Jésus leur dit: Sans doute vous m’appliquerez ce proverbe: Médecin, guéris-toi toi-même; et vous me direz: Fais ici, dans ta patrie, tout ce que nous avons appris que tu as fait à Capernaüm.
Voici le témoignage anonymisé d’un parent dont la fille a ouvert un cabinet d’hypnose. Ce cabinet est sensé aider les gens à vaincre leur phobies, angoisses, stress, …. Le parent témoigne que c’est le désastre familliale et psychique chez sa fille depuis qu’elle fait de l’hypnose, alors qu’elle avait une situation stable.
Parent Annonyme :
Elle est mariée depuis quelques années avec enfants en bas âge, elle a pris contact avec un hypnotiseur. Elle m’a parlé de cette rencontre, avec des propos illuminés, m’a dit qu’elle avait rencontré un être puissant, très intelligent, qu‘il enseignait les foules .
Elle m’a semblé éblouie et très excitée par cette rencontre.
Elle l’a revu plusieurs fois, seul a seul il lui a fait des séances d’hypnose, ( elle travaille elle même dans l’hypnose, le yoga, la Sophrologie et depuis ses formations et s’est beaucoup enfermé dans la méditation. Elle m’en a reparlé en me disant qu’elle allait faire des grandes choses AVEC LUI.
Cette année, elle m’a annoncé qu’elle avait compris qu’elle n’était plus importante pour son mari, qu’elle avait un coup de cœur, et que c’était écrit, que c’était son messager qui lui avait envoyé cette personne par les voies célestes, elle a cherché à m’énoncer des défauts non solides sur son mari, elle m’a dit qu‘elle allait demander le divorce, qu’elle prendrait ses enfants pour leur bien, car l’hypnotiseur leur apprendra l’enchantement de la vie. (Mot essentiel dans le discours de ce Monsieur qui promet aux gens un changement de vie en 3 jours.)
Elle a été très étonnée de mon manque d’adhésion à son grand projet, s’est fermée, braquée, m’a interdit de continuer d’en parler, m’a dit que je serai prévenue seulement de la date du divorce.
Depuis cette rencontre ses propos sont de plus en plus délirants, voix célestes, elle n’a plus aucun respect pour sa famille, pour elle même, rentre tous les jours a 2 , 4 heures du matin, et reste connectée à son portable par SMS sans arrêt avec lui.
J’ai constatée un matin, un comportement violent avec son très jeune fils de (moins de 3 ans), comme il n’a pas voulu s’habiller tout de suite, il courrait en riant, elle l’a mis au coin, puis comme il pleurait, elle l’a attrapé et contorsionnée, il a hurlé, elle a menacé de partir .
Je suis très inquiète pour sa sante mentale, je sens son mari et mes petits enfants en danger d être en contact avec elle aujourd’hui.
Elle fait tout pour faire craquer son mari, qui se laisse humilié par elle pour essayer de préserver un équilibre et accepte tous ses délires et comportements délirants pour PROTÉGER ses enfants.
Elle le menace sans cesse de partir avec les enfants: Mes petits enfants sont en danger en sa présence vu son mental aujourd’hui et la manipulation qu’exerce le Monsieur hypnotiseur sur son esprit, le processus s’accélérant très vite
Le danger, c’est qu’elle peut dans son milieu professionnel, quand elle dirige, et fait son travaille **** (elle a toujours eu un coté très narcissique ) paraître logique cohérente, alors que ses attitudes dans sa vie privée ses actes répondent au schéma opposé.
—— Note de Vigi-Sectes.
la Bible présente l’ enchantement qui séduira les nations dans les derniers temps. L’hypnose pourrait en être une forme.
« … et ils ne se repentirent pas de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité ni de leurs vols. » Apocalypse 9:21
« la lumière de la lampe ne brillera plus chez toi, et la voix de l’époux et de l’épouse ne sera plus entendue chez toi, parce que tes marchands étaient les grands de la terre, parce que toutes les nations ont été séduites par tes enchantements, » Apocalypse 18:23
Notre correspondant Psychologue au Japon nous a fait part des méfaits qu’il a rencontrés chez ceux qui se sont fait hypnotisés. L’un des plus grave méfaits étant les faux souvenirs de viol qui détruisent des familles.
Ce livre de Elisabeth Loftus, Katherine Ketcham se présente ainsi :
S’appuyant sur un pseudo-freudisme simpliste et sur des techniques proches de l’hypnose, de nouvelles psychothérapies en vogue prétendent faire resurgir à la mémoire des « souvenirs refoulés » de traumatismes enfantins, généralement sexuels. En réalité, elles ont produit des millions de « faux souvenirs », qui parfois entraînent des familles entières dans un enfer de ressentiment où les fantasmes sont confondus avec la réalité, comme en témoignent les extravagantes histoires vécues rapportées dans ce livre. Des « faux souvenirs » d’inceste, de viol et même pire, ont conduit à de tragiques erreurs judiciaires qui ne sont pas sans évoquer les chasses aux sorcières d’antan (et qui, en outre, nuisent à la cause des victimes réelles qui, elles, n’ont jamais oublié). Toutefois, un nombre croissant de patients se rétractent et accusent leurs psychothérapeutes de manipulation mentale. Le débat fait rage aux Etats-Unis. Il pénètre maintenant en France grâce à ce livre sans équivalent. Qu’est-ce que la mémoire, le refoulement, l’inconscient ? Nos souvenirs sont-ils stockés fidèlement dans notre cerveau, ou bien la mémoire est-elle un processus plus complexe, insaisissable et créatif ? Comment produit-on des « faux souvenirs » ? Les auteurs font le point sur ce phénomène étrange et inquiétant, aux frontières du para-normal, et nous mettent en garde contre cette terrifiante dérive de certaines psychothérapies.
How could Jesus have spent 3 days and 3 nights in the grave if he died on a Friday to rise on a Sunday morning?
In response to the fundamentally ignorant cults and followers of false prophets claiming that the Bible is falsified, here is an article on the date of the resurrection, which animates a difficult biblical question for many, that we should study more accurately (Acts 18:26). We reproduce it (and correct a bit).
Was Jesus three days and three nights in the grave, as He said in Matthew 12:40? Can you figure three days and three nights between sunset « Good Friday » and sunrise Easter Sunday?
It is commonly supposed today that Jesus was crucified on Friday, and that the resurrection occurred about sunrise on Easter Sunday morning.
Few professing Christians have ever thought to question or to prove this « Good-Friday-Easter » tradition. Yet the Bible tells us to prove (test) all things. And you will be literally astounded by this proof.
For proof there is but one dependable authority, a sole historical record — the Bible.
Tradition No Proof
There were no eye-witnesses to the resurrection. Even so-called « apostolic fathers » had no source of information save that record which is today available to us — the biblical revelation. Any tradition, then, which conflicts with God’s revelation must be dismissed. What are the recorded facts? The doubting Pharisees were asking Jesus for a sign — supernatural evidence — in proof of His Messiahship. Jesus answered: « An evil and adulterous generation seeketh after a sign; and there shall no sign be given to it, but the sign of the prophet Jonas: For as Jonas was three days and three nights in the whale’s belly; so shall the Son of man be THREE DAYS AND THREE NIGHTS in the heart of the earth » (Matt. 12:39-40). Now consider, please, the tremendous import — the overwhelming significance — of Jesus’ statement. He expressly declared that the only sign He would give to prove He was the Messiah was that He should be just three days and three nights in the rock-hewn sepulcher in « the heart of the earth. »
The Significance of the Sign
These Christ-rejecting Pharisees demanded proof. Jesus offered but one evidence. That evidence was not the fact of the resurrection itself. It was the length of time He would repose in His grave, before being resurrected. Think what this means! Jesus staked His claim to being your Saviour and mine upon remaining exactly three days and three nights in the tomb. If He remained just three days and three nights inside the earth, He would prove Himself the Saviour — if He failed in this sign, He must be rejected as an impostor! No wonder Satan has caused unbelievers to scoff at the story of Jonah and the « whale »! No wonder the devil has set up a tradition that denies Jesus is the Messiah!
The Dilemma of the Higher Critics
This one and only supernatural PROOF ever given by Jesus for His Messiahship has greatly bothered the commentators and the higher critics. Their attempts to explain away this sole proof for Christ’s divinity (deity) are ludicrous in the extreme. For explain this away they must, or their « Good-Friday-Easter » tradition collapses. One commentator says, « Of course we know that Jesus was actually in the tomb only half as long as He thought He would be! » Some expositors impose upon our credulity to the extent of asking us to believe that « in the Greek language, in which the New Testament was written, the expression ‘three days and three nights’ means three periods, either of day or of night. » Jesus, they say, was placed in the tomb shortly before sunset Friday, and rose at sunrise Sunday morning — two nights and one day.
