Nouveaux livre de Sarkis PACHAIAN

À l’occasion de cette fête de la Pentecôte, j’ai la joie de vous annoncer la parution de mon nouveau livre intitulé « Le baptême de l’Esprit et le parler en langues à la lumière de la Bible. » Paru d’abord comme une brochure à 44 pages, ce livre lui contient 216 pages. Profitant du temps de  ce confinement j’y ai développé en profondeur les trois thèmes suivants sous forme de questions-réponses:

1. Le baptême du Saint Esprit, 2. Le parler en langues, 3. Les signes, les prodiges et les miracles.


Qu’est-ce que le baptême du Saint Esprit?

Est-il une deuxième expérience?

Quand se réalise-t-il? 

Quel est son but? 

Les chrétiens nés de nouveau devraient-ils le rechercher? 

Quelle est la nature et l’objectif du parler en langues? 

Sont-elles des langues humaines ou angéliques? 

Tous les chrétiens devraient-ils avoir ce don  et le pratiquer? 

Ce don existe-il encore? 

Et enfin que penser concernant les signes et les miracles qui se produisent aujourd’hui dans les églises et ailleurs?
Je sais que ce sont des sujets bien sensibles. Mon désir par ce livre est de mettre à l’honneur l’œuvre et l’action de l’Esprit Saint, la troisième personne de la Trinité. Je désire que les croyants comprennent mieux les actions de l’Esprit et utilisent leurs dons pour la gloire de Dieu, pour l’édification de l’Église et pour le salut des âmes.


Vous pouvez commander ce livre actuellement chez « le Bon livre » à Bruxelles : Rue du Moniteur 7, 1000 BruxellesE-mail: lebonlivre@skynet.beTél: 0470524310 


En France: EXCELSIShttps://www.xl6.com/articles/9786257927291-le-bapteme-de-l-esprit-et-le-parler-en-langues-a-la-lumiere-de-la-bible-questions-et-reponses


CLChttps://www.clcfrance.com/sarkis-pachaian_aut_6635.html
Bien fraternellement en Christ Sarkis

Presse: Les dérives du yoga

le 10 avril 2019 

MARIE-CLAUDE MALBOEUF
La Presse

Méconnaissance de l’anatomie, blessures plus fréquentes, enseignements parfois farfelus, inconduites sexuelle… L’engouement pour le yoga a fait exploser le nombre de studios à Montréal, mais ils ne sont pas tous sûrs, affirment des professeurs. Qui adorent la pratique et ses bienfaits, mais sont néanmoins inquiets pour le grand public.

Une expansion anarchique

Le jour où son ex-voisine – et élève occasionnelle – a atterri aux urgences, le professeur de yoga Julien Gagnon voyait se concrétiser ses pires craintes.

« Une prof de yoga lui avait dit de se faire un lavement au sel pour se purifier. Alors, elle l’a fait et s’est ouvert l’oesophage sur toute la longueur », rapporte l’étudiant en kinésiologie, propriétaire d’un autre studio, Asana Performance, destiné aux athlètes.

« On présente toujours le côté “Calinours” du yoga, où tout est toujours beau. Mais il y a un revers à la médaille », dit-il.

Le futur kinésiologue n’est pas le seul à s’inquiéter. Plusieurs yogis d’expérience ne reconnaissent plus leur milieu, qui a connu une expansion fulgurante.

La formation d’aspirants professeurs de yoga n’est ni surveillée ni réglementée. Le contenu des cours non plus. « On se retrouve avec plein de gens extrêmement sous-qualifiés qui prennent soin du corps des autres », s’inquiète Julien Gagnon, qui est danseur de formation.

Il suffit de 200 heures – dont 30 sur l’anatomie – pour obtenir une certification, dit-il. « On s’en fiche, des heures ! Il faudrait que la formation se compte en années ! »

Hier, La Presse a publié une enquête au sujet d’un ex-culturiste, qui a formé des professeurs de yoga pendant 10 ans dans le Plateau Mont-Royal. Aujourd’hui, plusieurs ex-élèves soutiennent avoir été exploitées psychologiquement, financièrement ou sexuellement pendant leur formation.

« C’est le symptôme spectaculaire de quelque chose de plus généralisé [le manque d’éthique et de surveillance], qui explique que quelqu’un comme ça ait pu travailler aussi longtemps sans être dérangé », affirme Marie-Daphné Roy, fondatrice du centre Yoga Bhavana, dans le quartier Villeray.

Acrobaties et blessures

Problèmes d’articulations, de dos, de tendons… « Chaque année, de 20 à 30 personnes me consultent parce qu’elles se sont blessées au yoga, rapporte Julien Gagnon. La récupération peut prendre plusieurs mois. »

Comme n’importe quels autres sportifs – encore plus sujets aux accidents -, certains s’étaient fait mal par excès de zèle. Mais plusieurs autres avaient été mal conseillés, estime-t-il.

Deux novices ont été poussées à renverser leur corps sur leurs épaules, écrasées par cette lourde charge. Par la suite, la première « ne pouvait même plus tenir une pomme ou une orange », raconte M. Gagnon. La seconde s’était présentée au cours avec des hernies discales aux cervicales : « Cette posture aurait pu la laisser paralysée ! »

Les gens veulent parfois « entrer » dans des postures sans tenir compte de leurs limites, de leur colonne vertébrale, parce qu’on leur a promis que ça débloquerait leurs « chakras » et qu’ils « atteindraient l’extase », déplore le futur kinésiologue.

« Certains sont totalement ensorcelés. On a mis la religion de côté, alors ils cherchent de nouvelles valeurs. Mais on joue avec eux quand on se prend pour des gourous. C’est manquer d’éthique. »

La femme à l’oesophage déchiré par un lavement faisait partie d’une formation suivie chaque année par une centaine d’autres aspirants professeurs, précise Julien Gagnon.

« Trop de gens sont des cobayes ! Qu’est-ce qui va se passer dans 10 ans si tu compresses tes hanches, ton dos à répétition ? On ne le sait pas…

« Non seulement on peut endommager nos disques, mais on peut aussi endommager nos organes, car on est souvent en train de les projeter vers le bas. À la longue, ça peut finir par créer plus d’incontinence chez les femmes et plus de hernies chez les hommes », prédit-il.

De 2001 à 2014, le taux de blessures de yoga traitées dans les urgences a pratiquement doublé aux États-Unis, et a été multiplié par 8 chez les 65 ans et plus – bien qu’elles restent globalement rares, à 17 par 100 000 participants. Il s’agissait d’entorses et de foulures dans environ la moitié des cas.

« Il semble y avoir un potentiel manque d’éducation adéquate, même pour les instructeurs certifiés », avancent les chercheurs ayant analysé ces données1.

« Référés par des psychologues »

L’écrivain et professeur de yoga torontois Matthew Remski a déjà subi des ajustements brutaux « dans lesquels [sa] cuisse ou [son] épaule était poussée, déchirée ou manipulée, comme s’il s’agissait de dompter une sculpture en métal indisciplinée », écrit-il sur son site internet.

Son professeur était pourtant « hautement qualifié » – comme l’étaient les profs de plusieurs autres des quelque 200 yogis blessés qu’il a interrogés dans le cadre d’une enquête.

À l’origine, le yoga était une pratique spirituelle et la douleur était vue positivement, comme un signe de transformation, explique Matthew Remski. Mais aujourd’hui, c’est tout le contraire : on promet de soigner son corps grâce au yoga.

« Le yoga a plusieurs bienfaits prouvés scientifiquement », indique un guide publié en 2017 par l’École de médecine de l’Université Harvard. Les impacts positifs énumérés concernent entre autres : l’endurance, la souplesse, l’équilibre, le sommeil, les systèmes immunitaire et nerveux, la mémoire et l’attention, la dépression et l’anxiété, le stress, la fatigue, la douleur et la consommation d’alcool ou de cigarettes…

« Les gens sont de plus en plus nombreux à s’initier au yoga dans l’espoir de soigner des blessures ou parce qu’ils ont été référés par des psychologues », constate Marie-Daphné Roy, qui enseigne le yoga depuis 20 ans et est aussi massothérapeute.

