, il a souffert une crise de six ans «pendant laquelle il eu des fantasmes psychotiques» et expérimenta «de nombreux phénomènes paranormaux». Il s’immergea dans “le monde des morts” et écrivit le livre 7 Sermons pour les morts sous le nom d’un écrivain gnostique , Basilides.

Le père de Jung était pasteur, mais doutait. Jung rejetait ouvertement Christ.

Il affirma:

“Le Seigneur Jésus n’a jamais été suffisamment réel pour moi, jamais tout à fait acceptable, jamais tout à fait amical, car encore une fois, je pense à son homologue souterrain [se référant à un de ses rêve immoral récurrent]. … Le Seigneur Jésus m’ a paru en quelque sorte comme un dieu de la mort… Sans le révéler, son amour et sa gentillesse, dont j’ai toujours entendu des éloges, m’ont paru douteux “(Jung, Memories, Dreams, Reflections, p.13).

Il y a d’autres choses que Jung a dites en relation avec Christ qui sont encore plus affreuses, mais je ne désire pas les citer. Il suffira de dire qu’il était un blasphémateur malmené par des puissances démoniaques, et qui rejetait Christ au plus haut point.

Jung considérait toutes les religions comme des mythes, mais se sentait utile. Il croyait que le secret de la vie se trouvait

«au cœur mystique de toutes les religions» consistant en un «voyage de transformation» pour trouver son vrai soi, et l’harmoniser au Divin.

Jung a dit que l’homme devrait

“s’aimer soi-même, car ainsi il aime Jésus, parce que Jésus c’est “vous””
(Bill Isley, «The Ragamuffin Gospel: A Critique», Lettre d’information de Psycho-hérésie Awareness Ministries, juillet-août 2003).

Jung a déclaré que

Jésus, Mani, Bouddha et Lao-Tse sont tous des «piliers de l’esprit»
et qu’il «ne pouvait préférer l’un ou l’autre»
(John Dourley, C.G. Jung et Paul Tillich, p. 65).

Jung croyait à l’«inconscient collectif», étant censé être la conscience universelle de l’humanité se situant au niveau du subconscient. Cela consiste apparemment en la somme de la pensée humaine depuis son évolution animale, et par la psychiatrie et la religion mystique, l’homme peut se plonger dans ce royaume. Jung a défini la conscience collective comme “le sédiment de toute l’expérience de l’univers de tous les temps, étant ainsi l’image de l’univers en formation depuis la nuit des temps.
(Documents recueillis sur la psychologie analytique, «La psychologie du processus inconscient», p. 432).

Ceci, bien sûr, est l’un des dogmes fondamental du Nouvel-Âge et, provient certainement de son étude des religions orientales et de diverses formes de mysticisme occulte, comme la Théosophie.

L’inconscient collectif est un mythe pur.

Richard Webster observe judicieusement que «l’inconscient n’est pas simplement une entité occulte dont l’existence réelle n’a aucune preuves palpables. C’est une illusion induite du langage – une sorte d’hallucination intellectuelle”.
(Richard Webster, Why Freud Was Wrong, p. 250, cité par Ed Hird).

Jung a cherché intensément à comprendre «le psyché» par l’interprétation des rêves. C’est une partie de la “psychologie profonde” qui cherche à comprendre les parties cachées ou profondes de l’expérience humaine.

Il a cru que les rêves reflètent à la fois l’inconscient personnel et l’inconscient collectif , et qu’ils contiennent autant de révélations que de fantasmes.

Jung s’est accroché à la croyance gnostique blasphématoire que le bien et le mal peuvent être conciliés.

“Pour Jung, le bien et le mal se sont transformés en deux principes cosmiques égaux, équilibrés qui appartiennent tous deux à une synthèse globale. La relativisation du bien et du mal par la réconciliation est le cœur des anciennes doctrines gnostiques qui se trouvent dans la spiritualité, donc la morale, de l’homme lui-même. D’où «l’union des opposés» (Satinover, Homosexualité et Politique de la Vérité, p. 240).

Jung s’est associé au principe de l’Église émergente Nouvel-Âgeuse selon lequel “deux chemins sont bons” (Dourley, C. G. Jung et Paul Tillich, p. 279). L’église émergente appelle ceci, “l’orthoparadoxie”.

Jung croyait en la réincarnation et “a tiré beaucoup de ses croyances dans le Livre tibétain des morts”.
(Harper’s Encyclopedia of Mysticism).

Jung croyait au pouvoir de la visualisation.

Il disait que de maintenir des images mentales de Jésus et de Marie avait le pouvoir de surmonter la négativité.
Plus tard dans la vie, Jung s’intéressa aux ovnis et écrivit un livre intitulé Les soucoupes volantes: un mythe moderne des choses vues dans les cieux.

Jung est resté marié à la même femme pendant 52 ans, mais il avait des relations adultères avec d’autres.

NDLR: Jung et Hitler

Et enfin, … on s’étonne que cet homme soit si référencé et admiré en psychologie, n’ayant lui même aucun discernement.

Jung avait certaines croyances communes à Hitler (Hindouisme) et s’est laissé en effet subjugué un temps par le National-Socialisme.

« Les Juifs ont en commun avec les femmes cette particularité .- étant physiquement plus faibles, ils doivent chercher les défauts de l’armure de leurs adversaires, et grâce à cette technique qui leur a été imposée tout au long des siècles, ils sont mieux protégés là où les autres sont plus vulnérables. En sa qualité de membre d’une race dont la culture est vieille de plus de trois mille ans, le Juif est psychologiquement plus conscient de lui-même que nous ne le sommes. C’est pourquoi, d’une manière générale, il est moins dangereux pour le Juif de déprécier son inconscient. En revanche, l’inconscient “aryen” contient des forces explosives et la semence d’un avenir encore à naître. Étant encore jeunes, les peuples germaniques sont parfaitement capables de produire de nouvelles formes de culture et cet avenir a son siège dans l’obscurité de l’inconscient de chaque individu où reposent des semences gorgées d’énergie et capables d’un éclat puissant. Le Juif, qui a quelque chose du nomade, n’a jamais produit et ne produira jamais une culture qui lui soit propre, car tous ses instincts et ses dons exigent pour se développer un peuple hôte, plus ou moins civilisé.
La race juive, dans son ensemble, possède – c’est du moins mon expérience – un inconscient qui ne peut être comparé à l’inconscient “aryen” que sous certaines réserves. À l’exception de quelques individus créateurs, le Juif moyen est déjà bien trop conscient et différencié pour porter en lui les tensions d’un avenir encore à naître. L’inconscient “aryen” a un potentiel supérieur à l’inconscient juif ; tel est l’avantage et le désavantage d’une jeunesse pas encore complètement sevrée de la barbarie. À mon avis, cela a été une grande erreur de la psychologie médicale d’appliquer sans discrimination des catégories juives- qui ne sont même pas valables pour tous les Juifs – à la chrétienté allemande et slave. 

Du coup, on est venu à qualifier le secret le plus précieux des peuples germaniques – leur profondeur d’âme créatrice et intuitive – de marécages banals et puérils 

tandis que mes avertissements se voyaient soupçonnés d’antisémitisme. Ce soupçon émanait de Freud. Or Freud ne comprenait pas la psyché allemande, pas plus d’ailleurs que ses épigones germaniques. Le grandiose phénomène du national-socialisme que le monde entier contemple étonné les a-t-il éclairés ?» (1)

1934, journal officiel de la psychothérapie allemande

Il a ensuite retourné sa veste comme beaucoup après 1940.