The Bible Definition
But the Bible definition of the duration of « nights and days » is simple. Even these same higher critics admit that in the Hebrew language, in which the book of Jonah was written, the expression « three days and three nights » means a period of 72 hours — three twelve-hour days and three twelve-hour nights. Notice Jonah 1:17: « And Jonah was in the belly of the fish three days and three nights. » This, they admit, was a period of 72 hours. And Jesus distinctly said that AS Jonah was three days and three nights in the great fish’s belly, so He would be the same length of time in His grave. As Jonah was in the « grave » (see marginal reference, Jonah 2:2) 72 hours, after which he was supernaturally resurrected by God, by being vomited up, to become a saviour to the people of Nineveh upon proclaiming the warning to them, so should Jesus be 72 hours in His grave, thereupon being resurrected by God to become the saviour of the world. Did Jesus know how much time was in a « day » and in a « night »? Jesus answered, « Are there not twelve hours in a day … but if a man walk in the night, he stumbleth » (John 11:9-10). Notice the Bible definition of the expression, « the third day. » Text after text tells us that Jesus rose the third day. Notice how the Bible defines the time required to fulfill « the third day. » In Genesis 1:4 God « divided the light from darkness. And God called the light Day, and the darkness he called Night. And the evening [darkness] and the morning [light] were the first day …. And the evening [darkness] and the morning [light] were the second day …. And the evening [now three periods of darkness called night — three nights] and the morning [now three periods of light called day — three days] were the third day » (Gen. 1:4-13). Here we have the only Bible definition which explains and counts up the amount of time involved in the expression « the third day. » It includes three dark periods called « night, » and three light periods called « day » — three days and three nights, and Jesus said they contained twelve hours for each period — a total of 72 hours. That ought to be conclusive! Any seven-year-old, near the end of the second grade, could figure it easily.
What Is Wrong?
What is wrong with these plain, simple words of Jesus? How do these wise and prudent theologians know Jesus was crucified « Good Friday » and rose « Easter Sunday »? The simple answer is, they do not know it — for it is not true! It is merely tradition, a tradition we have been taught from childhood and carelessly assumed! Jesus warns against « making the word of God of none effect through your tradition » (Mark 7:13). We have examined two scriptural witnesses, in Matthew and in Jonah, both setting the duration of the body of Jesus in the tomb as three days and three nights, which the Scriptures plainly define as 72 hours of time. Now let us examine four other scriptural witnesses that prove the same thing. Notice Mark 8:31. « And he began to teach them, that the Son of man must suffer many things, and be rejected of the elders, and of the chief priests, and scribes, and be killed, and AFTER three days rise again. » (Any young second grader can figure this.) If Jesus had been killed on Friday, and then after one day He had risen, the resurrection would have occurred on Saturday evening. If after two days, it would have occurred Sunday evening, and if after three days, it would have occurred Monday evening! Examine this text carefully. You cannot, by any process of arithmetic, figure any less than a full 72 hours — three days and three nights — in a resurrection which occurred three days after the crucifixion. If Jesus was in the grave only from Friday sunset to Sunday sunrise, then this text too, must be torn out of your Bible or else you must reject Jesus Christ as an impostor! If He rose after three days, it might have been more than 72 hours, but it could not have been a second less. Notice now Mark 9:31. « … They shall kill him; and after that he is killed, he shall rise the third day. » The duration expressed here must be between 48 and 72 hours. It could not be one second past 72 hours, and Jesus still rise the third day. And it could not be Friday sunset to Sunday sunrise, because that it only 36 hours, carrying us into the middle of the second day, after He was killed. In Matthew 27:63 Jesus is quoted as saying, « After three days I will rise again. » This cannot possibly be figured as less than 72 full hours. And in John 2:19-21, « Jesus answered and said unto them, Destroy this temple, and IN three days I will raise it up …. But he spake of the temple of his body. » To be raised up IN three days after being destroyed, or crucified and buried, could not be more than 72 hours. If we are to accept all the testimony of the Bible, we must conclude that Jesus was exactly three days and three nights — three full 24-hour days — 72 hours in the grave, or the only supernatural proof He gave must fail.
The Time of Day of Resurrection
Now notice carefully this fact: In order to be three days and three nights — 72 hours — in the tomb, our Lord had to be resurrected at exactly the same time of day that His body was buried in the tomb. Let us realize that very vital fact. If we can find the time of day of the burial, then we have found the time of day of the resurrection. If the burial, for instance, were at sunrise, then for the body to be left an even three days and three nights in the tomb, the resurrection likewise had to occur at sunrise, three days later. If the burial were at noon, the resurrection was at noon. If the burial were at sunset, the resurrection was at sunset, three days later. The crucifixion day was called « the preparation, » or day before « the sabbath » (Matt. 27:62; Mark 15:42; Luke 23:54). This day ended at sunset, according to Bible reckoning (Lev. 23:32). Jesus cried out soon after « the ninth hour » or three o’clock in the afternoon (Matt. 27:46-50; Mark 15:34-37; Luke 23:44-46). Yet Jesus was buried before this same day ended — before sunset (Matt. 27:57; Luke 23:52-54; John 19:42). John adds, « There laid they Jesus therefore because of the Jews’ preparation day. » According to the laws observed by the Jews all dead bodies must be buried before the beginning of a Sabbath or feast day. Hence Jesus was buried before sunset on the same day He died. He died shortly after 3 p.m. Therefore — notice carefully — the burial of Christ’s body was in the late afternoon! It was between 3 p.m. and sunset as these scriptures prove. And since the resurrection had to occur at the same time of day, three days later, the resurrection of Christ occurred, not at sunrise, but in the late afternoon, near sunset. Startling as this fact may be, it is the plain Bible truth! If Jesus rose at any other time of day, He could not have been three days and three nights in His grave. If He rose at any other time of day, He failed to prove, by the only sign He gave that He was the true Messiah, the Son of the living Creator. Either He rose near the END of a day near sunset, or else He is not the Christ! He staked His claim on that one and only sign. So a time-honored tradition must be shattered.
What Sabbath Followed the Crucifixion?
Now we come to an objection some may raise, yet the very point which proves this truth. Perhaps you have noticed that the Scriptures say the day after the crucifixion was a Sabbath. Hence, for centuries, people have blindly assumed the crucifixion was on Friday.
Now we have shown by all four Gospels that the crucifixion day was called « the preparation. » The preparation day for the Sabbath. But for what Sabbath?
John’s Gospel gives the definite answer: « It was the preparation of the Passover. »
« For that sabbath day was an high day » (John 19:14, 31)
Just what is a « high day »? Ask any Jew! He will tell you it is one of the annual holy days, or feast days. The Israelites observed seven of these every year — every one called a Sabbath! Annual Sabbaths fall on certain annual calendar dates, and on different days of the week in different years, just like the Roman holidays now observed. These Sabbaths might fall on Monday, on Thursday, or on Sunday.
If you will notice the following texts, you will see these annual holy days were all called Sabbath days: Leviticus 16:31; 23:24, 26-32, 39
Notice Matthew 26:2: « Ye know that after two days is the feast of the passover, and the Son of man is betrayed to be crucified. » And if you will follow through this chapter you will see that Jesus was crucified on the Passover!
And what was the Passover? In the twelfth chapter of Exodus you will find the story of the original Passover. The children of Israel killed the lambs, and struck the blood over the doorposts and on the side posts of their houses, and wherever the blood had thus been applied the death angel passed over that house, sparing it from death. Following the Passover was a holy convocation or annual Sabbath.
Observe the dates: « And in the fourteenth day of the first month is THE PASSOVER of the Lord. And in the fifteenth day of this month is the FEAST » (Num. 28:16-17).
The Passover lamb, killed every year on the 14th of the first month called « Nisan, » was a type of Christ, the Lamb of God that taketh away the sin of the world. Christ is our Passover, sacrificed for us (I Cor. 5:7).
Jesus was slain on the very same day the Passover had been slain every year. He was crucified on the 14th of Nisan, the first Hebrew month of the year. And this day, the Passover, was the day before — and the preparation for — the Feast day, or annual high day Sabbath, which occurred on the 15th of Abib. This Sabbath might occur on any day of the week. Frequently it occurs, and is observed even today, on Thursday. For instance, this « high-day » Sabbath came on Thursday in 1972, 1975 and 1979, and will occur on Thursday in 1982, 1986 and 1989.
[….] the day Jesus was crucified, was Wednesday. And the annual Sabbath was Thursday. This was the Sabbath that drew on as Joseph of Arimathea hastened to bury the body of Jesus late that Wednesday afternoon. There were two separate Sabbaths that week!