« C’est super ! Mais les professeurs de yoga ne sont pas forcément formés pour aider des blessés ou des gens en dépression. Ils peuvent parfois aider, mais certains pourraient tout aussi bien aggraver la situation sans s’en rendre compte… »

– Marie-Daphné Roy, massothérapeute et professeure de yoga

Au fil de sa carrière, elle a observé toutes sortes de petits dérapages : « Ils surviennent quand des gens immatures se retrouvent en position de pouvoir, sans que personne ne leur ait jamais enseigné que des responsabilités viennent avec la relation prof-élève », ajoute Mme Roy.

« En yoga, on sent notre corps, on se sent connecté, et c’est facile de conclure que le professeur est la cause de ce bien-être jamais ressenti auparavant. Ça crée une grande fidélité. »

Un prof a eu des relations amoureuses avec au moins trois élèves, raconte Mme Roy. D’autres ont rendu des élèves dépendants, sans même chercher consciemment à le faire, précise-t-elle. « La quête de mieux se connaître, d’être bien dans son corps, on peut vite transformer ça en dépendance. Le prof peut encourager les inscriptions de façon constante. Ça finit par avoir un impact sur le portefeuille. »

Que faire ?

Dans la foulée du mouvement #moiaussi, la plus grande association de professeurs de yoga en Amérique du Nord, Yoga Alliance, a ajouté sur son site une section intitulée « Ressources sur l’inconduite sexuelle », où l’on trouve sa politique sur le sujet. « Mais c’est juste un guide, ça ne donne aucun recours au public », souligne Marie-Daphné Roy.

Elle suggère d’imposer un plancher de 10 ans d’expérience pour pouvoir entraîner les aspirants professeurs de yoga. Et qu’une instance quelconque sélectionne et encadre ces formateurs chevronnés.

Pour Matthew Remski, il est encore plus urgent de s’attaquer au « culte de la personnalité » dont bénéficient certains professeurs vedettes. « Les blessures les plus dommageables viennent de relations profs-élèves dysfonctionnelles », affirme l’écrivain, qui vient tout juste de publier un livre sur la dynamique sectaire dans le milieu du yoga (lisez son entrevue sur le sujet à l’onglet suivant).

C’est ce qui permet à quelques-uns d’imposer des « comportements abusifs » et des « méthodes discutables », estime-t-il.

Quelque 90 400 professeurs de yoga américains ou canadiens sont actuellement certifiés par la Yoga Alliance. Leur nombre augmente de plusieurs milliers chaque année.

Le nombre d’Américains qui pratiquent le yoga a atteint 36,7 millions en 2016. Une hausse de 80 % en quatre ans et de 817 % en 15 ans.

1. « Yoga-Related Injuries in the United States From 2001 to 2014 », Orthopaedic Journal of Sports Medicine

Ce qu’en pense la Canadian Yoga Alliance

« Nous sommes fortement en accord [avec les conclusions de l’étude américaine sur les blessures en yoga] pour dire que les normes nationales doivent être plus strictes au sujet de la sécurité », nous a indiqué par courriel la Canadian Yoga Alliance (CYA), qui regroupe près de 2000 professeurs de yoga canadiens. « Certaines associations enregistrent des écoles n’ayant pas ou peu de critères de sélection de professeurs, ce qui produit des profs sans expérience ni formation préalable en yoga. Les problèmes commencent quand ils vont ensuite enseigner. Un marché de professeurs de yoga inexpérimentés provoque des blessures. » Les écoles membres de la CYA doivent pour leur part sélectionner leurs professeurs en fonction de critères obligatoires, sous peine d’être radiées. « Comme dans d’autres professions, il y a des pommes pourries », ajoute l’organisme dans son courriel. « Nous avons peut-être reçu trois ou quatre plaintes concernant des professeurs de yoga en près de deux décennies. Mais aucune plainte de nature sexuelle ni une seule demande d’assurance pour dommages corporels. »

Comment le piège se referme

Aux États-Unis, depuis 2012, plusieurs élèves ont accusé trois superstars du yoga de les avoir exploitées sexuellement. Après avoir appris que son ancien maître était du lot, le professeur de yoga torontois Matthew Remski a recueilli les témoignages de 16 femmes et d’une centaine d’autres personnes. Il raconte le tout dans un nouveau livre, qui permet de comprendre comment le piège se referme : Practice and All Is Coming – Abuse, Cult Dynamics, and Healing in Yoga and Beyond(« Entraîne-toi et tout suivra : abus, dynamique sectaire et guérison dans le yoga et au-delà »). Nous avons lu son ouvrage et l’avons interviewé. Compte rendu (adapté par souci de concision).

Qui peut devenir prisonnier d’un groupe de yoga toxique ?

Cela n’a rien à voir avec la personnalité de l’individu. Les désirs d’appartenance ou de trouver un sens sont très humains. Tout le monde passe par des périodes de vulnérabilité, vit des deuils, une séparation, la maladie… C’est ce qui nous rend plus vulnérables devant les promesses d’un groupe.

« Personne ne s’enrôle dans une secte, on retarde le moment de quitter une organisation qui nous a trahis », m’a dit une des victimes de Pattabhi Jois [son ancien maître, célèbre fondateur d’Ashtanga Yoga].

Pourquoi ne pas fuir dès les premiers signes inquiétants ?

La personne sent bien qu’il se passe quelque chose de mal, mais les autres membres la conditionnent à ignorer l’abus. Ils le dépeignent comme quelque chose de bénéfique spirituellement et peuvent même se montrer jaloux.

La prémisse voulant que le leader soit un maître spirituel favorise le déni. On répète à la victime qu’elle doit continuer à pratiquer le yoga pour comprendre ses gestes, qu’elle manque de courage si elle veut partir.

C’est une forme de « toilettage social ». Pattabhi Jois a pu commettre des crimes pendant des décennies parce que ses élèves disaient aux femmes que ses attouchements n’étaient « pas sexuels ».

Pourquoi ne pas fuir après une grave agression ?

Si une personne se fait fracturer la jambe, on ne la tiendra pas responsable de ne pas se mettre à courir pour fuir son agresseur. L’attaque a anéanti ses capacités.

Les relations abusives érodent tout autant la faculté d’agir. Maintenir une personne dans les émotions et l’isolement l’empêche d’exercer sa pensée critique.

La victime devient émotivement et financièrement dépendante de la structure. Ce qu’elle vit dans le groupe la reprogramme petit à petit et désorganise ses stratégies d’attachement.

Le maître est vu comme un père. Et, comme les enfants battus, la victime se sent obligée d’aller chercher des soins auprès de lui, même s’il lui fait du mal et si elle veut fuir.

Ces réflexes contradictoires la paralysent. Quand elle a peur, son esprit peut même s’éteindre, elle peut s’absenter d’elle-même. C’est une façon de survivre. Mais cet engourdissement peut être interprété à tort comme une expérience spirituelle.

Est-il possible d’intenter des poursuites ?

Il est difficile de prouver l’absence de consentement dans ce genre de situations, parce que la loi ne tient pas compte du fait que des gens semblent consentir, alors qu’ils sont en fait victimes d’une influence indue.

Les défenseurs de Pattabhi Jois disent que les femmes consentaient à être touchées puisqu’elles retournaient le voir. Mais c’est un « consentement » problématique, dans la mesure où la réponse à un traumatisme peut être de geler, de figer ou de chercher à apprivoiser [l’agresseur].

En réalité, il y a un contact sexuel non désiré puisqu’il y a un déséquilibre de pouvoir.

Quelles croyances sont nuisibles ?

Des maîtres de la croissance personnelle martèlent qu’avoir une « mentalité de victime » trahit un manque de caractère, qu’être « victime » est débilitant.