What Day Was the Resurrection?
Now which day of the week was the resurrection day?
The first investigators, Mary Magdalene and her companions, came to the sepulcher on the first day of the week (Sunday) very early, while it was yet dark, as the sun was beginning to rise, at dawn (Mark 16:2; Luke 24:1; John 20:1).
Now here are the texts most people have supposed stated the resurrection was at sunrise Sunday morning. But they do not say that!
When the women arrived, the tomb was already open! At that time Sunday morning while it was yet dark, Jesus was not there! Notice how the angel says, « He is not here, but is risen » (see Mark 16:6; Luke 24:6; Matt. 28:5-6). Jesus was already risen at sunset Sunday morning! Of course He was. He rose from the grave in the late afternoon, near sunset!
And since we know Christ was buried late Wednesday afternoon, and that the resurrection took place at the same time of day three days later, we now know the resurrection of Christ occurred late Saturday afternoon.
The Sabbath day ended at sunset. It was late on that day, before the beginning of the first day of the week. It was not, then, a Sunday resurrection at all. It was a Sabbath resurrection!
Did Christ Fulfill His Sign?
Now all this is based on the supposition that Jesus did fulfill His only sign of being three days and three nights in the grave. All our evidence is based on the claims of Jesus before His crucifixion. But some of the higher critics and doctors of divinity tell us that Jesus made a mistake — that He was only in the tomb half as long as He expected to be. Let us have proof as to whether He did spend the exact amount of time in the grave He said He would.
Notice that in Matthew 28:6, the angel of the Lord gives this testimony, which we now present as evidence. « He is not here: for he is risen, as he said. » And He certainly did not rise AS He said unless He rose at the precise TIME that He had said! So we have the proof of the angel of the Lord, recorded in the sacred Word of God that Jesus did fulfill His sign — He was three days and three nights in the earth — He did rise Sabbath afternoon, and not on Sunday morning.
Another proof that Christ was in the grave the full length of time He expected to be is found in I Corinthians 15:3-4:
« For I delivered unto you first of all that which I also received, how that Christ died for our sins according to the scriptures; And that he was buried, and that he rose again the third day according to the scriptures. »
His death and burial were according to the Scriptures — not contrary to them.
The third day following His Wednesday burial was the Sabbath; three full days spent in the grave ended Saturday afternoon just prior to sunset, not Sunday morning.
Which Day Was the Crucifixion?
Jesus was crucified on Wednesday, the middle day of the week. He died shortly after 3 p.m. that afternoon; was buried before sunset Wednesday evening. Now count the three days and three nights. His body was Wednesday, Thursday and Friday nights in the grave — three nights. It also was there through the daylight part of Thursday, Friday and Saturday — three days. He rose Saturday the Sabbath — late afternoon, shortly before sunset, at the same time of day that He was buried! It is significant that in Daniel’s prophecy of the « seventy weeks » (Dan. 9:24-27), Jesus was to be cut off « in the midst of the week. » While this prophecy has the application of a day for a year, so that this 70th week became a literal seven years, Christ being « cut off » after three-and-a-half years’ ministry, as He was, yet it is significant that He was also « cut off » on the middle day of a literal week.
Honest Objections Examined
Someone is sure to notice Mark 16:9, thinking this text says the resurrection was upon Sunday. But if you read the whole sentence, it does not say that at all. The expression « was risen » is in the perfect tense. What was Jesus’
condition early the first day of the week? Does it say He « was rising » or that He « did rise » from the grave? No, early the first day of the week, at the time He appeared to Mary Magdalene, He was risen. Of course He was! He had risen the late afternoon before, so naturally He was risen Sunday morning. The text does not in any way refute the other texts we have given.
Another passage that might confuse is Luke 24:21: « … And beside all this, today is the third day since these things were done. » « These things » included all the events pertaining to the resurrection — the seizing of Jesus, delivering Him to be tried, the actual crucifixion, and, finally, the setting of the seal and the watch over the tomb the following day, or Thursday. Study verses 18-20, telling of « these things » and also Matthew 27:62-66. « These things » were not completed until the watch was set, Thursday. And the text says Sunday was the third day since these things were done. Sunday truly was the third day since Thursday. But it was not the third day since Friday, so this text could not prove a Friday crucifixion.
There is yet one final clinching proof of this truth.
A vital text proving that there were two Sabbaths in that week has been obscured by almost every translation into English. Only Ferrar Fenton’s version has this point correct.
Turn to Matthew 28:1. In the common versions it says, « In the end of the Sabbath, » or more correctly, « after the Sabbath. » Notice that both of these renderings use the singular — Sabbath. But in the original Greek the word is in the plural. Fenton renders it correctly by saying, « After the SABBATHS, » although the remaining part of the verse he has not translated quite correctly. In a footnote to this text, he says, « The Greek original is in the plural, ‘Sabbaths.' »
According to Mark 16:1, Mary Magdalene and her companions did not buy their spices to anoint the body of Jesus until after the Sabbath was past. They could not prepare them until after this — yet after preparing the spices they rested the Sabbath day according to the commandment! (Luke 23:56.)
Study these two texts carefully. There is only one possible explanation: After the annual high-day Sabbath, the feast day of the days of Unleavened Bread — which was Thursday — these women purchased and prepared their spices on Friday, and then they rested on the weekly Sabbath, Saturday, according to the commandment (Ex. 20:8-11).
A comparison of these two texts proves there were TWO Sabbaths that week, with a day in between. Otherwise, these texts contradict themselves.
For proof of the pagan origin of such long-cherished days as Easter and Christmas, request our free booklets on those two subjects. The shocking truth is that nowhere can you find sanctions for those two holidays in the Bible. It is time we discovered the source of our religious beliefs and found out whether we ought to observe them.
Vigi-Sectes final note:
Let us come back to the ignorant who say:
The Bible is falsified:
We will answer: No. The more we know it accurately, the more we are certain the Bible is true. But as Peter announced 2000 years ago, there are pernicious cults to come, who will deny Christ:
There have been false prophets among the people, and there will be false teachers among you, who will introduce pernicious sects, and who, denying the master who redeemed them, will draw sudden ruin upon them. (2 Peter 2: 1)
He bluntly describes the carnal sins of their gurus (bullies who indulge in the flesh like animals).
… especially those who go after the flesh in defiling lust and who despise authority. Bold and arrogant, they do not tremble in awe as they blaspheme majestic beings, whereas angels, who are greater in strength and power, do not bring against them a demeaning judgment. But these persons, like irrational animals born only with natural instincts for capture and killing, blaspheming about things they do not understand, in their destruction will also be destroyed(2 Peter 2: 10-12)
There will never be peace on these gurus and false prophets.
Es waren aber auch falsche Propheten unter dem Volke, wie auch unter euch falsche Lehrer sein werden, welche verderbliche Sekten nebeneinführen werden und den Gebieter verleugnen, der sie erkauft hat, und sich selbst schnelles Verderben zuziehen. (die Bibel – 2Petrus 2:1)
Ist es notwendig, das Gebet der Moscheen für das Corona-Virus anzurufen?
Die strickte Beachtung einiger der grundlegenden hygienischen Vorsichtsmaßnahmen erscheinen uns viel vernünftiger:
1) Trinken Sie bitte keine Kamelpisse als Medizin:
… Wie von Muhammad befohlen wurde:
Einige Leute aus dem Stamm Ukl kamen zum Propheten (ﷺ) und nahmen den Islam an. Das Klima in Medina passte nicht zu ihnen, daher befahl der Prophet (ﷺ) ihnen, zu den Kamelen… zu gehen und ihre Milch und ihren Urin (als Medizin) zu trinken.
Das Nahost-Atmungssyndrom-Corona Virus (MERS-CoV) stammt von Kamelen, wird auf Menschen übertragen und ist seit April 2012 weit im nahen Osten verbreitet. Ungefähr 35% der gemeldeten MERS-CoV-Infektionen haben zum Tod des Patienten geführt. Die betroffenen Länder sind hauptsächlich muslimisch: Saudi-Arabien, Vereinigte Arabische Emirate, Katar, Oman, Kuwait, Jordanien, Iran, Libanon. https://en.wikipedia.org/wiki/Camel_urine
2) Die Scharia muß kritisch gelesen werden:
besonders das Kapitel über die Möglichkeit, den Urin von Schafen, Kamelen und Kühen und deren Speichel als Heilmittel (Medizin) zu trinken. ar.wikipedia.org/wiki/ العلاج_ببول_الإبل
3) Man soll nicht die selbsternannten « Propheten » akzeptieren.
Besonders nicht solche, die glauben, dass mit fauligen Toilettenresten und Menstruationsperiodenbinden verunreinigtes Wasser für Religiose Waschungen geeignet („rein“) ist.