Le terme doit être déstigmatisé. Il a aussi un sens purement juridique, qui sert à désigner une personne contre laquelle un crime a été commis. Prétendre que l’impact du crime ne tient qu’à l’attitude de la victime est injuste et faux. Le crime est traumatisant, il a un impact sur le corps. Le trauma n’est pas une « mentalité ».

Reconnaître qu’il y a eu tromperie permet de replacer la responsabilité là où elle réside vraiment. Personne ne devrait être blâmé pour avoir été berné.

Pourquoi avoir écrit un livre sur le sujet ?

Pour réduire le risque que des gens entrent dans un groupe en souhaitant guérir ou être guidés et vivent tout autre chose. Connaître la dynamique des groupes toxiques – l’idéalisation, le transfert – nous rend moins vulnérables.

En donnant une voix aux femmes qui ont été victimes de Pattabhi Jois, j’espère aider des gens à reconnaître leur propre expérience. Un certain modèle de professeurs masculins et charismatiques suscite encore la fascination, ce qui peut conduire à la domination.

Toute l’industrie du yoga est aux prises avec un problème envahissant : l’absence de réglementation et de responsabilité.

Quatre cas de suspects

Des attouchements en plein cours

Des vedettes comme Sting, Madonna et Gwyneth Paltrow étaient fans de Pattabhi Jois, fondateur de la méthode de yoga Ashtanga, qu’il enseignait aux États-Unis et en Inde. « Des femmes rapportent que [devant tous les autres élèves], il tâtait leur poitrine, se frottait sur elles en bougeant et les pénétrait de façon digitale, sous prétexte d'”ajuster” leur posture », écrit Matthew Remski dans un article publié dans The Walrus, après deux ans d’enquête. Jois a d’abord été dénoncé sur Facebook – huit ans après sa mort – en 2017. Mais des vidéos corroborent en partie ce que les victimes rapportent.

Pénétrées à travers leurs vêtements

Il y a quelques jours, un prof vedette d’une très populaire branche de yoga a été radié… trois décennies après les premières plaintes le concernant. Le fondateur de l’école lui avait d’abord donné « une deuxième chance », ce qui avait provoqué la démission de professeurs indignés. Manouso Manos – qui a donné un atelier à Montréal en juillet – a pénétré avec ses doigts des Américaines à travers leurs vêtements ou touché leur poitrine, sous prétexte d’« ajuster » leur posture. Leurs témoignages sont convaincants « hors de tout doute raisonnable », précise le rapport d’enquête indépendante mis en ligne la semaine dernière sur le site de l’association américaine de yoga Iyengar (IYNAUS).

Millionnaire en fuite

Bikram Choudhury – devenu millionnaire en popularisant la pratique du yoga dans des pièces surchauffées – a fui la Californie pour l’Asie lorsqu’un jury l’a condamné à verser 6,5 millions à une ex-employée. Elle avait été témoin et victime de ses agissements « graves, continus et offensants » à l’égard des femmes et des minorités. Plusieurs autres femmes le poursuivent pour harcèlement ou agression. « Je les ai trouvées dans les déchets et leur ai donné vie », a-t-il dit en entrevue avec HBO, en 2016. « Pourquoi devrais-je harceler ? Les gens dépensent 1 million pour une goutte de mon sperme. »

Massages à plusieurs mains

Une autre superstar du yoga, John Friend, a eu des relations sexuelles avec des employées. Et lancé un groupe de « sorcières », qui se dénudaient pour lui donner des massages à plusieurs mains. Le scandale a été rapporté par de grands médias en 2012, après la diffusion de documents sur un site anonyme et la cueillette de témoignages. Une femme a dit au site Daily Beast que leur premier « rituel » avait eu lieu lors d’un séjour à Montréal, en 2008. Disant s’absenter pour « réfléchir » et suivre une thérapie, John Friend a quitté son entreprise, Anasura, pour en lancer ensuite une autre, Sridaiva.

www.lapresse.ca/actualites/enquetes/201904/09/01-5221563-les-derives-du-yoga.php

Un moment avec Jésus : qu’en penser?

L’ouvrage Un moment avec Jésus, de Sarah Young, s’inscrit dans la ligne de tous ceux qui nous sont proposés pour nous accompagner dans notre piété personnelle. Si l’intention n’est pas originale, la méthode l’est tout à fait ! Les commentaires qu’elle nous livre et qui accompagnent le verset proposé, ne sont pas les fruits de sa réflexion personnelle, tirée de la méditation de la Parole de Dieu, mais le résultat d’une communication directe, reçue de la part de Jésus lui-même. Jésus s’adresse à elle, sans autre vecteur que sa concentration personnelle. Si certaines critiques du livre sont excessives lorsqu’elles comparent la méthode de Sarah Young à l’écriture automatique, la forme y ressemble.

« J’ai donc décidé de me mettre à son écoute, un stylo à la main, et de mettre par écrit ce que je pensais recevoir de sa part. »

Loin d’être des paroles humaines, l’auteur a clairement la conviction de recevoir des paroles divines.

La Parole de Dieu ne lui suffit pas.

« J’aspirai à plus »

écrit-elle. Si elle prend bien soin de préciser que

« ces textes ne peuvent prétendre à la même inspiration que les Écritures »,

tout dans sa manière de rapporter les choses contredit cette précision qui m’apparaît comme une simple précaution d’usage. L’emploi du « je », qui fait parler Jésus est significatif. Au fil des pages vous entrez en communication directe avec le Christ. L’Écriture devient secondaire, voire superflue, puisque ce qui compte c’est la « dernière » parole du Christ. Celle fraîchement reçue !

Qu’est-ce que recherche Sarah Young ? La réponse est claire : d’une part, entendre le Christ lui parler directement sans aucun intermédiaire. D’autre part, ressentir sa présence de manière quasi charnelle. C’est à une forme de communion inédite et jamais promise ici-bas, que nous fait miroiter l’auteur et dans laquelle elle souhaite entraîner le lecteur. L’étude personnelle et rationnelle pour comprendre ce que le Seigneur nous dit au travers de cette Parole est mise de côté pour laisser place à une méditation mystique.

Cet ouvrage, en creux, me fait réfléchir sur le danger de vouloir, parfois, faire parler le Christ dans l’intention de rendre plus vivante et plus présente Sa Parole. Gardons-nous d’être les ventriloques du Christ. Sa parole n’a pas besoin d’être rendue vivante. Elle l’est, parce qu’elle est vraie, parce qu’elle est éternelle et parfaitement efficace pour transformer, par l’action de l’Esprit Saint, nos cœurs de pierre en coeurs de chair. Rien ne saurait rivaliser avec la Parole de Dieu !

Auteur : Norredine SALMI

Membre du comité de rédaction,  pasteur, Église évangélique baptiste de Genève

(extrait du magazine: Le Lien fraternel 02/2018)

David Wood: Why i am a christian? transcript

Transcript (Youtube) of the testimony of a former atheist

There is a way that seems right to a man, But its end is the way of death. (Prov 16:25)

Want to go for a ride?

David Wood
David Wood

Imagine an underground world made of concrete and steel, stairways and tunnels, just enough light to see the signs on the walls. Suppose there were people who live down there all their lives and were never allowed to visit the surface and that these people were told from the time they were born that this world is all that exists. Won’t they believe what they’re told to believe? Won’t they try to live like it’s true? Suddenly a mad man stumbles down the stairs and says to the people here

Don’t you realize that you’re underground? Don’t you know that there’s an amazing world right up those stairs?

A tomb, no matter how spacious is still a tomb. The people answered him, they said

We understand our world just fine without you rambling about another, go back to your flying spaghetti world fool. We’re the enlightened ones down here

and then rejecting the world above, they sunk a little deeper into the world below.