… „O Gesandter Allahs! Werden wir Buda’ah-Wasser verwenden, um Waschungen durchzuführen, wenn es sich um einen Brunnen handelt, in den Menstruationsperiodenbinden, Hundefleisch und fauliger Müll geworfen werden? Der Gesandte Allahs sagte: « In der Tat ist das Wasser rein, nichts macht es unrein. »
Il y a eu parmi le peuple de faux prophètes, et il y aura de même parmi vous de faux docteurs, qui introduiront des sectes pernicieuses, et qui, reniant le maître qui les a rachetés, attireront sur eux une ruine soudaine. (La Bible – 2Pierre 2:1 )
Est-il nécessaire de faire un appel à la prière des mosquées pour le(s) Corona Virus?
Quelques précautions d’hygiène nous semblent plus impératives :
1) Ne pas boire la pisse de chameau comme un médicament:
… comme le conseille Mahomet (Sahih Bukhari 8:82:794; Sahih Muslim 16:4130; etc.) Le Coronavirus du Moyen-Orient (Middle East respiratory syndrome : MERS-CoV) provient des chameaux, et sévit depuis avril 2012. Le taux de mortalité des personnes infectées est des plus élevés, environ 35 %.
Les pays touchés sont majoritairement musulmans : Arabie Saoudite, Emirats Arabes Unis, Qatar, Oman, Koweit, Jordan, Ian, Liban.
3) Ne pas croire les « prophètes » qui confondent pureté et putréfaction
… qui croient que l’eau putride de toilettes et de menstruations est pure pour les ablutions :
… ‘O Messager d’Allah! Allons-nous bien utiliser l’eau de Buda’ah pour effectuer les ablutions alors que c’est un puits dans lequel les lingettes de menstruations, la chair des chiens et les ordures putrides sont jetés? Le Messager d’Allah a dit: « En effet, l’eau est pure, rien ne la rend impure. »
Comment Jésus pouvait-il être 3 jours et 3 nuits dans la tombe, s’il est mort un vendredi pour ressusciter un dimanche matin?
En réponse aux sectes et faux prophètes ignorants par excellence, qui prétendent que la Bible est falsifiée, nous reproduisons (et amendons) un article sur la date de la résurrection, qui anime un débat difficile à cause des traditions tardives, que nous voulons expliquer « plus exactement ». (Actes 18:26).
ON SUPPOSE, en général, que la Crucifixion eut lieu un vendredi, et que la Résurrection de Jésus-Christ s’accomplit à l’aube du dimanche de Pâques.
Pourquoi accepte-t-on cette hypothèse sans en examiner les circonstances? La Bible nous recommande d’examiner toutes choses. Si on le faisait présentement, on serait bien surpris de la découverte qu’on ferait.
Pour toute preuve, prenons le seul livre qui donne, d’une manière péremptoire et digne de foi, le compte rendu historique des événements: la Bible.
Les traditions n’ont pas toujours raison
Nous n’avons connaissance d’aucun témoin oculaire de la Résurrection. Du reste, même les « pères de l’Eglise » n’avaient d’autres sources de renseignements que celles que nous possédons tous, aujourd’hui. Par conséquent, la tradition qui nous est transmise n’établit point la vérité.
Quels sont donc les faits?
Les pharisiens, pleins de doute, demandèrent un MIRACLE. Ils voulaient que Jésus leur fit un miracle afin qu’ils pussent croire en Lui. Jésus leur répondit:
« Une génération méchante et adultère demande un miracle; il ne lui sera donné d’autre miracle que celui du prophète Jonas. Car, de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera TROIS JOURS ET TROIS NUITS dans le sein de la terre » (Matth. 12:38-40).
Tâchez de saisir la grande portée de cette déclaration! Jésus affirma clairement que le SEUL miracle qu’Il donnerait, pour leur montrer qu’Il était le Messie attendu, c’était qu’Il serait TROIS JOURS ET TROIS NUITS « dans le sein de la terre ».
La signification du miracle
A ces pharisiens qui Le reniaient, Jésus-Christ n’offrit qu’un seul miracle. Néanmoins, non seulement Il les informa de Sa Résurrection, mais Il précisa aussi la durée pendant laquelle II serait dans le sépulcre.
Pensez-y! Jésus mit en jeu Son droit de Messie celui d’être notre Sauveur — en restant enseveli exactement TROIS JOURS ET TROIS NUITS. Autrement dit, en restant enseveli trois jours et trois nuits, Il démontrerait qu’Il était le Sauveur. Dans le cas contraire, Il serait un imposteur!
Rien d’étonnant que Satan ait réussi à ridiculiser, aux yeux des incrédules, l’histoire de Jonas et du « grand poisson » ! Rien d’étonnant que le diable ait institué une tradition laquelle renie Jésus-Christ en tant que Messie.
Le dilemme des critiques et des experts
Ce grand miracle, unique et surnaturel, démontrant que Jésus était réellement le Messie, a beaucoup ennuyé les commentateurs et les critiques. Leurs efforts pour expliquer, à leur manière, cette grande preuve de la divinité de Jésus-Christ sont, non seulement absurdes, mais ridicules! Ils n’ont pas le courage d’admettre qu’ils se trompent, et que la tradition de célébrer le « vendredi saint » et le « dimanche de Pâques » est une légende sans fondement.
Par exemple, un de ces commentateurs conclut son analyse par ces paroles:
Nous sommes donc sûrs que Jésus resta enseveli pour une durée beaucoup moins longue qu’Il n’avait pensé! …
D’autres font appel à la crédulité des gens en leur expliquant que
dans la langue grecque, dans laquelle le Nouveau Testament était rédigé, l’expression trois jours et trois nuits ne signifie qu’une durée de trois périodes, soit de jour, soit de nuit.
Et on résout le problème en concluant que Jésus fut déposé dans le sépulcre, peu avant le coucher du soleil, vendredi, et qu’Il ressuscita dimanche matin à l’aube, n’étant resté enseveli que deux nuits et un jour.
La définition de la Bible
Cependant, la définition que l’on trouve dans la Bible de la durée des « jours et des nuits » est bien différente, et beaucoup plus simple. Ces mêmes commentateurs et ces experts admettent qu’en hébreu (la langue dans laquelle le Livre de Jonas était rédigé) la période de « trois jours et trois nuits » s’étend sur une durée de 72 heures, c’est-à-dire trois jours de douze heures, et trois nuits de douze heures.
A cet effet, veuillez examiner le verset suivant:
« L’ Éternel fit venir un grand poisson pour engloutir Jonas, et Jonas fut dans le ventre du poisson trois jours et trois nuits » (Jonas 2:1).
Les critiques admettent que cette durée-ci était de 72 heures … Mais que fait-on de la déclaration explicite de Jésus quand Il compara la durée de Son ensevelissement à celle de Jonas dans le ventre du poisson?
« Car de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson »
dit Jésus,
« DE MÊME le Fils de l’homme sera TROIS JOURS ET TROIS NUITS dans le sein de la terre. »
Tout comme Jonas (qui, pendant 72 heures, resta dans le ventre du poisson avant d’être délivré par l’Éternel pour devenir le sauveur des gens de Ninive), Jésus resta enseveli 72 heures avant de ressusciter des morts pour devenir, Lui, le Sauveur du monde.
Mieux que tout autre homme, Jésus connaissait la durée du « jour et de la nuit ». Du reste, n’avait-Il pas dit à Ses disciples:
« N’y a-t-il pas douze heures au jour? … mais, si quelqu’un marche pendant la nuit, il bronche [trébuche] » (Jean 11:9-10).
Quant à l’expression « le troisième jour », veuillez noter la définition de la Bible. Rappelez-vous qu’à chaque occasion, la Bible répète que Jésus ressuscita des morts le troisième jour; voilà comment ce « troisième jour » y est décrit:
Genèse 1:4-13 « … et Dieu sépara la lumière d’avec les ténèbres. Dieu appela la lumière jour, et il appela les ténèbres nuit. Ainsi, il y eut un soir [ténèbres], et il y eut un matin [lumière]: ce fut LE PREMIER JOUR … Ainsi, il y eut un soir [ténèbres], et il y eut un matin [lumière]: ce fut le SECOND JOUR … Ainsi, il y eut un soir [voilà que c’est le troisième soir, la troisième période de ténèbres], et il y eut un matin [voilà que c’est la troisième période de lumière trois JOURS]: ce fut LE TROISIÈME JOUR. »
C’est donc ainsi que la Bible définit la durée des jours, nous montrant comment nous devons la calculer. L’expression « le troisième jour » comprend trois périodes de ténèbres appelées SOIR, et trois périodes de lumière appelées MATIN. Autrement dit, cette durée se compose de trois jours et de trois nuits, chaque période comprenant comme Jésus l’a dit — douze heures, ce qui fait un total de 72 heures. C’est si simple qu’un gamin de 7 ans n’aurait aucune difficulté à en faire le calcul!
Où est l’erreur?
Pourquoi ces paroles de Jésus, des paroles pourtant simples et claires, sont-elles si mal comprises? Comment se fait-il que les théologiens prétendent que Jésus fut crucifié le « vendredi saint » et qu’Il ressuscita le « dimanche de Pâques »? Comment le savent-ils?
La réponse peut être navrante: ils ne le savent pas du tout! Ils le supposent seulement. Ils le supposent parce que la célébration de ces fêtes est devenue une tradition. C’est quelque chose que l’on a entendu depuis son enfance. Pourtant, Jésus-Christ nous met en garde contre la tradition des hommes qui annule la Parole de Dieu (Marc 7:13).
Jusqu’à présent, nous n’avons examiné que deux témoignages: celui de Matthieu et celui de Jonas nous indiquant que le corps de Jésus était resté dans le sépulcre trois jours et trois nuits. Néanmoins, en examinant tout autre témoignage biblique, nous remarquerons que chaque passage qui s’y rapporte soutiendra également ce même point. En voici quelques-uns:
« Alors il commença à leur apprendre qu’il fallait que le Fils de l’homme souffrit beaucoup, qu’il fût rejeté par les anciens, par les principaux sacrificateurs et par les scribes, qu’il fût mis à mort, et qu’il ressuscitât trois jours après » (Marc 8:31).
Voulez-vous faire un petit calcul? Si Jésus a été mis à mort le vendredi, et s’Il était ressuscité un jour après, la Résurrection aurait eu lieu samedi soir n’est-ce pas? D’autre part, s’Il était ressuscité deux jours après, la Résurrection aurait eu lieu dimanche soir. Finalement, s’Il était ressuscité trois jours après, la Résurrection aurait eu lieu lundi soir. Nous sommes bien d’accord, n’est-ce pas?
Mais qu’en dit le texte? La Résurrection eut lieu trois jours après la Crucifixion. Alors, par quelle opération d’arithmétique pourrait-on réduire ces « trois jours et trois nuits » à un total de moins de 72 heures? Si Jésus n’a été enseveli que du coucher du soleil, vendredi, au lever du soleil, dimanche, le texte biblique en question devrait être considéré comme nul et non avenu. Et par suite de ce forfait, on serait obligé de rejeter Jésus-Christ en tant que notre Sauveur! Mais la Bible ne ment pas, Elle dit que Jésus ressuscita trois jours après. « Trois jours après », tout au plus, pourrait signifier plus de 72 heures, mais jamais moins.
En voici un autre verset:
« Le Fils de l’homme sera livré entre les mains des hommes; ils le feront mourir, et, trois jours APRES qu’il aura été mis à mort, il ressuscitera» (Marc 9:31).
La durée indiquée ici peut inclure une période de 48 à 72 heures sans aller au-delà du troisième jour. D’autre part, elle ne pourrait s’étendre du coucher du soleil, vendredi, au lever du soleil, dimanche, parce qu’elle ne représenterait alors que 36 heures, et ne nous amènerait qu’au milieu du second jour, après Sa mort.
Dans l’Évangile selon Matthieu, Jésus dit:
« Après trois jours je ressusciterai » (Matth. 27:63).
Conformément à cette déclaration, la durée ne pourrait pas être de moins de 72 heures.
Alors que dans l’Évangile selon Jean (Jean 2:19-22), Jésus dit:
« Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai! … Mais il parlait du temple de son corps. »
Dans ce passage, l’expression « en trois jours » ne peut pas signifier plus de 72 heures.
Si l’on accepte donc le témoignage de la Bible, on doit en conclure que Jésus-Christ resta enseveli dans le sépulcre exactement trois jours et trois nuits, c’est-à-dire 72 heures en tout. Du reste, si cela n’était pas le cas, la seule preuve surnaturelle que Jésus donna pour prouver qu’Il était le Messie devrait être considérée comme fausse!
L’heure de la Résurrection
Pour rester trois jours et trois nuits dans le sépulcre (une durée totale de 72 heures), notre Seigneur aurait dû ressusciter à une heure du jour correspondant précisément à celle de Son ensevelissement.
Cela est d’une importance capitale.
Par conséquent, si nous pouvions déterminer l’heure de l’ensevelissement, nous pourrions établir avec précision l’heure de la Résurrection. Si, par exemple, l’ensevelissement avait eu lieu à l’aube, la Résurrection aurait dû avoir lieu à l’aube, trois jours plus tard. Si l’ensevelissement avait eu lieu à midi, la Résurrection aurait dû avoir lieu à midi, trois jours plus tard. Et s’il avait eu lieu au coucher du soleil, la Résurrection aurait dû avoir lieu au coucher du soleil, trois jours plus tard.
Le jour où Jésus fut crucifié était un jour de « préparation» qui précède un sabbat (Matth. 27:62; Marc 15:42; Luc 23:54). Le jour de la Crucifixion, comme tout autre jour, se termine au coucher du soleil (Lév. 23:32).
« Et la neuvième heure »
ou vers trois heures de l’après-midi,
« Jésus s’écria d’une voix forte: Eli, Eli … et rendit l’esprit » (Matth. 27:46-50; Marc 15:34-37; Luc 23:54; Jean 19:14).
Notez bien que le corps de Jésus fut déposé dans le sépulcre avant le coucher du soleil (Matth. 27:57; Luc 23:54). Jean ajoute:
« Ce fut là qu’ils déposèrent Jésus, à cause de la préparation des Juifs » (Jean 19:42).
Conformément aux lois juives, l’ensevelissement d’un cadavre ne pouvait avoir lieu le jour du sabbat ou pendant une Fête. Jésus fut enterré le jour même de Sa mort, avant le coucher du soleil. Il mourut peu après trois heures de l’après-midi. C’est ce que dit l’Écriture Sainte. L’ensevelissement du corps de Jésus eut lieu dans l’après-midi, avant le coucher du soleil.
Etant donné que l’heure de la résurrection du Christ était la même, trois jours plus tard, que celle de Son ensevelissement, Sa résurrection eut donc lieu, non pas à l’aube, mais dans l’après-midi, peu avant le coucher du soleil. Que cela nous paraisse incroyable ou impossible, nos opinions personnelles ne pourraient altérer la vérité telle qu’on la trouve dans la BIBLE!
Si Jésus-Christ était ressuscité des morts à tout autre moment du jour, la durée de Son ensevelissement n’aurait pas été exactement de trois jours et trois nuits; de ce fait, Il n’aurait pas tenu Sa promesse. Autrement dit, le grand miracle qu’Il présagea, prouvant qu’Il était le Messie — le Fils du Créateur — n’aurait pu être accompli.
Jésus ressuscita, vers la fin du jour, peu avant le coucher du soleil; ou bien c’est le cas, ou bien Il n’est pas le Christ. C’est Lui-même qui mit tout en jeu quand Il présagea ce miracle.
QUEL est le jour de sabbat qui suivit la Crucifixion?
Nous touchons maintenant un point important sur lequel beaucoup ont fondé leurs objections, mais lequel constitue, néanmoins, une preuve en faveur de la vérité. La Bible dit que le jour après la Crucifixion, c’était un SABBAT; en se fondant sur cette déclaration, maints théologiens concluent que la Crucifixion a dû avoir lieu un vendredi.
Nous avons déjà vu, selon le témoignage contenu dans les quatre Évangiles, que l’on se référait au jour de la Crucifixion comme un « jour de la préparation » pour le sabbat. Mais de quel sabbat s’agit-il?
L’Évangile de Jean nous donne la réponse:
« C’était la préparation de la Pâque » (Jean 19:14). « Et ce jour de sabbat était un grand jour »(Jean 19:31).
Qu’est-ce que c’est que ce « grand jour »? Pourquoi l’appelle-t-on un « sabbat »? Demandez-le à un Juif — il vous l’expliquera! Il vous dira que c’est un des sept jours de jubilé que les Israélites observaient annuellement; il y en avait sept, en effet, dont chacun s’appelait sabbat. Sept sabbats annuels, dont chacun tombait un jour différent du calendrier, tout comme les jours fériés modernes, qui tombent des jours différents, selon le calendrier romain. Pourquoi ces jours de jubilé annuels s’appelaient-ils sabbat? De nouveau, la Bible nous en donne la réponse (Lév 16:31; 23:15; 23:24; 23:26-32; 23:39).