When I was five years old …

I had a dog named Goliath. One day, my mother received a phone call, she turned to me, it was tears in her eyes and informed me that Goliath had been run over by a bus. I looked at her and thought to myself ‘So what, it’s just a dog’, but my mother was sad and I couldn’t figure out why. I soon noticed that other people got sad when something die, it seemed really weird to me; crying isn’t going to change the fact that it’s dead so why are you crying? I also noticed that people didn’t share my amazing insight into the nature of reality. I remember sitting beside a lake when I was eight years old watching ants matching in perfect formation and it suddenly became entirely clear to me that ants rule the world and then tricked us human beings to think that we are in charge. Do you have any idea how powerful and brilliant they must be if they had managed to deceive the entire human population? Few years later, I figured out that pets actually control the planet. Whenever a cat or a dog would look me in the eyes, I would think that it was communicating with me, silently bragging that they were much more intelligent than humans are. So part of my youth was spent talking to animals telling them ‘I know what’s going on here, i’m on to you’, but I grew out of that silliness.

By the time I was in 10th grade …

I was convinced that I controlled the weather. I didn’t know how I controlled the weather, I just knew that I did. It would start raining and I would think :

okay, how did I do that?

I also had the ability to control time but I didn’t know how to use this ability yet. That summer, my best friend from elementary school died. Jimmy had always talked about going Para-sailing, he finally got the chance and his harness broke; he plummeted to his death. When I heard about it after knocking on his door, I had the same reaction I had when my dog Goliath died namely; so what?. But this time was different, it seemed like I should be bothered by Jimmy dying, so I started wondering if something might be wrong with me. After pondering this for several months, I realized why I was different; I had evolved to a higher stage of humanity. These sad little emotions the rest of you have are like vestigial tails leftover from our primitive life forms but humanity 2.0 had arrived and you earlier models were now obsolete.

The following year, I had a life changing experience.

I was running from the police in the middle of the night and they had me surrounded on three sides. The fourth side was the Mahoning river, so I jumped in and swarm across and started walking my way through the trees on the other side. I eventually emerged from a patch of woods and I found myself in someone’s backyard. In front of me was a beautiful garden, I started to walk around the garden but then I stopped to philosophize. I thought :

I don’t care about the people in that house, so why am I going out of my way to avoid stepping on their vegetables, why am I being so courteous?  because I had been brainwashed, that’s why. I’ve been breaking the law for years and yet society has been manipulating my behavior all along, greatness had been polluted by mediocrity.

As I stunt my way through that garden, I had an incredible rush of freedom. The world has all of us on a leash, a leash made of rules, ‘do this, don’t do that’, but it’s a leash that slips right off as soon as we recognize that we don’t have to do anything anyone tells us to do. Of course, if you really want to break free from your handlers, seems like you have to do the opposite of what you’ve been told. Going down.

Started studying bomb building when I was 18, nothing fancy, I got a copy of the N-August cook book. I learnt how to make pipe bombs, I learnt to put together a home-made grenade launcher, I bought a book on disguises so I won’t be recognized but it all felt a bit amateurish so I decided to become a chemistry major in college where I can learn to build something a little more sophisticated, but my plans of becoming a bomber had to be put on hold because there are more important things in life, anyone can blow up a bunch of random people, you don’t know them.

If you’re sick of life, dangling at the end of society’s puppet strings, the killing has to start much closer to home.

My dad was the only relative I had within a few hundred miles so he obviously needed to die and I had a ball pin hammer that would do the trick. Interestingly, some of my amazing insights into the nature of reality actually slowed me down. My dad was sitting beside me on the couch and I was about to beat him to death, I had the hammer under a cushion, but I suddenly realized that he was reading my mind; and not just him, everyone in the world was reading my mind, I was part of an experiment and billions of people were in on it, they’re all waiting to see what I would do and as soon as I attacked my dad, the walls would rise up, the observers would rush in and the experiment would be over. So as my dad is reading my mind, i’m channeling my thoughts to him as we sit there. He’s watching television, i’m thinking :

look at me while you’re reading my mind. Look at me right now or i’m going to burst your head open.

Finally I channelled to him, ‘you think i’m stupid, i’m not falling for this’, then I got up and walked out, but it wasn’t over. After a while, my senses returned to me and I walked into my dad’s bedroom at about two O’clock in the morning, thanksgiving day. I stood over him with the hammer and I tried to think of one wrong thing he had ever done to me; nothing came to mind. So I drew back my arm and came down on him with all 230 pounds. I didn’t know how fast blood could come out of somebody’s head. Kept hitting him until I was sure he was dead and I walked outside and drove away. There’s no rush of freedom this time, I didn’t feel anything anymore.

Did I mention that I was an atheist?

I understand that most of you atheists out there live perfectly normal lives but I can never understand why you would want to. Think about it, we’ve got this massive universe and over here is a tiny little crawl of a galaxy. Out of one the spiral arms of this galaxy is a thoroughly unremarkable ball of hot gas. Circling this ball of hot gas is a pathetic speck of cosmic dust we call earth and crawling all over the earth are these feeble, selfish, self-destructive lumps of cells constantly deluding themselves into thinking that what they do is so important but the universe couldn’t conceivably care less, whether you love your neighbour as yourself or you torture to death for fun, so you might as well do whatever you feel like doing with the little bit of time you’ve got, and what are my atheist friends going to do with your 80 years or so? Let me guess, you’re going to go to school for a while then get a job, work for a few decades, maybe pick up a family along the way, then retire and die of old age or some illness. How original. Free thinkers huh? Believe it or not, some people don’t want to live like cattle, some people don’t want to follow this pattern that we’re all expected to mindlessly follow. Some would rather bash a man’s head in or shoot up a theater or walk down a school hallway stabbing people.

Why shouldn’t they? Because it’s wrong? Says who, your grandma? or should they try not to hurt people because people have intrinsic value? Here I thought that human beings are nothing but machines for propagating DNA. Most people don’t want to kill and slaughter but for those who do, our civilization is rapidly destroying any significant reason they might have for resisting the urge to kill and slaughter. Young people are lining up to dance to the music of their DNA, all you can do now is hope that they get tackled when they stop to reload or that they make some huge blunder when their bloodbath begins.

I made a huge blunder when my bloodbath began; I underestimated the amount of damage the human head could endure, crushed skulls can apparently be pieced back together by doctors. My dad had brain damage but he survived the attack. I was taken to a mental hospital and later to jail.

Jail is a place to sit back and reflect on the things you’ve done.

You’ve got plenty of time to sit back and think :

why did I get caught? What steps can I take to avoid getting caught next time?

and without all of the empty repetitive tasks that ordinarily keep you mentally sedated, you’ve got plenty of time to figure out what’s most important to you. The most important thing to me was not being a slave to people for whom I had nothing but contempt, but people had controlled me in various ways throughout my life and this meant that they would need to be taught a lesson.

I had a list of people going back to kindergarten who were going to be brutally murdered but doubts occasionally crept in. I would ask myself

is there a point to any of these?

Nothing really matters, so what difference does it make whether I do everything i’ve been planning or I do nothing at all; there’s no blue ribbon for making the right decision here because there is no right. But when I would start to think that life off the leash was just as meaningless as life on the leash, I start to lose my mind. I was able to hold things together to some extent mentally because I had something to do, but if what I had to do was pointless, then holding things together was pointless. So I was at an edge and there was nowhere to go but over it, but life has a way of giving us an alternative at just the right moment

[Singing: When a man’s an empty peddle, he should be on his meddle, yet i’m torn apart just because i’m presuming that I could be kind of human if I only had a heart]

When I was in E Block in the jail, I met a Christian

… named Randy, a guy who had turned himself in for 21 felonies. Randy seemed like he was from another world; there would be a fight in the dorm and he wouldn’t watch, he would turn his head away and pray for it to stop, our main source of entertainment and he’s praying against it; Christians cracked me up.

Randy was lying on his bunk reading his bible one night and I walked up to him and said:

do you know why you’re reading the bible? You’re reading the bible because you were born in the United States. If you had been born anywhere else, you would have believed in something else. If you had been born in China, you would be a Buddhist, if you had been born in India, you would be a Hindu, if you had been born in Saudi Arabia, you would be a Muslim because people like you believe whatever you’re told to believe.

I’ve since heard other atheists saying the same thing in almost exactly the same words so I take it this is a common atheist view of Christians which is hilarious in its level of hypocrisy. I believe that the universe exploded out of nowhere for no reason, and that life formed on his own and that consciousness was a natural product of particle interactions in our brains and that moral values were nothing but societal indoctrination, and Jesus’ followers made up a story about him rising from the dead because they wanted his message to spread. I believed all of these without anything remotely resembling a careful investigation of the evidence which means I believed a lot of what I had been told but i’m pointing a finger at the Christian, why? Because it’s much easier to make fun of someone else than to do the difficult work of putting together a coherent well grounded believe set.

Something interesting happened when I made fun of Randy; he fought back. Lots of Christians will go into retreat mode if you start arguing with them, they don’t want to cause a scene but Randy sat up on his bunk and proceeded to embarrass me about some of the things I was saying. I was totally shocked, I didn’t know what was going on. I am the smartest, most advanced human being the world has ever seen and night after night when we’re arguing, Randy was just taking me to a school, and he wasn’t smarter than me, he didn’t have any special knowledge or degrees, he wasn’t a scientist or a philosopher, he just had an annoying habit of questioning everything I would say, and when I would try to answer his questions about what I was saying, it would become clear to him and to me that many of my beliefs when put into words sounded really really stupid. Things that made perfect sense when unquestioned made no sense at all when questioned.

I became so frustrated by our arguments that I began looking for other ways to defeat Randy. I made fun of him for getting molested when he was a child. I saw his 12 year old sister in the visiting room and I said some things about her (that i’m not going to repeat here). I keep messing with him till he got upset and when he got upset, I’d say

look at you, getting angry at me, you call yourself a Christian.

Oddly enough, Randy and I became friends. We would stay up all night playing cards, throwing a roll of toilet paper around like it’s a football, and of course arguing about the bible. But I was still looking for ways to defeat him at something so we got into the world’s first ever fasting battle; it wasn’t a battle for him, he wasn’t trying to out-do me at anything but I was certainly trying to out-do him. Randy would fast for long periods of time with nothing but water. After a while, I joined in, and whenever he would complete a fast, I would start my own fast and then go a few days longer than he did. For our first exchange, Randy fasted one week; I knew he wasn’t eating because he gave me all his meal trays. When he was finished, I said:

alright, i’m going ten days.

I had never gone a day without food in my life but I went ten days straight just so I would know that I had beaten the Christian.

We went back and forth with me always going a few days longer than he did. Eventually he asked me ‘hey, how come you always fast a little longer than I do? Are we in some sort of competition that I don’t know about?” I said no I hadn’t even noticed, just coincidence I guess. Randy fasted 40 days; he went 32 days on nothing but water and then he added liquids like Cool Aid for the rest. He told me that Jesus had gone 40 days, that’s why he picked the number 40. I said alright, i’m going 42. Even six weeks with nothing but water and rage;

I was going to beat Randy and Jesus.

On the 11th day of my fast, a guard came in and told me to pack my stuff. I had passed out earlier and hit my head on the way down. The medical staff knew my mental health history and they thought I was trying to starve myself to death. I’m trying to beat the Christian, they think that i’m trying to commit suicide really really slowly but they had seen that I had lost enough weight to realize that there was a problem and the blood pressure monitor that the nurse put on my finger said that I was dead so I had to pack up my books, philosophy and science, the apologetic books that Randy gave me and head to my new home- a cell with a camera where I can be watched day and night.

Living the dream, I lost about 80 pounds from fasting, I developed a horrible rash all over my body, it felt like poison ivy, it’s called Shingles, it’s caused by vitamin deficiency. I was having blackouts, I was getting tunnel vision, the doctor at the jail said he was going to tube feed me, the social worker was talking about having me sent to my third mental hospital and when I wasn’t reading, all I could think about was taking people out to the woods and peeling their skin off but I found renewed purpose in my lonely cell. With a library at my disposal and nothing else to do, I had a perfect opportunity to prepare for an epic showdown with Randy. I could study the bible, put together new arguments, go back to E-Block and destroy the faith of my friend.

I asked the chaplain for some bible studies, he gave a series of studies on the gospel of John with graded assignments. So here I am, a rapidly deteriorating atheist, sitting in a poorly lit cell, doing my bible homework, getting straight As. I haven’t eaten in days and I read about Jesus saying

I am the bread of life, he who comes to me will never go hungry.

I’m obsessed with liberating myself from a society that has me trapped in a six and a half plain foot cell and I read:

the son sets you free, you’ll be free indeed.

I’m wondering how long my body can take what i’m doing to it before my heart stops and I read :

I am the resurrection and the life; he who believes in me will live even though he dies.

Kind of creepy when a book talks to you about…what do I know, I used to think that cats were talking to me.

Lying on my back, day after day, reflecting on life and theology and philosophy,

… three things started to destabilize my entire belief system.

First, what’s called the design argument finally hit me. I was looking at a wall and how the bricks were arranged and I thought to myself,

if someone told me that these bricks went into this order by some process that didn’t involve intelligence, I would smack them in the mouth, and yet I believed that life formed without intelligence when the most basic living cell is unimaginably more complicated than some bricks stacked on a wall.

Why did I blindly accept the extraordinary claim that life arose spontaneously from non-life without demanding some very good evidence?

Second, I found out how Jesus’ apostles died; most of them went to their bloody death claiming that they had seen him risen from the dead. My explanation for the origin of christianity had always been that the apostles made up a story so that they could spread his message but now my explanation wasn’t making sense. If you’re willing to die for something, you have to believe it. When a terrorist blows himself up, he’s obviously sincere. So the disciples, the apostles had to believe what they’re dying for, but this means that they were convinced that they had seen Jesus risen from the dead. Now, usually, when someone is willing to lay down their life for something, it’s for an ideology that they got from someone else and that ideology could be true or false. The disciples were dying for something that they saw. What could have convinced so many different people that they had all seen a resurrected man? I could explain one witness by saying he’s crazy, but all of them? Something was going on here and I had to figure it out but I couldn’t come up with any explanation for why they had that level of confidence other than they actually saw him.

Third, I started worrying that Jesus might actually be better than me. Now if you’re not a complete moral relativist or maybe one of the new atheists, it’s probably obvious to you that Jesus is better than me but I wasn’t the clearest thinker on moral issues back then so getting my mind around this was very difficult. Here’s the problem that emerged: I had two beliefs that just didn’t go together. On the one hand, I believed that human beings are lumps of cells, meaningless lumps of cells, that everything we did was pointless. At the same time, I believed that I was the best, most important person in the entire world. How is it possible to be the best, most important worthless lump of cells? If there were to be some sort of best person, that would require something like a standard of good and that would require something like God, and then someone like Jesus would be better than me.

So my beliefs were breaking down at the foundational level,

and once the foundations start crumbling, everything starts coming down. I went from believing that I was the best person in the world to thinking that I was the worst person in the world, and in a moment of clarity, it all just hit me thinking i’m a guy who once choked my friend until bloody foam came out of his mouth. I hit him with a shovel because he disagreed with me, I don’t even remember what it was about. I used to watch my mum’s boyfriend beat her and I wouldn’t lift a finger to help her. Not because I was scared, I was 200 pounds and I had a gun, I could have stopped him at anytime, I just didn’t care and I was proud of the fact that I didn’t care.

I thought about what I had done to my family, what I was doing to myself. They brought me food every single day and I was starving to death because I wouldn’t eat it. There are other starving people in the world but at least they can think straight; I sat there thinking about torturing people. My skin was turning yellow, I was scratching myself bloody, what sense did it make to think that I am the best in anything?