D’autre part, dans L’Évangile selon Matthieu, nous lisons: « Vous savez que la Pâque a lieu dans deux jours, et que le Fils de l’homme sera livré pour être crucifié » (Mat 26:2). Si vous lisez attentivement tout ce chapitre, vous verrez que Jésus fut crucifié LE JOUR DE LA PÂQUE.
Mais qu’est-ce que ce jour de Pâque?
Vous en trouverez le récit complet dans le douzième chapitre de l’Exode. Les enfants d’Israël touchèrent le linteau et les deux poteaux de leurs portes avec le sang des agneaux qu’ils immolèrent, et, en voyant cette marque, l’Éternel passa par-dessus ces maisons, ne permettant pas au destructeur d’y entrer pour frapper.
Immédiatement après la Pâque, il y eut une convocation générale, un sabbat annuel, en l’honneur de l’Éternel.
Notez bien ces dates:
« Le premier mois, le quatorzième jour du mois, ce sera la Pâque de l’Éternel. Le quinzième jour de ce mois sera un jour de fête» (Nomb. 28:16-17).
L’agneau de Pâque, immolé le quatorzième jour du premier mois (le mois de Nissan) représente notre Seigneur Jésus-Christ — L’Agneau de Dieu — qui vint pour prendre sur Lui nos péchés.
« Christ, notre Pâque, a été immolé» (1 Cor. 5:7).
Jésus fut immolé le jour de la Pâque — le jour même où on immolait l’agneau, chaque année. Notre Seigneur fut crucifié le 14 Nissan, et ce mois de Nisan est le premier mois de l’année chez les Hébreux. C’est à ce jour de Pâque que la Bible se réfère en l’appelant « le jour de la préparation »; car le jour de fête, le jour de sabbat annuel, allait commencer le 15 du mois de Nissan. Ce sabbat annuel peut tomber n’importe quel jour de la semaine. Il peut tomber, comme c’est fréquemment le cas, un jeudi. Par exemple, les Juifs célébrèrent ce « Grand Jour » de sabbat le jeudi des années 1962, 1969 et 1972. Ils feront de même en 1975, 1979 et 1982.
[…] le 14 Nissan, c’est-à-dire le jour de Pâque de l’année où Jésus fut crucifié, tombait un mercredi. En conséquence, le jour de sabbat annuel, cette année-là, tombait un jeudi. Et c’est la veille de ce sabbat annuel, tombant jeudi, que Joseph d’Arimathée déposa le corps de Jésus dans un sépulcre. Disons donc, en conclusion, que dans la semaine de la Crucifixion il y avait deux jours de sabbat, deux différents: un jeudi et un samedi.
Le premier jour de la semaine (dimanche), Marie de Magdala et les autres femmes qui l’accompagnaient, se rendirent au sépulcre, de grand matin, comme le soleil venait de se lever (Marc 16:2; Luc 24:1; Jean 20:1).
Ce sont là les versets auxquels la plupart des chrétiens se réfèrent pour prétendre que la Résurrection eut lieu dimanche matin, au lever du soleil. Mais ils se trompent. Ces passages ne parlent point d’une Résurrection dominicale.
Examinons-les ensemble! Quand les femmes arrivèrent dimanche matin au sépulcre, celui-ci était déjà ouvert. La Bible dit qu’il faisait encore noir. Elle ne dit point que les femmes virent Jésus dans le sépulcre. Non! Jésus n’y était pas. Voici, d’ailleurs, la déclaration de l’ange:
« Il n’est point ici; il est ressuscité »(Marc 16:6; Luc 24:6; Matth. 28:5-6).
Jésus était ressuscité avant le lever du soleil, dimanche matin. Cela va sans dire puisqu’Il ressuscita dans l’après-midi du jour précédent, avant le coucher du soleil.
La déclaration de l’ange est donc une autre preuve confirmant que la résurrection du Christ eut lieu samedi après-midi, avant le coucher du soleil.
Rappelez-vous que le sabbat, d’après la Bible, se termine au coucher du soleil comme tout autre jour. C’est ce jour-là — SAMEDI, le jour du sabbat — avant l’arrivée du premier jour de la semaine, que la Résurrection eut lieu!
Le miracle fut accompli
Jésus avait prédit qu’Il resterait dans le sépulcre trois jours et trois nuits. Il tint Sa promesse, quoique certains experts et théologiens affirment qu’Il n’y resta que la moitié du temps prévu. Qui a raison: Jésus ou ces théologiens? Remarquez le témoignage de l’ange, donné à cet effet:
« Il n’est point ici; il est ressuscité, comme il l’avait dit» (Mat 28:6).
Jésus était ressuscité, comme il l’avait dit. Conformément à la parole de l’ange, telle qu’elle est donnée dans la Bible, le miracle fut accompli: après être resté trois jours et trois nuits dans le sépulcre, Jésus ressuscita dans l’après-midi du jour du sabbat — et non le dimanche matin. La Bible contient plusieurs autres passages, démontrant que Jésus-Christ resta dans le sépulcre pendant la durée qu’Il avait prévue. Par exemple:
« Je vous ai enseigné avant tout », écrit l’apôtre Paul,
« comme je l’avais aussi reçu, que Christ est mort pour nos péchés, selon les Écritures; qu’il a été enseveli, et qu’il est ressuscité le troisième jour, selon les Écritures» (1Cor 15:3-4).
La mort et l’ensevelissement de Jésus eurent lieu SELON LES ÉCRITURES, non pas contrairement à elles.
Le troisième jour, après Son ensevelissement, était un sabbat. Par conséquent, l’ensevelissement eut lieu le mercredi, et les trois jours entiers qu’Il passa dans le sépulcre se terminèrent samedi après-midi, peu avant le coucher du soleil, non pas dimanche matin.
Quel est le jour de la Crucifixion?
Il n’est pas difficile de déterminer le jour exact de la Crucifixion. Puisque Jésus-Christ ressuscita des morts le samedi, le jour de la Crucifixion eut lieu le mercredi précédent.
En effet, Jésus fut crucifié un mercredi. Il mourut sur la croix peu après trois heures de l’après-midi, et Il fut enseveli avant le coucher du soleil, le même jour. Faites le calcul: trois jours et trois nuits à partir de mercredi, peu avant le coucher du soleil, vous amènent au jour du sabbat — samedi — à l’heure même où l’ensevelissement avait eu lieu. Rien de surprenant que le matin du premier jour de la semaine (dimanche) Jésus n’était plus dans le sépulcre. Il était déjà ressuscité.
Réponses aux objections honnêtes
En parcourant l’Évangile selon Marc 16:9, certains pensent que la Résurrection a dû avoir lieu un dimanche. Cependant, si l’on se donne la peine d’examiner la version originale, écrite en grec, on constatera que la Bible ne déclare point pareille chose. L’expression « étant ressuscité le matin du premier jour » n’indique pas nécessairement une action au présent de l’indicatif. Elle ne démontre pas l’heure exacte, ou le moment exact, de la Résurrection. Elle établit seulement le fait que le matin du premier jour de la semaine, Jésus était déjà ressuscité, et qu’Il apparut à Marie de Magdala. Ce texte n’est pas du tout en contradiction avec les autres textes que nous venons de voir. Bien au contraire, il les confirme en corroborant que Jésus était déjà ressuscité avant le matin du premier jour; c’est bien naturel puisqu’il ressuscita dans l’après-midi du SAMEDI.
Un autre passage qui confond les théologiens est le suivant:
« Mais avec tout cela, voici le troisième jour que ces choses se sont passées »(Luc 24:21).
Dans ce verset, les mots « ces choses » se réfèrent aux événements relatifs à la Résurrection, tels que l’arrestation de Jésus, Sa condamnation, Sa Crucifixion, et, finalement, la garde du sépulcre après que la pierre fût scellée.
Selon Luc 24:18-20 et selon Matthieu 27:62-66 « ces choses » n’étaient pas achevées avant l’arrivée des gardes, jeudi. Alors, le passage en question nous informe que dimanche était le troisième jour depuis que ces choses s’étaient passées. Elles n’étaient pas achevées jeudi. Et le troisième jour à partir de jeudi — non pas à partir de vendredi — c’est le dimanche, naturellement. Voilà donc une autre preuve montrant que la Crucifixion ne pouvait avoir eu lieu un vendredi.
La preuve concluante
En fin de compte, voici une dernière preuve, une PREUVE concluante sur cette vérité étonnante: la version originale d’un certain passage établissant qu’il y avait DEUX sabbats dans cette semaine-là laisse à désirer dans presque chacune des traductions en français.
Dans l’Évangile selon Matthieu 28:1, le premier verset est traduit par les mots « après le sabbat », alors que dans le texte original grec le mot « sabbat » est au pluriel. [σαββατων (pluriel) au lieu de σαββατου (singulier)]
Si on l’avait traduit « après les sabbats » — comme on aurait dû le faire — tout aurait été bien plus simple à comprendre.