When I was thinking about that situation, it feels like I had just been stomped relentlessly into the ground, and when I thought that, I started comparing it with the little hospital stay about a year and a half earlier. I got into a fight with seven guys; i’m not saying that to be tough, they won that one. I got one of them, he hit me with a gun and hit him with these guns and then his six friends got on me, and got me on the ground and then took turns soccer kicking me in the head. But I was comparing that to the situation I was in, I was thinking, I was okay the next day, I had scratches on my neck, I was dizzy walking around, I had my arm in a sling but I was okay. Fighting seven guys is a joke compared to what I was going through in that cell. I feel like I had just been stomped into the ground and when I thought that I felt like I had been stomped into the ground, I had another flashback.

One night I was walking home from a friend’s house and a storm hit. The rain was so bad I could barely see, lightning was striking all over the place and I looked up and mockingly said:

is that supposed to scare me?
If you want me to believe in you,
you better come down here and make me believe.

I wasn’t serious but given my circumstances in the jail, I had to start wondering if God had taken it seriously. That normally wouldn’t have been an option, I didn’t think like that but since my entire world view was crumbling, I wasn’t in a position to dismiss alternatives. But there’s a problem; if there was a God involved in all of these, if right and wrong weren’t merely useful fictions, I was in all kinds of trouble, not just for what I had done but for what I was. How is the worst person in the world going to ever do the right thing? There’s no magic switch that I can flip and “oh now I care about other people”. So how was I going to do anything right? And then it hit me that there are two possibilities; either i’m violent and selfish and uncaring and that’s just the way things are or there’s someone who can help people like me. Either i’m all messed up and I just had to live with that or there was someone who could deal with this sort of thing, and when you start thinking like that, I would say you are about two inches away from becoming a Christian because when we ask ourselves

who out of anyone ever, who had the ability to take psychologically, spiritually and morally shattered people and give them new life?

We had a list of one, there’s one person on the list, he’s the one who said :

I am the door, if anyone enters through me, he would be saved and we’ll go in and out and find pasture. The thief comes only to steal, and kill and destroy, I came that they may have life and have it abundantly.

I didn’t know what Jesus was,

who he claimed to be but I knew that it was Jesus or nothing, it was Jesus or nothing. If anyone has God’s stamp of approval, it’s the guy who rose from the dead. History is filled with dead options; Jesus is the last living option.

So I bowed down on my bunk, not sure of much of anything and I prayed, I didn’t know how to pray but I prayed and I said

God, I don’t know if i’m going to believe in you tomorrow but I believe in you right now. If you can do anything with me, you’re welcome to it,

and then I continued with the kind of sinner’s prayer that I had read in those bible studies, and when I sat up from that prayer, the entire world looked different, like everything was a different color. For the first time in a lot of years, I didn’t want to hurt anyone, and I had a strange sense that I had somehow known the truth all along. God created the universe but we’re something special, we’re created in God’s image, but we reject God and in rejecting God, we strive to twist and work His image which we bear.

For years, I was willing to sacrifice everything for a kind of freedom, just a freedom from external control. It’s a false freedom because we just end up using it to degrade and destroy ourselves; tarnishing the image of God so that we won’t be reminded of what we are and what responsibilities we share. True freedom is found in not having this inclination and desire to turn against our creator, that’s the true freedom.

After I prayed, I felt like I had been fighting; not figuratively fighting, I mean physically brawling my entire life and that I finally had a chance to sit down and rest.

That rest never went away.

As C.S Lewis put it

“I believe in Christianity because I believe that the son has risen, not only because I see it but because by it, I see everything else.”

Lots of people in their testimonies will share their stories of what happened after they became a Christian, we can talk about that some other time. Right now I just want to explain why i’m a Christian and my reason for being a Christian has never changed. I stand on the words of the who rose from the dead because there is no other place to stand, and just to show you that Jesus Christ is the same yesterday and today and forever, i’ll conclude my story with the words of another Christian from nearly 2000 years ago. The apostle Paul tried to annihilate Christianity before he met Jesus on the road to Damascus. Shortly before his death, he wrote a letter to his friend Timothy and said In words that can be echoed by thousands of other Christians over the centuries:

I thank Christ Jesus our lord who has given me strength that he considered me faithful, pointing me to his service. Even though I was once a blasphemer, and a prosecutor and a violent man, I was shown mercy because I acted in ignorance and unbelief. The grace of our Lord has poured out on me abundantly along with the faith and love that reigned in Christ Jesus. Here is a trustworthy saying that deserves full acceptance. Christ Jesus came into the world to save sinners of whom I am the worst but for that very reason, I was shown mercy so that then me, the worst of sinners, Christ Jesus might display his unlimited patience as an example for those who would believe in him and receive eternal life. As for the king eternal, immortal, invisible, the only God, we honour, glory forever and ever. Amen”.

Divers articles sur Bethel, Bill Johnson

Articles du site Le Sarment: Réflexion et édification chrétienne

 

Conférences et débat en vue

CONFERENCE : Le monde invisible

SAMEDI 19 OCTOBRE 2019 – 20h00

Venez à cette soirée exceptionnelle sur la réalité du monde invisible.
Deux experts nous partageront leurs expériences, enjeux et conséquences

Avec Fred Mollot, ancien voyant et Daniel Herrmann, pasteur
Tous deux sont professeurs à l’Institut Biblique de Genève
– entrée libre –
Église Évangélique Action Biblique, Rue de la Servette 21, 1201 Genève
Renseignements : +41 76 284 67 40 www.ab-servette.net


L’ÉGLISE VIVANTE SELON LE CŒUR DE DIEU !

Assemblée évangélique Centre Biblique, 40 Rue de Lorraine 88000 ÉPINAL

29 e RENDEZ-VOUS : Mardi 8 Mai 2018, de 10h à 16h

ORATEUR : Jamel ATTAR
Pasteur à Caen, professeur de lettres classiques et auteur du livre :

“Je croyais en Issa, j’ai rencontré Jésus”

• L’Église : Colonne et Appui de la Vérité
• Des relations pour grandir
• Une église saine(t)e

Animation pour les enfants jusqu’à 12 ans
Repas en commun tiré du sac, au réfectoire ou à l’extérieur

– Stands de littérature –
Renseignements : Roland HIRSCHLER : 03 68 06 82 96 | hirschler.roland@free.fr
Éric Jibia : 06 10 61 39 46 – erouji@yahoo.fr

Flyer


Le  Samedi 21  Avril 2018, à Genève, conférence en français avec traduction simultanée en anglais

Plus d’infos


Le Vendredi et Samedi 21 et 22 Avril 2017, à 20h

Conférence débat ” L’homéopathie: le mal guérit-il le mal ?

Adresse: Espace mélodie,  RD 104 – en face du parking Planet, 07000 St Julien en St Alban
Conférencier: Jacques LEMAIRE est né en 1950.

Invitation

Il a étudié la théologie dans l’Église catholique romaine, où il se destinait à la vie monastique. Il s’est converti en 1971. Il a été le pasteur de l’Assemblée Chrétienne de Courcelles (Belgique), qu’il a fondée en 1980 avec son épouse Danièle BRACQ. Il est retraité depuis deux ans. Il se consacre à l’enseignement biblique. Il est en outre membre du comité directeur de Vigi-Sectes, directeur du Centre de Formation Chrétienne et il collabore à la formation de pasteurs et de responsables d’Églises locales.


Jeudi 6 Avril 2017 20h30 – Spectacle

Conférence « Identité ?»

Vendredi 7 Avril 2017 20h30

Espace Tully – Thonon-les-Bains

Découvrez l’insolite parcours de Saïd à travers un spectacle one-man-show nommé « Liberté, Egalité, Déradicalisé ». L’ambiance nord-africaine chaleureuse est bien présente, la force du témoignage est réelle et l’humour est au rendez-vous.

Une tranche de vie parsemée de difficultés d’intégration, de rejet, d’exclusion, mais une rencontre bouleversante qui changera sa vie. Il est accompagné, comme les précédents spectacles, du rappeur Lorenzo MPC.

« Liberté, Egalité, Déradicalisé », un spectacle qui fera réfléchir chrétiens, juifs, athées et musulmans.

Organisé par l’Eglise Protestante Baptiste de Thonon
www.eglisebaptistethonon.fr
Tel: 06-63-48-77-98

6 & 7 Avril 2017 – Said Oujibou – Flyer Spectacle & Conférence


Conférence sur le catholicisme romain

  • le culte marial dans le catholicisme
  • l’église catholique depuis Vatican II

Invitation pdf. Entrée libre

visitez le site: www.espaces-melody.org

Orateur: Bernard PRUNNEAUX – spécialiste du catholiscisme

Lieu: Les Espaces Mélody,RD 104, 07000 St Julien en St Alban

  • samedi 30 avril 2016 à 20h
    Le culte marial catholique.
    Doctrine et pratiques, les phénomènes surnaturels liés à cette dévotion.
  • dimanche 1° mai à 15h30
    l’église catholique depuis Vatican II
    La Bible et son interprétation
    Le salut par les sacrements
    Une organisation politico-religieuse
    Le dialogue interreligieux conduit par Rome.Présentations sous formes de diaporama.

Le G.I.P. Alsace / Lorraine vous invite:

L’étonnante précision de la Bible

  • Sa scientificité
  • Sa transmission
  • Sa chronologie
  • Son souci du détail
  • Sa prophétie

Date:  8 mai 2015: 10 h – 16h

Adresse:

Salle AECB
40 rue de Lorraine
ÉPINAL – 88

pour plus d’info Rendez-Vous 08-05-2015


Vigi-Sectes vous invite …

 Conférence – Débat:

Lumière sur les Témoins de Jéhovah

Date:  30 MAI 2015 à 17:00

Adresse:

Église EVANGELIQUE ARMENIENNE DE BRUXELLES
Rue du Heysel 20
B-1020 Laeken – Bruxelles

Renseignements:

+32 (0)484 13 90 50
sarkis.pachaian@vigi-sectes.org

invitation.lum-sur-tdjs.bruxelles


Les sectes, parlons-en! Des spécialistes répondront à vos questions

Date:  27.03.2015 20:00 – 21:30

Adresse:  Association “Mélody”, La Brasserie, 07000 St Julien en St Alban,

Témoignage: Ex-membre de la Oneness University

Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s’appuyant sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde, et non sur Christ. (La Bible – Col 2:8)

Le témoignage suivant  d’une ex-membre d’une secte orientale montre la désillusion et les attaches spirituelles du nouvel-âge et des sectes orientales. Son témoignage n’est pas unique, surtout chez tout ceux qui se sont aventurés sur le terrain glissant du Réiki et de toutes les sciences orientales en vogue. Nous le  reproduisons comme il est, dans son intégralité (sauf anonymisation des dates et du nom de l’auteur).


Pourquoi j’y suis allée:

• J’étais malheureusement sortie de l’Eglise du Christ Véritable à l’âge de 16 ans suite à une dépression.

• J’étais depuis <200x> dans le Nouvel-Âge (new-age) c-à-d chamanisme, puis réiki, puis Joao de Deus au Brésil (autre secte, c’est du faux catholicisme-spiritiste maquillé en bonne action)).

• <6 ans plus tard>, j’allais très mal (dépression) et je suis tombée sur quelqu’un qui m’a parlé de la Oneness Deeksha (la “bénédiction” de cette secte). Je suis allée à Genève pour recevoir cette Deeksha plusieurs fois. J’ai été alertée par mon subconscient (rêve bizarres, etc.) et par des alertes web mais je n’y ai pas cru. Je suis allée en Italie pour me faire initier à canaliser la Deeksha, et puis l’envie très forte de partir pour l’Inde m’a saisie. J’y suis allée en groupe en février <de l’année suivante>, j’y suis resté 4 semaines car ils disaient qu’il fallait faire un processus de 4 semaines pour recevoir l’éveil – et oublier donc soi-même, ses propres pensées (et le fait que j’existais). C’était mon seul voyage en Inde.

Enseignement:

• On y enseigne un mix de new-age messianique. On y donne des cours sur comment vivre, comment penser, comment aimer et surtout sur comment prier. Ils disent qu’il faut répéter une prière particulière pour obtenir des grâces, encore mieux si on la répète 1 ou 3 ou 7 ou 21 ou 108 fois de suite… ! Les cours sont très intenses, avec projection de diapo sur des soi-disant miracles, etc. Ils sont donnés par des hommes et des femmes consacrés à cette cause diabolique.

• Une partie du contenu du cours vient de l’Evangile, mais c’est déformé. On y pratique des rites indiens propitiatoires (“homa”, rituel avec le feu avec invocation de déités hindou), des exercices de yoga de tout genre, des techniques chamaniques de respiration « holotropique » (sans citer les sources, mais je connaissais cette respiration… et là, finalement, je n’ai pas été dupe) sans réel accompagnement, des rituels dans leur temple (très beau, le temple, on sait où va l’argent des cours). On y reçoit des tonnes de oneness deeksha sur la tête, ce qui asservit les gens sans qu’il s’en aperçoivent. Ils nous racontent que la deeksha nettoie notre Être, mais c’est l’inverse.

• Ils répètent en longueur de journée qu’ils sont pour la liberté de chacun, que chacun doit choisir son « divin ». Les deux fondateurs disent être Dieu, et en même temps invitent les participants à choisir leur divin.

les 2 dieux de la oneness

• Sur leurs autels, il y a en général la grande photo des fondateurs (qui se font appeler Sri Amma Bhagavan, c’est-à-dire le Père-Mère Divin) assis sur leur trône (qui se trouve physiquement dans le temple), et sous leurs pieds un ensemble de statues et d’icônes (Jésus, la Vierge Marie, Kali, Shiva, Bouddha, etc.). Dans le temple, tous les autres divins ont disparu, il ne reste que Sri Amma Bhagavan sur son trône.

• Tous les exercices et rituels sont pratiqués dans le but de se mettre en contact avec « son » divin ou alors pour obtenir l’éveil (ou les deux). Les fondateurs se proposent comme le meilleur divin, et ils font des « miracles » pour que les gens les choisissent. Ils disent que Jésus va très bien, qu’il est au Ciel, et que cette mission leur a été confiée par Dieu en personne.

• Le fondateur sait parler fort bien (on le trouve partout sur YouTube, mais ne l’écoutez pas – car vous recevriez en même temps la maudite deeskha), il parait aussi bon qu’un agneau, aussi bon que le Père du Ciel. Mais c’est un grave imposteur.

• Ils disent que la oneness deeskha vient de Dieu, et exhortent maintenant leurs fidèles à adorer le « Boule Dorée » (golden ball), qui est une énorme sphère en or… qui représente la présence physique de la oneness deeksha.

Sri AmmaBhagavan

[on pense aux juifs dans le désert et à Moise sur la montagne… Heureusement, je ne suis pas allée si loin car la Vierge Marie m’en a épargnée (j’étais entre temps allée à Lourdes, où j’ai aussi rencontré une religieuse qui a vu dans quel état je me trouvais et a commencé à prier pour moi et à faire prier ses consœurs)]

Environnent:

En Inde, on ne peut pas sortir de l’enceinte de la oneness university si ce n’est pour aller en bus privé à leur temple. L’alimentation y est strictement végétarienne. La sexualité y est interdite, avec séparation des dortoirs des hommes et des femmes. Sur place, il y a beaucoup de chiens et des singes agressifs.

Manifestations:

• Des dons maudits se développent: capacités médiumniques extraordinaires ; lecture de la pensée à distance ; obsessions ; etc.
Manifestations de lumières, de présences: c’est Lucifer dans toute sa puissance.

Conséquences:

A mon retour, ma réalité s’est transformée en rêve grotesque. J’ai commencé à rencontrer des sorciers partout et même des personnes (soi-disant amies) que j’avais rencontrées là-bas ont commencé à m’agresser psychiquement jour et nuit. Nous étions tous devenus des monstres. Il suffisait d’une pointe d’envie pour agresser l’autre psychiquement sans même le savoir.