Notez que conformément à l’Évangile de Marc, « Marie de Magdala, Marie, mère de Jacques, et Salomé » n’achetèrent des aromates que lorsque le sabbat (singulier) fut passé (Marc 16:1-2).
« Lorsque le sabbat fut passé, Marie de Magdala, Marie, mère de Jacques, et Salomé, achetèrent des aromates, afin d’aller embaumer Jésus. Le premier jour de la semaine, elles se rendirent au sépulcre, de grand matin, comme le soleil venait de se lever. »
Mais alors, comment auraient-elles pu préparer ces aromates si elles ne les avaient pas encore achetés? Et, la Bible ajoute qu’après avoir préparé des aromates,
« elles se reposèrent le jour du sabbat, selon la loi » (Luc 23:56).
Il faut étudier ces deux textes bien attentivement pour les comprendre. Il n’y a qu’une seule explication: celle des deux sabbats dans la semaine de la Crucifixion. Après le Grand Jour annuel (le sabbat de la Fête des pains sans levain, lequel tombait jeudi), ces femmes achetèrent des aromates et les préparèrent vendredi; puis elles se reposèrent le jour du sabbat hebdomadaire, samedi, selon la loi (Ex. 20:8-11).
Un examen attentif de Matthieu 28 et de Marc 16 vous prouvera qu’il y avait deux sabbats dans cette semaine, séparés l’un de l’autre par un seul jour. Autrement ces deux passages se contrediraient.
Il est temps de découvrir la source de nos croyances religieuses, afin de comprendre d’où elles nous viennent, et si nous devrions les observer.
Note de fin de Vigi-Sectes
Cette illustration d’une source messianique illustre bien le sujet :
Connaître exactement la date de naissance de Christ et l’année de la crucifixion, et le prouver par des calendriers hébraïques n’est par contre pas du tout aisé. Voir aussi l’avis de notre ami juif messianique:
Nous répondrons: Commencez par la lire, pour savoir de quoi vous parlez, avant de débitter les âneries de ceux qui mentent et ne vérifient rien. Plus on la connaît avec exactitude ( Actes 18:26), plus on en est certain. Mais comme Pierre l’annonçait, il y a 2000 ans, il y a des sectes pernicieuses à venir, qui renieront Christ:
Il y a eu parmi le peuple de faux prophètes, et il y aura de même parmi vous de faux docteurs, qui introduirontdes sectes pernicieuses, et qui, reniant le maître qui les a rachetés, attireront sur eux une ruine soudaine. ( 2 Pierre 2:1)
L’islam est donc bien mentionné dans la Bible! L’Apôtre Pierre décrit sans ménagement les péchés charnels de leurs gourous (en fait des brutes qui s’adonnent à la fornication naturelle comme des chiens ).
… ceux surtout qui vont après la chair dans un désir d’impureté et qui méprisent l’autorité. Audacieux et arrogants, ils ne craignent pas d’injurier les gloires …Mais eux, semblables à des brutes qui s’abandonnent à leurs penchants naturels et qui sont nées pour êtres prises et détruites,
Et enfin, en plus de leurs injures, il les caractérise par leur ignorance ! Il n’y aura jamais de paix sur eux. Les multitudes de proclamations Paix soit sur eux n’y changeront rien.
ils parlent d’une manière injurieuse de ce qu’ils ignorent, et ils périront par leur propre corruption, ( 2 Pierre 2:10-12)
Voici quelques nouvelles arnaques de nos artistes bien connus comme Kenneth Copeland et Jim Bakker, qui ne sont intéressés que par votre argent.
Voir en anglais l’article de Newsweek : intitulé « Le pasteur conservateur clame avoir «guéri» les spectateurs malade du coronavirus, par leurs écrans de télévision. »
Réponse d’un chrétien conservateur : NAR: SCAM-artistes
« Si vous êtes vraiment capable de guérir des gens, allez dans les hôpitaux et aidez ces gens malades, au lieu de marmonner des choses non prouvables au nom de DIEU. Vous n’êtes pas digne d’utiliser ce nom. Jésus et plus tard ses disciples sont entrés dans la foule et ont guéri les gens avec de VRAIS miracles et non des FAUX. »
Copeland prétend guérir le virus Corona, en imposant les mains sur votre TV, et en allégeant le porte-monnaie des crédules bien-portants.
Il est regrettable que le magazine Newsweek informe de manière erronée sur ces soit-disant pasteurs, en les nommant conservateurs, alors qu’ils ne le sont pas du tout.
C’est diamétralement l’opposé. Les chrétiens conservateurs ont toujours été les plus opposés à ces arnaqueurs et au mouvement hyper-charismatique NAR (New Apostolic Réformation) .
Cette erreur est extrême.
Les mauvais œufs dans le bon panier
Est-ce une volonté de Newsweek ou de certains médias que de dénaturer le christianisme, en mettant trop souvent, si ce n’est systématiquement, les mauvais œufs dans le bon panier? Ou est-ce une réalité que les chrétiens conservateurs se font rares, et que la chrétienté en général n’est pas assez virulente contre les mensonges du mouvement hyper-charismatique?
Par Jean-Jacques Dubois – Publié dans Promesses n° 93, Juillet-septembre
Titre: «La Franc-Maçonnerie sous l’éclairage biblique (124 pages) Auteur: Paul Ranc Format : Téléchargeable pdf, epub, txt + car livre (épuisé) Editeur: Editions Contrastes, Case postale 3709, 1002 Lausanne
Dans le premier chapitre de ce livre de 113 pages, l’auteur brosse l’histoire de la Franc-Maçonnerie, «société secrète qui se définit comme une association humaniste et philanthropique». En moins de trois siècles, la Franc-Maçonnerie s’est répandue dans le monde entier sauf dans les pays communistes. Son rôle politique n’est plus à démontrer.
Le chapitre 2 nous éclaire sur les origines de la Franc-Maçonnerie, qui sont plus récentes qu’on ne le croit. L’auteur établit que la philosophie maçonnique prend ses racines dans quatre courants de pensée qui ont profondément marqué l’histoire de l’Eglise comme celle de la société: les hérésies post-apostoliques (gnosticisme, arianisme, manichéisme); les corporations du Moyen-Age, les traditions ésotériques et occultes, enfin la composante la plus importante de la Franc-Maçonnerie: le déisme, héritier de l’humanisme du 16e siècle.
Avec le chapitre 3, nous abordons le sujet de l’initiation maçonnique. P. Ranc en démontre l’aspect métaphysique et même «religieux», dans le sens mystique, ésotérique et occulte. Les différents rites maçonniques sont passés en revue, puis vient la question du «secret maçonnique», qui tient dans la signification des symboles et ne peut être divulgué par personne. L’auteur en arrive à la conclusion que la Franc-Maçonnerie est une contrefaçon du christianisme.
Le chapitre 4 pose la question: «La Franc-Maçonnerie a-t-elle une doctrine?» L’auteur répond: «Il ne s’agit pas d’une doctrine, mais de doctrines ou plutôt d’un fatras de divers courants de pensée.» Il s’attache ensuite à décrire ces divers courants: déisme, humanisme, naturalisme, ésotérisme, gnosticisme. Ni Dieu personnel, ni Dieu transcendant et révélé, ni Dieu trinitaire, mais un Dieu à la convenance de l’homme, «un dieu bien arrangeant, qui ne bouscule personne et dans lequel chacun trouverait une parcelle de vérité».
Il y a donc une opposition irréductible entre la Franc-Maçonnerie et le christianisme: «d’une part, le salut par grâce et l’espérance de la vie éternelle; d’autre part, l’humanisme, fruit de l’effort humain et une espérance limitée et terrestre.»
Dans le dernier chapitre du livre, P. Ranc traite du problème de la liberté. A la question: «Peut-on être chrétien et maçon?» l’auteur répond par la négative, et il s’oppose en cela à des opinions de «chrétiens» qui n’ont pas vu d’impossibilité à professer la foi et à partager l’initiation maçonnique. La liberté, telle que la conçoivent les franc-maçons, est celle qui se réclame des «droits de l’homme», qui ont remplacé la Loi de Dieu et se sont érigés en «loi de l’homme». Combien cette notion humaniste est éloignée de la vraie liberté, celle que propose l’Evangile et que Jésus-Christ seul peut donner. La liberté n’est pas le fruit d’une conquête mais un pur don de Dieu, «l’affranchissement des tyrannies spirituelles et des contraintes religieuses». Ainsi la Franc-Maçonnerie a voulu ignorer que la vraie liberté réside dans l’affranchissement du péché.