Dépenses:

le voyage en Inde, puis les frais de séjour sur place (env. 4000 euros pour 1 mois en Inde… en dortoir commun), plus la participation aux rituels du feu (Homa), très couteux, autour de quelques centaines d’euro chacun. Mais on peut faire des dons ! Car ils disent aider les pauvres en Inde, construire des bâtiments, des maisons, etc.

Lectures:

le fondateur est un fou plein d’idées très variées qui sait faire passer avec force de conviction. Ils envoient tous les jours/semaines ses discours a tous ceux qui se sont inscrits à la Oneness University d’une façon ou d’une autre. Ce sont des longs documents avec question/réponse sur tous les thèmes de la Foi, de la Vie, de l’éveil, etc.

L’organisation dans le monde:

• Ils organisent de « get together » (darshan) partout dans le monde, avec lien vidéo et audio avec l’Inde. Les membres de cette secte s’organisent avec joie (ils ne savent pas qu’ils font le mal) pour envoyer pendant des heures la oneness deeksha sur le monde, sur les gens, etc. Je l’ai fait aussi (pardon).

• Cette secte a ouvert partout dans le monde, avec l’aide de ses membres actifs, des Chambres Sacrées où on y va pour prier, adorer le divin qu’on a choisi, méditer et prendre la deeskha. Ces chambres sont dans des maisons de privés. Ceux qui acceptent cette charge, se doivent de ne jamais laisser leur divin seul – ils sont destinés à rester auprès de leurs chambres sacrées pour nourrir leur divin (physiquement), lui parler, lui tenir de la compagnie – et pour y accueillir ceux qui viennent y célébrer les rituels. Ils peuvent partir pour l’Inde pour suivre tous les cours de perfectionnement à l’éveil, mais alors quelqu’un doit les remplacer auprès de leur divin. La participation aux chambres sacrées est gratuite, ce qui rend cette arnaque encore plus dangereuse.

• Ils proposent tous les mois des rituels/prières à faire chez soi (pour ceux qui ne sont pas en Inde), rituels qui peuvent être très beaux – pour la paix du cœur, pour pardonner à nos ennemis, pour obtenir ceci ou cela, etc. Ils proposent aussi régulièrement des rituels (homas) qu’ils font en Inde pour ceux qui sont ailleurs: il suffit de s’y inscrire et de payer. On peut y inscrire toute une famille… On ne sait pas vraiment qui ils invoquent pendant ces rituels, il se peut bien que ce soit des rituels pour maudire ceux qui y participent (tantra noir)

Documents à signer:

avant d’y aller, ils font signer des documents de décharge de responsabilités et ils se réservent de choisir qui est admis à l’Université (avec un privilège particulier pour les chrétiens…).

Hypothèse:

Ils sont, je pense, les faux prophètes prévus par Jésus. Je vous raconte ce qui m’est arrivé quand je suis arrivée là-bas: je marchais toute seule pour me dégourdir les jambes ; je parlais avec la Vierge Marie, mais à l’époque j’avais beaucoup de confusion dans ma tête et je l’appelais Mamadì (version abrégé pour « Maman divine », or que maintenant je sais qu’elle n’est pas divine). Je lui disais que j’aurais aimé qu’elle marche à ma droite, et son Fils à ma gauche car j’étais fatiguée de leur parler sans les voir. Dès que j’ai formulé ce vœu, j’ai vu les fondateurs de la OU tomber du ciel devant moi, enfiler leurs sandales… et la femme (qui se fait appeler la Mère Divine) a effectivement marché à ma droite. Par contre, le monsieur n’a pas pu marcher à ma gauche où j’avais demandé Jésus… et il est parti.

Guérie:

J’ai été sauvée par la Grâce de Dieu, qui m’a rappelée à Lui le premier dimanche après Pâques 2014 dans une Eglise. C’est là que j’ai décidé que j’allais retourner à l’Eglise du Christ. Depuis cette décision, j’ai commencé à souffrir de façon atroce, nuit et jour, dans le corps comme dans mon esprit. Si je ne suis pas devenue folle c’est exclusivement grâce à Dieu et à la Vierge Marie. Mes souffrances commencent à diminuer, suite au retour à la Foi (et aussi à Lourdes et à l’aide des prêtres et de ceux qui ont prié pour moi). Je suis maintenant suivie par un exorciste de l’Eglise Chrétienne Catholique.
Amen.


Fiche transmise, cours témoignage:

Cette secte qui a vu le jour en Inde, mais répandue désormais dans le monde entier, avec des lieux de culte secret dans les maisons des gens (dites les Chambres sacrées). Les adeptes (dont j’ai fait partie pendant une année) y adorent les fondateurs de la secte (“Sri Amma Bhagavan”, qui signifie le Père/Mère divin) qui se font passer par Dieu (ils font des miracles) et aussi d’autres faux Dieu. En ce moment, ils adorent une boule dorée, tout en mélangeant avec le Christ et autres déités.

Cette secte existe en Europe aussi (Italie surtout, mais aussi Suisse, très peu en France, etc.)

Mon témoignage: “Aux dernières nouvelles, et selon mon expérience personnelle très douloureuse, ceux qui se font appeler Sri AmmaBhagavan de la Oneness University en Inde sont des faux prophètes. S’il vous plaît, tenez-vous loin de ceux-là. Surtout, n’allez pas en Inde, c’est très dangereux car il s’agit d’une secte.

Leur but premier étant de prendre un pouvoir complet sur les esprits. Ils envahissent avec des démons le corps mental de ceux qui vont en Inde à la Oneness University. Une fois envahi le mental d’une des victimes, ils utilisent cette même personne pour faire le mal autour d’elle à travers ses pensées, même les plus légitimes.

En plus, la réalité de ces victimes en devient complètement déformée – on commence à voir et à croire à des choses qui n’existent pas. Beaucoup des personnes qui sont allées en Inde à la Oneness University souffrent d’état mentaux psychotiques gravissimes.”
— Critères —
Exigences financières, , Déstabilisation mentale, Asservissent,Autorité absolu du Gourou, Autres…


Note de la rédaction 

Definition de la Deeksha selon la secte

Deeksha: Ces “bénédictions” peuvent être donnés à des personnes à distance. Il faut les visualiser en face de vous et mettant vos mains sur leurs têtes. Vous pouvez donner des bénédictions à une région du monde ou au monde entier, même avec une carte si vous le souhaitez.
La bénédiction Deeksha peut être donnée à l’eau, aux plantes, à la nourriture, aux animaux, bâtiments et aux objets inanimés. Boire de l’eau bénie de la Deeksha peut être très puissant pour la guérison.
Vous pouvez donner la guérison Deeksha directement en touchant les parties du corps inconfortables  ou  malades. Visualiser la personne en bonne santé quand vous faites la bénédiction,  faite votre intention silencieuse au divin qu’ils sont guéris.

Nous souhaitons un bon rétablissement à l’auteur de ce témoignage, et l’encourageons à ne se tourner ni vers l’eau bénite Deeksha, ni vers celle de Lourdes, mais vers celui qui est vivant aux siècles des siècles, le seul qui est ressuscité, qui peut sauver aujourd’hui: Jésus-Christ.

Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. 
(La Bible – Mat 11:28)

 


 

Réédition: Lumière sur le Branhamisme

Lumière sur le Branhamisme

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Description:

William Branham (1909–1965) se présentait comme un nouvel Élie, un prophète porteur du message et de la puissance de Dieu pour son époque et au-delà. Ses idées séduisent encore de nombreux adeptes.

Dieu ne se contredit jamais. Le message de ce prophète autoproclamé est-il réellement en harmonie avec ce que Dieu a déjà révélé dans la Bible ? Vérifions-le ensemble en examinant les enseignements de W. Branham à la lumière de la Bible.

Edition: BLF