Comme dans ses autres ouvrages, l’auteur s’appuie sur une solide et abondante documentation et fait preuve d’un grand courage en dénonçant cet autre évangile qu’est la Franc-Maçonnerie. La partie historique est peut-être un peu longue puisqu’elle couvre presque la moitié du livre. L’auteur n’a rien négligé dans son souci de nous éclairer sur les origines et la nature du mouvement. Il confronte la Franc-maçonnerie au christianisme et prouve que l’esprit de ce mouvement – ou plutôt de cette société secrète – est foncièrement opposé aux fondements mêmes du christianisme. Le voile est déchiré et la Franc-Maçonnerie apparaît telle qu’elle est: un humanisme enrobé d’ésotérisme.
Nous publions cet article d’une trentaine d’année en souvenir de Paul RANC, un des fondateur de Vigi-Sectes, auteur et conférencier remarquable, à l’occasion de son récent Décès.
Source: Magazine femina, janvier 1989
Face à l’ampleur du mouvement des sectes, une association a vu le jour en France, suite à l’émoi de parents face à la «disparition» d’un jeune homme. Très vite implantée dans d’autres villes françaises, l’ADFI essaime à l’étranger. Sa branche suisse naît en février 1983, avec un théologien à sa tête, Paul Ranc.
Le communiqué de création de l’ADFI (Association pour la défense de la famille et de l’individu) diffusé par l’ATS (Agence télégraphique suisse) avait provoqué une avalanche de demandes d’aide, se souvient Paul Ranc, président de l’association. Ce dernier, diacre de l’Eglise réformée, père de famille, est connu pour ses travaux sur certaines sectes. Il s’était tout d’abord attaqué au phénomène Cravanzola, dans une brochure publiée en 1979. Il explique son engagement contre les sectes.
Quelles sont en Suisse les sectes les mieux implantées?
En Suisse romande, incontestablement, la secte la plus dangereuse est la scientologie. Les trois quarts au moins des appels qui nous parviennent émanent de personnes qui ont eu affaire à la scientologie. Mais il y a d’autres sectes qui nous posent problème. Moon, implantée depuis quelques années à Genève et récemment à Lausanne, la Conscience de Krishna et aussi les Témoins de Jéhovah. En Suisse alémanique, c’est surtout Moon. Une association y a été fondée avec des parents dont les grands enfants sont partis dans la secte Moon. Au Tessin, je dirais Krishna et Moon.
Les Témoins de Jéhovah sont donc dangereux?
Il s’agit d’une dissidence du protestantisme créée au siècle dernier. Ce que nous leur reprochons, c’est la destruction de la cellule familiale. Des adolescents qui vont chez les Témoins
Existe-t-il de bonnes sectes?
Très difficile de répondre.
Pour nous, à l’ ADFI, nous définissons une secte par certains critères: le lavage de cerveau et l’asservissement de la personnalité, un chef incontesté, un gourou, et également les implications financières liées à l’appartenance à la secte. Je distinguerais les sectes, ou nouveaux mouvements religieux, des Eglises indépendantes de l’Etat, comme les Eglises baptistes, mennonites, etc. Ces Eglises ont un tronc commun, qui est celui de la Réforme.
Pour des raisons qui leur semblent bonnes, elles se sont séparées des Eglises d’Etat, mais nous avons de bons contacts avec elles. Les mormons, par exemple, comme d’autres, ont une éthique irréprochable.
Pourquoi caractérisez- vous les sectes de «fléau social»?
Les sectes sont de véritables multinationales et ne visent qu’un seul but, la transformation du monde, la transformation de la société, mais selon leurs propres critères et leurs propres doctrines. Moon ne vise qu’un seul but: une grande fraternité parmi, les hommes, une société sans crimes, sans délits. Le but serait valable, comme ce fut le cas pour le christianisme ou pour l’islam. Mais entre le but et les moyens, il y a un décalage énorme. La scientologie, par exemple, force des jeunes à s’endetter lourdement.
Depuis 1983, quelles sont les actions que vous avez entreprises?
De 1983 à 1988, nous avons travaillé dans l’ombre. En fait, l’ADFI se résumait à ma femme et à moi-même. C’est nous qui répondions au téléphone environ 250 appels – et nous avons reçu près d’une centaine de visites. Depuis le 4 novembre 1988, nous sommes regroupés officiellement en association, qui compte 42 membres fondateurs, surtout des parents et quelques personnes qui sont sorties des sectes. Notre but est l’information, puis l’aide, la réinsertion professionnelle de jeunes sortis des sectes, la recherche de ceux qui ont disparu, mais nous ne sommes pas en faveur du dé-programming (réd. contre-lavage de cerveau appliqué à ceux que l’on a sortis des sectes).
Comment les parents concernés prennent-ils contact avec vous?
En nous disant: « J’ai mon fils ou ma fille qui depuis un certain temps suit des cours de scientologie. C’est curieux, il me cache ses bouquins, Je sais qu’il a un appareil dans la cave.» (Il s’agit d’un électromètre pour mesurer les blocages.) Ou bien: «Ma fille qui est en apprentissage manque des cours, ses profs sont étonnés.» Ou encore: «Mon fils reçoit tout le temps des coups de téléphone mystérieux.» Ou aussi: «De l’argent disparaît de son carnet d’épargne», etc.
Un «enfant» majeur peut disparaître. Ses parents légalement ne peuvent rien faire, non?
Dans ce cas, c’est vrai, nous sommes désarmés. Mais ce qu’il faut savoir, c’est que l’enfant majeur, qui est adulte, a reçu un tel lavage de cerveau, une telle pression psychologique qu’on ne peut sans doute plus parler de personne réellement responsable.
Pourquoi vous, diacre réformé, vous occupez-vous de cette association?
En me penchant autrefois sur le phénomène Cravanzola, en tant que théologien, j’ai découvert des parents qui souffraient en silence. Car il est considéré comme honteux en Suisse d’avoir un enfant dans une secte. On n’ose pas le dire. Cela explique pourquoi les gens ici ne portent pas plainte, alors que dans d’autres pays, si l’on assiste à des arrestations de membres de l’Association de scientologie, c’est qu’il y a eu des dizaines de plaintes. Si vous avez l’un de vos enfants atteint du sida, qui se drogue ou qui est dans une secte, même problème, on se tait. Alors qu’il faudrait en parler le plus possible car les sectes, c’est comme les systèmes totalitaires, les mouvements d’opinion, elles n’aiment pas ça du tout.
Propos recueillis par VALÉRIE BORY Photo Michel Schmalz
Cette autobiographie de lecture facile, que nous vous recommandons sans réserve, est l’histoire d’un homme poussé par l’ambition d’arriver; quand Dieu donne à cette ambition une dimension spirituelle; elle se transforme en ardeur de servir le Maître. Paul Ranc trace son cheminement d’athée convaincu vers la foi en Dieu qui sauve par Jésus-Christ. Il parle sans fard des réalités de la vie et ne cache pas que «l’existence humaine est un mystère… Pourquoi les souffrances et les épreuves? A vues humaines, c’est un problème insoluble» (p.9). Tout au long du livre, deux thèmes se recoupent: le mystère de la souffrance et la providence du Dieu souverain à l’égard des hommes.
Paul Ranc est né à Paris en 1945. Il a deux frères; les parents sont militants du parti communiste français. A 11 ans, il est victime d’un grave accident et perd l’ouïe, ce qui le marqueta pour toute la vie. Le doute existentiel l’envahit; à l’âge de 14 ans déjà, il aboutit à un athéisme philosophique. A 17 ans, la mort de sa mère, (cancer) le frappe terriblement. Il reçoit une Bible et la lit – d’un bout à l’autre; il se convertit seul dans sa chambre en lisant Jean 3.16. Retraçons en bref les étapes principales de cette vie où l’épreuve est toujours présente: – Institut biblique de Nogent-sur-Marne; – appel à un ministère de réveil; – mariage avec Jacqueline Secretan, étudiante à l’Institut biblique Emmaüs et rencontrée dans un camp de jeunes en France; – naissance d’un fils frappé d’une méningite qui fait de lui un handicapé que Dieu ne guérit pas malgré toutes les prières; – diacre à l’Eglise réformée Vaudoise; – perte totale de l’ouïe partiellement retrouvée; – acceptation de cette situation comme venant de la part du Dieu souverain, qui restitue ensuite son ouïe partiellement. La souffrance physique et morale se révèle l’instrument par lequel Dieu façonne son serviteur; l’auteur se sent de plus en plus proche de Job. Le cliché devenu courant «Convertis-toi et tu seras heureux et prospère» – s’avère illusoire. Si le Christ a appris …l’obéissance par ce qu’il a souffert (Héb 5.8, à combien plus forte raison nous, ses disciples !